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pluies
Le centre et l’est du pays ont été touchés par une tempête tropicale entre le 6 et le 9 octobre, coupant des communautés entières du reste du pays. Les opérations de secours sont toujours en cours.
D’importantes précipitations ont frappé l’est et le centre du pays jeudi. La présidente du Mexique a ordonné le déploiement de 10 000 militaires pour aider les services de secours.
De fortes pluies ont provoqué des inondations dans la région de Murcie, dans le sud-est de l’Espagne. Des dizaines de personnes ont dû être évacuées et les rues ont été inondées. Aucun décès n’est à déplorer pour l’instant.
Les cumuls de cette tempête tropicale « peuvent atteindre les 100 à 150 millimètres, localement 200 millimètres sur le relief », selon Météo-France Guadeloupe. La Martinique est, elle, placée en vigilance orange pour l’instant.
Le littoral d’Alicante est placé pour vendredi 10 octobre en alerte rouge par l’agence météorologique espagnole : 140 millimètres d’eau sont attendus en l’espace de quelques heures.
Alors que le gouvernement expérimente un nouveau dispositif de prévention contre le retrait-gonflement des argiles dans plusieurs départements, dans le Périgord, une des zones pilotes, sinistrés et élus dénoncent des critères d’indemnisation opaques.
Ces phénomènes violents sont courants en Asie du Sud durant la saison des moussons, entre juin et septembre, mais les scientifiques indiquent que le changement climatique aggrave ces phénomènes.
L’est du pays a enregistré de fortes pluies dans la nuit de dimanche 28 à lundi 29 septembre, provoquant des inondations sans dégâts majeurs connus pour le moment.
Onze mois après des inondations meurtrières, Valence et sa région sont sous haute surveillance et se préparent à affronter un nouvel épisode de pluies extrêmes.
En Europe, les catastrophes naturelles de cet été ont coûté 43 milliards d’euros
Ces derniers jours, trois des fleuves du Pendjab, le grenier à blé du pays, où vivent près de la moitié des 255 millions de Pakistanais, sont sortis de leur lit à cause des pluies de mousson.
Les pluies violentes qui s'abattaient toujours samedi sur le Pendjab, au Pakistan, où plus de 1,5 million de personnes se trouvent dans les zones susceptibles d'être submergées ou déjà sous les eaux, ont forcé l'évacuation de 480 000 habitants.
Les catastrophes se succèdent depuis la fin de juin dans les régions montagneuses du nord des deux pays. Des pluies torrentielles ont entraîné une série de crues soudaines et de coulées de boue et de roche. Des villages entiers ont été rayés de la carte.
Dix personnes sont mortes dans la nuit de mardi à mercredi à Karachi, mégalopole de plus de 20 millions d’habitants, où l’eau reflue désormais. Dans le Nord, les autorités estiment que l’épisode de pluies torrentielles va continuer jusqu’à samedi.
Au moins 20 personnes ont été emportées lundi par des pluies torrentielles dans le nord du Pakistan, selon des responsables locaux, ce qui vient gonfler le bilan meurtrier d'une saison de mousson inhabituellement intense.
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