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tchernobyl

mars 2024

Des équipes de scientifiques se sont mis à étudier les effets de la radioactivité sur les chiens errants de Tchernobyl.

juin 2023

À la centrale nucléaire de Zaporijia, occupée par les Russes dans le sud-est de l’Ukraine, le personnel pointe du doigt la dégradation des conditions de la centrale. Ceux-ci craignent une catastrophe “bien pire que Fukushima et que Tchernobyl”.

février 2023

Il y a quelques semaines, un grave accident ferroviaire a eu lieu à la frontière entre l’Ohio et la Pennsylvanie (États-Unis). Or, il s’agit là d’une véritable catastrophe écologique, si bien que le surnom de « Tchernobyl de l’Ohio » lui a été attribué.

août 2022

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a brandi lundi le spectre de la catastrophe de Tchernobyl et appelé à de nouvelles sanctions contre la Russie, suite à de nouvelles frappes à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia occupée par les Russes. "Le monde ne doit pas oublier Tchernobyl et le fait que Zaporijjia est la plus grande centrale d'Europe. La catastrophe de Tchernobyl (en 1986), c'est l'explosion d'un réacteur et la centrale de Zaporijjia est dotée de six réacteurs", a-t-il déclaré lundi soir dans son adresse vidéo quotidienne.

juillet 2022

Greenpeace a remis en question mercredi les dernières données, datant d'avril, de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) concernant les radiations émises par l'ancienne centrale nucléaire de Tchernobyl: selon l'ONG active dans la défense de l'environnement, "les niveaux de radiation dans les zones où ont eu lieu les dernières opérations militaires russes sont trois fois plus élevés que ceux estimés par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)".
Une équipe internationale, dirigée par Greenpeace Allemagne, étudie la radioactivité autour de la centrale nucléaire de Tchernobyl après l'occupation du site par les forces russes en mars 2022, indique lundi l'ONG de défense de l'environnement.

mai 2022

Pour la première fois dans l’Histoire, avec l’invasion russe de l'Ukraine, des installations nucléaires se retrouvent au beau milieu d’une guerre conventionnelle. Un scénario cauchemardesque que peu d’acteurs du secteur ont anticipé. À Tchernobyl comme à Zaporijjia, l’armée russe fait planer une menace sur les règles de sécurité nucléaire les plus élémentaires. Reportage.

avril 2022

La Commission de recherche et d'information indépendante sur la radioactivité (Criirad) a appelé mercredi à une "expertise approfondie" sur le niveau de radioactivité de la centrale de Tchernobyl, en Ukraine, en critiquant les méthodes de l'AIEA. Lors d'une visite sur le site de la centrale, le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) Rafael Grossi a estimé mardi que le niveau de radioactivité était "dans la normale" en précisant que les niveaux avaient "augmenté à certains moments, quand les Russes amenaient dans la zone de l'équipement lourd et quand ils sont partis" après avoir occupé la centrale entre le 24 février et le 31 mars.
Le 26 avril 1986, l’un des réacteurs de la centrale de Tchernobyl explosait. Trente-six ans après la catastrophe nucléaire, l’Ukraine est envahie par la Russie. Et les risques pour la sûreté sont réels.
"Aucun Etat du monde après 1986 n'a créé de telles menaces à grande échelle pour la sécurité nucléaire en Europe et dans le monde que la Russie a créées depuis le 24 février", jour de son invasion de l'Ukraine, a déclaré le président ukrainien.
Le système qui permet de contrôler le niveau de radioactivité dans la zone d’exclusion de Tchernobyl ne fonctionne plus. Ce site, théâtre d’un accident nucléaire en 1986, a été occupé pendant cinq semaines par l’armée de Vladimir Poutine. Depuis le départ des forces russes, le 31 mars, les autorités ukrainiennes ne parviennent pas à rétablir les moyens de surveillance de cette zone.
Du 24 février au 1er avril, la centrale de Tchernobyl est passée aux mains des Russes. Les troupes de Vladimir Poutine ont pris en otage les 200 employés de la centrale ainsi que les 150 membres de la sécurité. Parmi eux, il y avait Valery Semenov, l'ingénieur en chef de la centrale nucléaire, qui raconte l'enfer qu'il a vécu à nos confrères de BFM TV.
Un de plus. Un huitième réacteur nucléaire d’EDF, celui de Cattenom 3 (Moselle), présenterait des fissures au niveau des soudures de son circuit d’injection de sûreté – une pièce très importante en cas d’accident, puisqu’elle permet d’asperger en urgence le cœur en surchauffe d’eau borée pour éviter la fusion du combustible et un accident type Tchernobyl ou Fukushima. C’est ce qu’a affirmé une source syndicale au site d’information spécialisé sur l’énergie Montel, qui a révélé l’information mercredi 13 avril. Le réacteur, mis à l’arrêt le 26 mars pour des contrôles, ne devrait pas redémarrer avant le 14 août – trois mois et demi plus tard que prévu.
Les autorités ukrainiennes ne parviennent pas à rétablir les moyens de surveillance de la radioactivité à Tchernobyl, dans le nord de l'Ukraine, où les soldats russes ont créé selon elles un réseau souterrain lorsqu'ils ont occupé le site du pire accident nucléaire jamais survenu.
Russian soldiers who seized the site of the Chernobyl nuclear disaster drove their armoured vehicles without radiation protection through a highly toxic zone called the "Red Forest", kicking up clouds of radioactive dust, workers at the site said. The two sources said soldiers in the convoy did not use any anti-radiation gear. The second Chernobyl employee said that was "suicidal" for the soldiers because the radioactive dust they inhaled was likely to cause internal radiation in their bodies.