– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast
Fiches
Livres
Sites
Vidéos
retour Veille
filtre:
sciences
Dans une tribune au « Monde », le spécialiste en prospective Hugues de Jouvenel et le physicien Pierre Papon soulignent que les injonctions et coupes budgétaires de l’administration américaine ne concernent pas seulement les sciences humaines, soupçonnées de « wokisme », mais aussi des domaines stratégiques, sinon vitaux, relevant des sciences « dures », tels que la santé, l’environnement, l’énergie et le climat.
Après Harvard et Columbia, l’université de la baie de San Francisco se prépare à l’arrivée de la commission d’enquête sur l’antisémitisme mise en place par le gouvernement fédéral.
Harvard a attaqué lundi l'administration de Donald Trump en justice contre le gel de subventions fédérales destinées à la prestigieuse université américaine.
L’ancien président souhaite «ouvrir un cadre juridique durable et simple» pour faciliter l’accueil en France des chercheurs américains menacés par les politiques du président républicain et parvenir à les «attirer» avant le reste du monde.Comment faciliter l’accueil en France des chercheurs américains harcelés par l’administration Trump ? Le sujet, brûlant, est au cœur de la première proposition de loi de François Hollande, redevenu député. L’ancien président a déposé ce lundi 14 avril un texte qui ambitionne de créer un statut spécifique de «réfugié scientifique».
Alors que la science n’a sans doute jamais été aussi nécessaire pour éclairer nos choix collectifs, à l’âge du bouleversement climatique et de l’érosion de la biodiversité, sommes-nous face à un nouvel obscurantisme ? Pour analyser ce déni de la parole scientifique, Socialter a interrogé deux chercheurs, le climatologue Christophe Cassou, co-auteur en 2021 du 6e rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec), engagé dans l’opposition à l’A69, et l’écologue Philippe Grandcolas, spécialiste de la biologie de l’évolution, fin connaisseur des travaux de l’IPBES (plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques) et des COP sur la biodiversité.
C’est un refus qui passe très mal auprès de Donald Trump. Celui de la prestigieuse université Harvard contre les exigences du président américain, voulant remettre en cause son fonctionnement, ses politiques d’admission des étudiants et de recrutement du personnel ainsi que ses programmes académiques. "L’université ne renoncera pas à son indépendance ni à ses droits constitutionnels", a assuré lundi son président, Alan Garber, dans une lettre retentissante adressée aux étudiants et aux enseignants.
Est-il possible de prévoir l’avenir dans le contexte du système technicien ? Si oui, dans quelle mesure cela peut-il s’envisager ? Et si non, quelles sont les conséquences ainsi que les leçons éthiques et politiques de cette analyse ? On ne devrait pas sous-estimer l’importance et la portée de ces quelques questions, pour notre destin partagé.
Dans un monde où l’information est devenue à la fois omniprésente et suspecte, la destruction délibérée de bases de données scientifiques évoque de sombres souvenirs historiques. Elle représente une menace sérieuse pour l’avenir de la connaissance partagée, le progrès scientifique global et, plus fondamentalement, la richesse des nations. Depuis le 20 janvier 2025, l’administration aux commandes de la première puissance mondiale mène une campagne méthodique contre les données, particulièrement celles à caractère scientifique. Plus de 3 400 jeux de données, dont 2 000 à vocation scientifique, ont été supprimés des sites gouvernementaux américains. Cette offensive cible prioritairement les informations relatives au changement climatique, à la santé publique et à l’équité sociale.
Après l’université new-yorkaise Columbia, la prestigieuse Harvard située dans l’agglomération de Boston, se voit menacer de perdre ses subventions fédérales. L’administration lui reproche de laisser prospérer «l’antisémitisme» sur son campus.
Plus de 1 900 scientifiques membres de l’Académie nationale des sciences ont co-signé une lettre ouverte tirant la sonnette d’alarme sur « le réel danger » que représente l’administration Trump pour la science. Dès le début de son second mandat, le président a apporté de grands bouleversements portant directement atteinte à la communauté scientifique et aux recherches du pays.
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.