Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
féminisme

janvier 2024

La journaliste et essayiste Pascale d’Erm est spécialiste des mouvements écologistes menés par des femmes à travers le monde.
Nouveau "TALK" sur LIMIT avec Véra Nikolski Nous revisitons l'histoire de l'émancipation féminine dans la perspective de pointer les facteurs qui menacent ses acquis... Véra Nikolski est essayiste issue d’une famille de scientifiques russes, elle est normalienne, titulaire d’un DEA de sciences sociales et d’un doctorat en science politique et anciennement chercheuse associée au Centre européen de sociologie et de science politique (CESSP-Paris)
Un essai percutant pour comprendre la gravité du problème des pesticides pour la santé humaine et l'environnement. C'est un nouveau colonialisme chimique.

septembre 2023

Dominique Bourg distille dans ce « journal » ses commentaires et réflexions sur l’actualité, où le constat pessimiste côtoie l’espoir du sursaut écologique. Avec une grande compréhension des enjeux de notre temps, il évoque tour à tour la convention citoyenne, le véganisme, la forêt primaire, l’écoféminisme, la pandémie de Covid, le glyphosate, le fascisme climatique ou encore les fantasmes de fuite sur Mars ou de « grand remplacement ». Ces années affreuses, sales et méchantes sont la source d’une réflexion de philosophie politique destinée à cerner les contours d’une démocratie écologique, impensable en dehors d’une bascule de civilisation. Les événements majeurs de ces dernières années sont ainsi l’occasion de dresser un état des lieux des maux de notre époque comme des défis qui nous attendent.

août 2023

L’activiste, féministe et «guerrière» mapuche est venue à Arles pour dénoncer les répressions qui s’abattent sur les militantes de peuples autochtones en Argentine, ainsi que les «terricides» opérés en Patagonie.

mai 2023

Ce livre part d’un constat simple, qui se présente comme une énigme : bien que parfaitement justifiées et nécessaires, les luttes pour l’émancipation des femmes sont pour la plupart restées sans conséquences. À l’inverse de conquêtes sociales résultant clairement de mobilisations diverses, l’évolution du statut des femmes dans la société n’a fait suite à aucune grève, aucune manifestation d’ampleur, aucun blocage. Et cependant nul ne peut nier que, même s’il leur en reste à parcourir, les femmes ont fait du chemin depuis un siècle et demi. À la croisée de deux thématiques, le féminisme et la crise environnementale, Véra Nikolski pose l’hypothèse « matérialiste » que c’est l’enrichissement général de la société, le progrès technique et plus spécifiquement médical qui ont permis aux femmes de faire évoluer leur statut social et politique. Volontairement polémique, le titre lie donc sciemment l’amélioration du sort des femmes avec le vaste processus historique enclenché à la révolution industrielle et dont on sa

mars 2023

Quels sont les liens entre féminisme et écologie ? Reporterre a posé la question à six défenseuses de l’environnement lors de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Paris, reportage L’encre des slogans dégouline des pancartes. Les cartons mouillés pendent mollement des bras des militantes de cette journée internationale de lutte pour les droits des femmes. La pluie, qu’on attendait avec impatience depuis des semaines, a abondamment arrosé le cortège du 8 mars, sans pour autant (...)

décembre 2022

2022, l’année du climat déboussolé. L’année d’une énième COP, la 27e Conférence des Parties des Nations unies...

octobre 2022

[2/2] - Désertion, droits de la nature, écoféminisme... Elles et ils sont les penseurs d’une nouvelle écologie. Rencontre.
D’abord marginalisées puis méprisées, les pensées de l’écologie sont en voie de gagner la bataille des idées. Un séisme dans le monde intellectuel, qui vient réinterroger les racines de notre modernité.

septembre 2022

Alors que l’été, terrible, est derrière nous, notre chroniqueuse s’interroge : de quoi l’automne sera-t-il fait ? Elle enrage, face à la catastrophe, de nous sentir si éloignés d’un élan collectif, mais garde espoir. La relève est là.

juin 2022

Geneviève Pruvost est sociologue du travail et du genre au Centre d’étude des mouvements sociaux (EHESS). Auprès de Vert, la chercheuse défend la prise en charge par chacun·e d’une partie des tâches du quotidien, aujourd'hui « déléguées aux machines et aux pauvres », pour faire advenir une société écologique.
G. Pruvost nous donne un aperçu de l'évolution de nos sociétés avec la disparition des sociétés paysannes (paysans / artisans) organisées en maisonnées autonomes produisant les biens de leur subsistance, au profit de sociétés composées de cellules familiales nucléaires où chacun est transformé en consommateur, éloigné du lieu et des personnes produisant les biens du quotidien. Il existe des alternatives (dont certains mouvements ont émergé dans les années 70) qui se caractérisent par la volonté de reproduire la mise en commun des savoir-faire et des connaissances. La réussite des projets reste cependant liée à une forte motivation, une indispensable mise en commun d’objectifs et de comportements. La difficulté principale est aussi la disponibilité des terres agricoles. L'éco-féminisme est présenté aussi comme un possible chemin à suivre pour faire face à notre perte d'autonomie.

janvier 2022

Et s’il fallait partir de l’espace domestique, du quotidien et de la maisonnée pour (re)penser toutes les dimensions de la catastrophe écologique ? Plusieurs mouvements féministes des années 1960 ont insisté sur la nécessité de considérer le privé et le personnel comme politique. Geneviève Pruvost renouvelle ce champ d’interrogations en articulant perspectives féministes, subsistance et reprises de terres.?

novembre 2021

À mi-chemin entre l’écologie et le féminisme, le courant écoféministe identifie deux formes de domination interconnectées : le capitalisme et le patriarcat.
Solène Ducretot, co-fondatrice du collectif Les Engraineuses, explique l’importance d’imbriquer les luttes et de prendre conscience de l’interdépendance des problèmes de notre société.
Le parcours de vie et l’œuvre de Françoise d’Eaubonne témoignent du profond engagement intellectuel et politique que réclame l’écoféminisme : au-delà de l’élaboration conceptuelle, il est surtout question d’agir pour la cause des femmes, des minorités et de l’environnement.
Au programme de la COP26 ce mardi 9 novembre : "Faire progresser l’égalité de genre et la pleine et entière participation des femmes et des filles dans l’action climatique." Genre et climat. Les deux seraient donc liés.
Certains reprochent à l’écoféminisme de juxtaposer artificiellement des préoccupations d’ordre différent. Pourtant, l’écoféminisme n’est pas juste la reconnaissance de l’analogie qu’il y a entre l’oppression des femmes et la destruction de la nature. C’est la compréhension du fait qu’elles mettent en jeu le même mécanisme. On comprend très bien la cohérence de l’idéologie dont Trump par exemple est l’incarnation et qui conjugue misogynie, xénophobie, homophobie, climato-scepticisme, accaparation des richesses et du pouvoir. La cohérence de l’écoféminisme s’y oppose en développant une réponse globale.
Au Mali, il est très difficile pour nous, militants, de faire comprendre aux hommes, aux dirigeants et à l’opinion publique l’existence des inégalités de genre. On nous rétorque qu’il s’agit là d’une lecture des rapports hommes-femmes importée d’Occident. Pourtant, les discriminations basées sur le genre existent .. Il est donc compliqué d’expliquer que le changement climatique accentue ces inégalités.

septembre 2021

« L’écoféminisme, c’est dire que tout notre système économique, social, notre rapport à la nature, est fondé sur la prédation. C’est la prédation des corps des femmes quand on les agresse, c’est la prédation de la nature qui est transformée en une ressource productive, c’est la prédation des corps des plus précaires, qui sont utilisés dans leur travail »,
Fin des sociétés paysannes, cuisines équipées, bétonisation des terres arables, effacement des savoir-faire et cosmogonies autochtones, ignorance des rythmes du monde vivant... Ces phénomènes divers que l'on apprend aujourd'hui à déplorer sont bel et bien liés, nous disent depuis un demi-siècle des théoriciennes écoféministes, critiques de la modernité industrielle. C'est à leurs pensées, méconnues en France, ainsi qu'aux leçons existentielles et politiques qu'il convient d'en tirer, qu'est consacré cet ouvrage. L'auteure explore les alternatives écologiques et anticapitalistes contemporaines pour démontrer que la vie quotidienne est un terrain politique fondateur.

août 2021

Les technologies et la science structurent notre rapport au monde, en le divisant en deux ensembles pas du tout égaux: nature vs. culture. Mais est-il possible de penser autrement? Entretien avec Nathalie Grandjean.
Depuis un demi-siècle, la militante indienne, écoféministe et altermondialiste Vandana Shiva se bat pour aider les paysans des pays du sud à sortir de la pauvreté. Un combat qui passe par la sauvegarde de la biodiversité et l’émancipation des femmes.

mars 2021

février 2020

À partir des contributions de 27 femmes maires de villes pionnières, personnalités des mouvements écologistes et féministes, universitaires, ce manifeste met en évidence le rôle primordial que les femmes ont à jouer dans la grande bataille du climat. Représentant plus de la moitié de la population mondiale, les femmes sont en effet spécifiquement victimes du changement environnemental, et ont tout intérêt à investir ce champ d’action, interdépendant à leur bataille pour l’égalité des sexes....

décembre 2019

Écologie, féminisme, anarchisme. Lancé en 2019, floraisons est un média autonome, autogéré par des stagiaires. Notre problème est que la culture dominante est en train de tuer la planète. La civilisation industrielle détruit, exploite, aliène et transforme le monde vivant en zones mortes, marchandises, en déchet. Nous devons radicalement y mettre un terme. Voilà pourquoi notre objectif est de démanteler la civilisation industrielle, sa structure, ses hiérarchies, son idéologie et ses valeurs, pièce par pièce.

août 2019

Produire moi-même toutes ces choses que je pourrais acheter toutes faites à moins de cinq minutes à pied de chez moi me procure à la fois une intense satisfaction de type «C'est moi qui l'ai fait, et en plus c'est complètement écolo! Fuck le capitalisme!» suivie d'une vertigineuse remise en question de mon engagement féministe.