La veille

OA - Liste

– Outil de recherche de références documentaires –

Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille

Langue(3/3)
Médias(8/8)
filtre:
plusde2

juillet 2025

Ça y est, le pot aux roses a été découvert : l’objectif de limiter le réchauffement climatique à +1,5°C par rapport à l’ère préindustrielle, fixé lors de l’accord de Paris sur le climat en 2015, «n’est désormais plus atteignable».
Depuis plusieurs années, les scientifiques alertent sur les conséquences du changement climatique, et l’objectif international majeur a toujours été clair : limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Pourtant, les dernières données publiées par un consortium international réunissant soixante chercheurs, parmi lesquels des experts français de Météo-France, du CNRS, du CEA et de Mercator Ocean International, viennent de jeter un sérieux froid. Selon leur étude récente, le budget carbone restant, c’est-à-dire la quantité maximale de gaz à effet de serre que l’humanité peut encore émettre pour rester sous ce seuil, sera épuisé dans seulement trois ans si les émissions continuent au rythme actuel.
“We have failed to shift the narrative and we are still caught up in the same legal, economic and political systems,” said David Suzuki in an exclusive interview with iPolitics. “For me, what we’ve got to do now is hunker down.”

juin 2025

Le non-dépassement de un degré et demi de réchauffement climatique global a toujours été une chimère Paris, décembre 2015 : objectif 2°C max. ! Lors de la COP21 à Paris en décembre 2015, le Préside…
Christophe Cassou, climatologue et auteur du GIEC dans le groupe 1, est invité sur le plateau de franceinfo suite à une étude qu'il a sorti et pour parler des vagues de chaleur actuelles. Il y explique l'évolution des températures globales et leurs conséquences. Ça fout les boules, mais qu'est-ce que ça motive.
Avec 60 scientifiques de 54 institutions et 17 pays, nous avons réactualisé le suivi des indicateurs clés du changement climatique et de l'influence humaine jusqu'à fin 2024, sur la base des réactualisations des jeux de données et méthodes évalués dans le 6ème rapport du GIEC (2021) qui portaient souvent jusqu'à fin 2019.
Sans baisse rapide des émissions, le budget carbone pour limiter le réchauffement à 1,5 ºC sera épuisé d’ici trois ans, alertent des scientifiques. Le climat se dérègle plus vite que prévu.
Ce n’était qu’une question de temps. Une nouvelle étude montre que limiter le réchauffement planétaire à +1.5°C est désormais inatteignable. Cette annonce aura de très lourdes conséquences politiques, économiques et sociales. Nous savions depuis la sortie du rapport du GIEC en août 2021 que tous les scénarios SSP repris par le GIEC anticipaient un dépassement de ce seuil. Pierre Friedlingstein, auteur du groupe 1 du GIEC, disait en fin d’année 2023 qu’il “semble désormais inévitable que nous dépassions l’objectif de 1,5°C de l’Accord de Paris“.
Selon un collectif de scientifiques, l’objectif fixé par l’accord de Paris en 2015 ne pourra pas être atteint en raison de l’incapacité des pays à diminuer les émissions de gaz à effet de serre.
Face à l’incapacité des pays à diminuer les émissions de gaz à effet de serre, maintenir le réchauffement climatique sous le seuil symbolique des 1,5°C, fixé il y a dix ans par l’accord de Paris, n’est plus un objectif réaliste, constate un collectif de scientifiques dans une étude internationale annuelle sur les données climatiques.
Un réchauffement climatique d’au moins +1,5°C est désormais inéluctable, concluent des scientifiques dans un rapport publié ce jeudi, qui vise à dresser un état des lieux de la santé de la planète.
In a rapidly changing climate, evidence-based decision-making benefits from up-to-date and timely information. Here we compile monitoring datasets (published at https://doi.org/10.5281/zenodo.15639576; Smith et al., 2025a) to produce updated estimates for key indicators of the state of the climate system: net emissions of greenhouse gases and short-lived climate forcers, greenhouse gas concentrations, radiative forcing, the Earth's energy imbalance, surface temperature changes, warming attributed to human activities, the remaining carbon budget, and estimates of global temperature extremes. This year, we additionally include indicators for sea-level rise and land precipitation change. We follow methods as closely as possible to those used in the IPCC Sixth Assessment Report (AR6) Working Group One report.
Emissions de gaz à effet de serre, réchauffement des températures, budget carbone restant, élévation du niveau de la mer, déséquilibre énergétique de la Terre... une nouvelle étude publiée ce jeudi 19 juin par 61 scientifiques participant aux travaux du Giec tire la sonnette d'alarme sur l'état du changement climatique au niveau planétaire.
An international group of researchers has produced a third update to key indicators of the state of the climate system set out in the IPCC AR6 assessment, building on previous editions in 2023 and 2024. Forster et al. (2025) assess emissions, concentrations, temperatures, energy transfers, radiation balances, and the role of human activity and conclude that, while natural climate variability also played a role, the record observed temperatures in 2024 were dominated by human activity and the remaining carbon budget for 1.5° C is smaller than ever.
Breaching threshold would ramp up catastrophic weather events, further increasing human suffering


Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.

Autres Thématiques