– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.
Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
focusbiodiversité h2o
Quel est le rapport ? Biodiversité, climat, alimentation, eau, santé : dans une nouvelle évaluation parue mardi 17 décembre, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité (IPBES) met en évidence l’interconnexion entre cinq grandes crises écologiques et appelle à ne plus les traiter séparément. Auteur principal du rapport, Patrick Giraudoux le décortique pour Vert.
Comme le prouve une hécatombe d'éléphants au Botswana, la crise climatique peut favoriser les empoisonnements de la faune à l'échelle mondiale
Le rapporteur public de la cour administrative d’appel de Bordeaux préconise de suspendre l’arrêté préfectoral qui autorise quatre mégabassines dont celle de Sainte-Soline faute de dérogation à la destruction d’une espèce d’oiseau protégée.
Si les émissions de gaz à effet de serre continuent de croître au rythme actuel, la majeure partie de la France métropolitaine pourrait basculer sous un climat de type méditerranéen à la fin du siècle. Vagues de chaleur, sécheresses ou au contraire inondations et tensions sur l’eau, mise en difficulté de la biodiversité, voire propagation de maladies… Nombreux sont les impacts attendus du changement climatiques.
Les pays Balkans risquent d'endommager de façon irréversibles leurs milliers de kilomètres de rivières encore intacts, met en garde une ONG, pointant du doigt la multiplication des projets de barrages hydroélectriques et le non-respect des normes européennes."Les Balkans possèdent parmi les rivières les plus propres et sauvages d'Europe, des réserves cruciales pour la biodiversité du continent", souligne le rapport publié mercredi par l'ONG ClientEarth.
Les néonicotinoïdes, souvent en semences enrobées, sont des insecticides qui détruisent tout type d'insectes volants, les vers de terres et les oiseaux notamment directement où indirectement et par extension les humains. 1/4 des pesticides sont des néonicotinoïdes, 60% d'entre eux sont des semences enrobées systémiques et se retrouvent donc dans toute la plante et par la suite dans les sols, l'eau de surface, les nappes phréatiques et dans nos corps. On les utilise aussi sur nos animaux de compagnie contre les puces et les tiques et sur nos animaux d'élevage.
Les bassines et méga-bassines sont des ouvrages de stockage d’eau de 10 hectares en moyenne. Des cratères recouverts de bâches plastiques, retenues par des digues de 10 m de hauteur environ. Ces réserves de substitutions ne sont pas remplies avec de l’eau de pluie ou de ruissellement, mais sont alimentées par des pompes qui puisent dans les nappes phréatiques, asséchant les rivières environnantes et détruisant la biodiversité. Une eau stockée, destinée à une agriculture intensive et productiviste, dont 2/3 sont consacrés à l’irrigation du maïs (exporté à 70%). Seuls 5% des agriculteurs de ces territoires ont accès à cette ressource. Ces projets de méga-bassines sont subventionnés à plus de 70% par de l’argent public, pour des bénéfices privés.
Des actions directes et intentionnelles continuent de détruire l’air, l’atmosphère, les sols et l’eau, ainsi que la faune et la flore, jusqu’à des écosystèmes entiers… et des populations humaines avec eux. Un mouvement existe pour criminaliser les actes de destruction à grande échelle et lui donner le nom d’écocide. La criminalisation pourrait toutefois ne pas suffire, surtout au Canada.
Le CNPN a rendu son avis : les mégabassines à Ste Soline sont contraires à la protection de l'outarde canepetière, en voie d’extinction.
Au moins 100 éléphants sont morts par manque d’eau dans le plus grand parc national du Zimbabwe, a indiqué lundi une...
La crise environnementale est à la fois complexe et conséquente. Quels sont les risques à long terme, de la crise de l'eau ?
Depuis 2015, en seulement huit ans, nous sommes passés de trois à six limites globales franchies. La dernière limite en date à avoir été dépassée est celle de l’eau douce, ressource de plus en plus rare.
Six des neuf limites planétaires sont dépassés, et deux autres vont probablement suivre le même chemin.
L’hydrologue Emma Haziza travaille depuis le début des années 2000 sur l’impact du changement climatique sur la ressource en eau en France et dans le monde. La chercheuse a notamment animé la chronique Un degré de conscience sur France Info. Emma Haziza intervient fin août aux journées Agir pour le Vivant organisées par Actes Sud à Arles du 21 au 27 août. L’occasion pour GoodPlanet Mag’ de l’interviewer afin d’aborder les enjeux liés à l’eau ainsi que le traitement médiatique de la crise environnementale.
Certes, certaines mesures s’avéreront couteuses. Mais, comme on l’a vu par le passé, une politique communautaire ambitieuse porte ses fruits. Alors que l’Escaut figurait parmi les fleuves les plus pollués du continent dans les années 80, la qualité de ses eaux s’est améliorée du fait que les États riverains ont été obligés d’atteindre un bond écologique des eaux en 2015.
Le président de la LPO (Ligue des protections des oiseaux) alerte sur les pénuries d’eau et leurs effets délétères sur la biodiversité.
Une scientifique française a trouvé le moyen d’exploiter une plante invasive pour fabriquer des filtres de dépollution de l’eau très performants. Divers autres usages sont encore envisagés.
Plus d'eau au robinet dans une centaine de communes en France, des récoltes détruites faute d'arrosage, une biodiversité en danger: interpellé sur tous les fronts de cette sécheresse historique, le gouvernement ne cache plus sa préoccupation.
Selon le climatologue Christian Veil, les faibles précipitations et les températures caniculaires de juillet ont encore accentué la sécheresse des sols en France, avec des conséquences sur la végétation et l’agriculture.
Die Zeit fait la part belle aux infographies. Celle-ci, publiée dans l’édition du 15 juin de l’hebdomadaire de Hambourg, met en avant cette grosse baie à la chair verte dont l’énorme noyau est l’unique pépin : l’avocat. Riche en vitamines, ce fruit est de plus en plus prisé, si bien que sa production mondiale a été multipliée par cinq entre 1980 et 2020. Une croissance qui représente une menace environnementale dans la mesure où les surfaces de culture ont parfois remplacé la forêt et où 1 000 litres d’eau sont nécessaires pour produire un seul kilo.