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chaleur

octobre 2024

Il est "quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée" après le record de 2023, a annoncé mardi l'observatoire Copernicus. Septembre 2024 a été le 2e mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, poursuivant une série de plus d'un an de températures exceptionnelles. L'observatoire européen note également dans son bulletin de septembre des "précipitations extrêmes" sur une partie de l'Europe ainsi que des conditions plus humides que la normale sur certaines régions d'Amérique du Nord, d'Asie et d'Afrique:
Septembre 2024 a été le 2e mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, poursuivant une série de plus d'un an de températures exceptionnelles qui rend "quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée" devant le record de 2023, a annoncé mardi l'observatoire européen Copernicus.
L’installation permet d’expérimenter la vie sous un climat extrême. Une expérience, créée par l’explorateur et chercheur Christian Clot, qui entend ainsi pousser chacun à l’action.
Une Flandre « chaleureuse » Il a fallu du temps. Des nuits blanches, une crisette et une réunion marathon, mais nous y voilà : un accord de gouvernement flamand a vu le jour, débordant de projets ambitieux pour une « Flandre chaleureuse et prospère ». Avec toutefois un sujet bien peu abordé. Et le climat, dans tout ça ? Pour l’heure, l’ambition se limite à une réduction de 40 % des émissions d’ici 2030 par rapport à 2005. Inquiétant... Pour ceux qui se soucient du climat, certes. Mais aussi pour ceux qui ont à cœur la défense de l’État de droit.

septembre 2024

Un rapport de l’observatoire européen, publié lundi, rapporte que plus d’un cinquième de la surface océanique mondiale a connu une vague de chaleur sévère en 2023. Ce réchauffement s’explique par le fait que les océans ont absorbé depuis 1970 « plus de 90 % de l’excès de chaleur du système climatique ».
L'augmentation de la température des océans entraîne une élévation du niveau de l'eau, qui menace certaines îles et leur population.
Dans une étude publiée mercredi, des chercheurs français estiment que la capitale pourrait franchir cette barre avant le mitan du siècle, dans le pire des scénarios climatiques. Une perspective qui peut encore être évitée.
Cet été a été le plus chaud jamais enregistré sur le continent européen, rapporte jeudi l'observatoire européen Copernicus.
Conséquence directe du dérèglement climatique, ces chaleurs nocturnes se banalisent dans le Sud et remontent de plus en plus vers le nord du pays.
Nicolas Ghilain est climatologue à l’université de Liège et à l’IRM, où il crée et améliore des outils de modélisation du climat régional, afin de répondre à la question cruciale : à quoi ressemblera le climat belge dans le futur ? En particulier, il essaie de déterminer si nous devrons faire face plus fréquemment à des événements extrêmes (pluies intenses, vagues de chaleur et sécheresses), et de quelle intensité. Il étudie également l’influence de l’aménagement du territoire et de la végétation sur le climat, un sujet d’étude encore récent.


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