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Les températures dans l’Hexagone devraient atteindre des niveaux historiques par endroits ce vendredi 30 mai. Plusieurs départements vont être placés en vigilance jaune par Météo France.
Une étude publiée ce jeudi 15 mai révèle pour la première fois, les liens entre le risque d’épidémies de maladies infectieuses transmises par les moustiques et le climat. L’urbanisation et les déplacements sont aussi pointés du doigt.
Une étude publiée ce mercredi 7 mai dans la revue scientifique «Nature» ausculte en détail la fréquence à laquelle les événements extrêmes vont frapper la vie de personnes nées à des époques distinctes.
Global temperature for 2025 should decline little, if at all, from the record 2024 level. Absence of a large temperature decline after the huge El Nino-spurred temperature increase in 2023-24 will provide further confirmation that IPCC’s best estimates for climate sensitivity and aerosol climate forcing were both underestimates. Specifically, 2025 global temperature should remain near or above +1.5C relative to 1880-1920, and, if the tropics remain ENSO-neutral, there is good chance that 2025 may even exceed the 2024 record high global temperature.
Records de chaleur, désastres climatiques : en 2024, l’Europe a été particulièrement touchée par le dérèglement climatique, révèle un épais rapport de Copernicus. Le point en infographies.
L’Europe est en première ligne face au dérèglement climatique et n’a pas été épargnée en 2024, avec un fort contraste entre l’est et l’ouest. C’est ce que révèlent l’organisme européen Copernicus et l’Organisation météorologique mondiale dans leur bilan annuel ce mardi. On fait le point.
Le rapport sur l’état du climat de l’Europe en 2024 montre un contraste entre les conséquences de la crise climatique à l’est et à l’ouest du continent, alors qu’il est celui qui se réchauffe le plus vite sur la planète.
Records de chaleurs, de pluies, de sécheresses... Dans un rapport, Météo-France décrit le climat d’une France à +4 °C, soit la hausse des températures prévue pour 2100. Des canicules s’étendant de mi-mai à mi-septembre, et pouvant durer deux mois continus ; des épisodes de sécheresse durant des années ; une multiplication par dix des jours de vagues de chaleur et de nuits tropicales ; des montagnes privées de neige pendant la majorité de l’hiver…
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut: après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l'hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète en poursuivant plus de deux ans d'observations de chaleurs à des niveaux historiques.
Le mois qui vient de s’écouler «s’inscrit dans la lignée des températures records ou quasi records» depuis deux ans, pointe le bulletin mensuel publié ce jeudi 6 mars par l’observatoire européen Copernicus.
Ballet des glaces. La banquise des deux pôles n’a jamais été à un niveau aussi bas qu’en février 2025. À l’inverse, les températures mondiales sont au plus haut. C’est ce que révèle le bulletin mensuel de l’observatoire européen Copernicus publié jeudi.
Avec un réchauffement de 2 °C, la part du globe concernée par des pics de chaleur dangereux pour les humains sera trois fois plus étendue qu'aujourd'hui, selon une étude. Une hausse attendue pour le milieu du siècle.
C’est chaud ! Une publication britannique parue dans Nature medicine lundi a révélé que la chaleur devrait tuer plus que le froid d’ici à 2099 en Europe. La diminution du nombre de décès provoqués par les basses températures ne compensera pas l’augmentation de ceux liés à un mercure élevé, selon leurs projections.
Au cœur de la science du climat, il existe une déconnexion déconcertante entre les projections climatiques et les projections démographiques. En effet, si l’on compare les deux, on pourrait penser que les spécialistes de la population et les spécialistes du climat vivent dans deux mondes complètement différents.
Les restrictions d'électricité ont repris sur l'ensemble de l'Ukraine, en raison de fortes chaleurs qui dopent la demande, à annoncé lundi le distributeur d'énergie national Ukrenergo.Depuis des mois, Moscou a lancé une campagne de bombardements massifs, visant les principaux centres de production et de distribution d'électricité ukrainiens, entraînant des coupures massives jusqu'à ce que la situation se normalise fin juillet. Mais celle-ci s'est de nouveau dégradée avec la chaleur estivale qui stimule notamment le recours aux systèmes de climatisation.
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