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faune
Les efforts de l'Indonésie pour ajouter la biomasse à son bouquet énergétique et à ses exportations contribuent à la déforestation et menacent les habitats clés d'espèces en danger telles que les orangs-outans, estime un rapport publié jeudi."Les forêts du pays sont confrontées à des menaces sans précédent en raison de l'échelle industrielle prévue pour la demande de biomasse", dénoncent plusieurs groupes de défense de l'environnement, parmi lesquels Auriga Nusantara et Earth Insight, dans leur rapport.
Les projets Eacop/Tilenga de TotalEnergies en Ouganda et Tanzanie ont déjà des effets sur la faune et les communautés locales.
Malgré l’engouement majeur de nombreux élus pour le développement éolien, je ne peux, en tant qu’agriculteur et ornithologue, que déplorer le manque apparent d’intérêt de la part de ces mêmes élus de réfléchir aux conséquences de ce développement sur la faune aviaire.
Cela ressemble à de la science-fiction, mais c'est la réalité : le disparition des vautours en Inde a des conséquences dévastatrices pour le Santé humaine et l'économie du pays. La raison est facile à dire : ces oiseaux de proie ils nettoient les carcasses infectées et, en les éliminant, ils réduisent les populations d'autres charognards, comme les chiens sauvages qui peuvent transmettre des maladiesvoire mortel, par exemple le colère. De plus, sans vautours à proximité, les agriculteurs se débarrassent du bétail mort en le jetant dans les cours d’eau.
Des milliers de filets de pêche perdus ou abandonnés traînent dans les mers du globe, avec des conséquences désastreuses. Ils sont dangereux pour de nombreux animaux, soit parce qu’ils les entravent et les noient, soit parce qu’en se dégradant ils sont absorbés par la faune océanique.
Des parcs reliés, une vaste forêt désenclavée, des passages pour la faune créés... Un ambitieux programme de végétalisation vise à créer des corridors verts dans la capitale belge. Cet article est publié un partenariat avec la Revue Salamandre. Bruxelles (Belgique), reportage La lueur rose de l’aube s’étiole quand s’éteignent les lampadaires qui cernent le petit rond-point en briques. La route à double sens qui passe là sépare le parc Roi-Baudouin du parc de la Jeunesse. Ce sont les deux premiers (...)
Les océans sont essentiels à notre survie, assurant la moitié de l'oxygène mondial. Savez-vous quelle est sa plus grande menace ?
De mauvaises conditions météorologiques ont entraîné le 2 décembre la chute d’une citerne de 28 000 litres d’acide sulfurique d’un cargo. Pour Mireille Pujo-Pay, océanographe, la toxicité qui pourrait découler de cet incident reste mineure.
Il est bien connu que de nombreuses grandes espèces de vertébrés ont disparu à la fin du Pléistocène dans la plupart des régions du monde. La cause de l’extinction de cette mégafaune reste incertaine, même si le changement climatique et les impacts humains ont souvent été pointés du doigt. Selon une nouvelle analyse approfondie, les deux causes seraient effectivement impliquées, et même intimement liées. Les détails de ces travaux sont publiés dans la revue Science.
Près de 50 000 hectares sont partis en fumée en juillet en Grèce. Une partie de la faune a été affectée par ces incendies, notamment à Rhodes où des cervidés ont été retrouvés carbonisés. Les feux ont aussi engendré la diffusion de particules polluantes à des niveaux "record".