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Pendant deux siècles, l'homme a cru pouvoir dominer la Nature. Aujourd'hui, nous savons que nous allons devoir vivre en fonction de ses propres lois. C'est une époque unique dans l'histoire de l'Humanité qui est en passe de se terminer d'ici… 25 ans. Nous ne pouvons plus tergiverser. Il faut agir.
Coup de théâtre dans le monde de la géologie: après des dizaines d'années de débats, l'instance mondiale de référence a finalement décidé de ne pas accorder à l'Anthropocène, épisode caractérisé par les traces de la présence humaine partout sur la planète, une place à part dans l'Histoire géologique de la Terre.
L'Anthropocène n'est pas une nouvelle époque géologique, estime l'instance scientifique de référence
- RTL Info
Coup de théâtre dans le monde de la géologie: après des dizaines d'années de débats, l'instance mondiale de référence a finalement décidé de ne pas accorder à l'Anthropocène, épisode caractérisé par les traces de la présence humaine partout sur la planète, une place à part dans l'histoire géologique de la Terre.
Le secrétaire général de l'Onu Antonio Guterres a averti vendredi, lors de la conférence annuelle sur la sécurité à Munich (Allemagne), du risque de la communauté internationale d'être de plus en plus divisée malgré de grands "défis existentiels".
En mai 2022, les lycéens du parcours de spécialité de sciences économiques et sociales (SES) ont pu plancher sur le sujet suivant pour obtenir leur baccalauréat : « À partir d’un exemple, vous montrerez que l’innovation peut aider à reculer les limites écologiques de la croissance. » Visiblement, les auteurs de ce sujet d’examen comme des programmes de SES n’ont pas été informés qu’il existe, depuis des décennies maintenant, un consensus scientifique international et pluridisciplinaire sur les questions bioclimatiques. Si les activités humaines continuent de forcer les grands processus écologiques qui régissent le système Terre, nous aurons affaire à des ruptures brusques et irréversibles compromettant la vie humaine en société. Les limites écologiques sont largement franchies ; elles ne sont pas reculables d’un point de vue biogéophysique – seule la religion capitaliste de la croissance peut faire accroire de telles fables. Comment l’école républicaine peut-elle encore prétendre à une visée émancipatrice en
Il n’y a pas de combat plus rude, plus incertain et plus inégal que celui qui doit être mené aujourd’hui pour nous sortir de ce régime anthropologique productif et destructeur. Par Aliènor Bertrand, philosophe, chargée de recherche au CNRS
Depuis 2009, un groupe de spécialistes interdisciplinaires travaille sur cette question complexe. Ils annonceront mardi le lieu qui, selon eux, recueille les meilleures preuves du passage à l'époque de l'Anthropocène, précédée par l'Holocène.
L’empreinte écologique de l’humanité prend des formes diverses et interconnectées qui ne cessent de s’aggraver.
La forêt, on l’a toujours tenue à l’écart, tandis que notre jardin est l’image d’un paradis clos, fermé, séparé du reste de son environnement et donc on a conçu des systèmes séparés autonomes. Pour être autonome, on a à chaque fois tout détruit.
Un livre porteur d’espoir sur l’émergence d’une nouvelle culture de société. Une majorité de la population s’accorde à penser que nous allons droit dans le mur ! Si les gens sensibles aux grands dérèglements du monde sont de plus en plus nombreux, ils sont néanmoins en train de perdre face au « système » établi. Car les méthodes utilisées restent les mêmes. Ce livre dépasse ce constat douloureux en vous faisant découvrir des aspects peu connus de notre potentiel à faire bouger les choses. Et il décrit des propositions concrètes et novatrices à destination des acteurs et actrices du changement sociétal.
Dans son essai « Bifurcations », le sociologue et économiste Pierre Veltz distingue dans cette notion relativement floue des dimensions individuelles, systémiques et structurelles.
Les nations les plus riches ont une responsabilité morale évidente dans l’aide à apporter aux pays en développement. Taxer les bénéfices des grandes compagnies pétrolières et gazières et annuler les dettes des pays pauvres permettrait notamment de répondre à l’urgence, appelle un collectif de journaux, dont «Libération».
L’angoisse liée à la crise climatique a désormais un nom : l’écoanxiété. Comment les jeunes vivent-ils en s’attendant au pire ? Pourquoi l’écoanxiété est-elle devenue un outil au service du pouvoir ? Comment les émotions peuvent-elles devenir une arme politique ? Les trois volets de notre enquête.
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Il faut revenir 20 ans en arrière, s'enfermer dans une salle de réunion d’un hôtel mexicain, pour assister à «l'invention» de l'Anthropocène. Une cinquantaine de scientifiques est réunie pour discuter des orientations du Programme International Géosphère Biosphère. Alors que les prises de paroles se succèdent, l'un des participants montre des signes d’impatience. Il s'agit du prix Nobel Paul Crutzen, décédé en janvier 2021.
Un pionnier de l’écologie donne ici un nouveau souffle à la pensée écologique et culturelle. Il interroge la capacité d’autocritique des écologistes et propose des perspectives d’avenir basées à la fois sur la beauté et la complexité du vivant et sur une spiritualité de la Terre. Ce livre montre les limitations de l’environnementalisme, c’est-à-dire pourquoi l’écologisme superficiel, dans ses quatre dimensions (scientifique, militante, politique et pratique), est totalement insufisant et pourquoi il doit être complété par l’écologie profonde, aux racines de l’être. Il insiste sur la nécessité de faire évoluer nos croyances qui nous enferment dans les ornières du matérialisme.
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L’anthropocène, qui peine a obtenir une reconnaissance scientifique officielle, accorde à l’humanité une place disproportionnée dans l’histoire du vivant.