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observation
Global temperature (12-month mean) is still rising at 1.56°C relative to 1880-1920 in the GISS analysis through April (Fig. 1). [Robert Rohde reports that it is 1.65°C relative to 1850-1900 in the BerkeleyEarth analysis.[3]] Global temperature is likely to continue to rise a bit for at least a month, peak this summer, and then decline as the El Nino fades toward La Nina. Acceleration of global warming is now hard to deny. The GISS 12-month temperature is now 0.36°C above the 0.18°C/decade trend line, which is 3.6 times the standard deviation (0.1°C). Confidence in global warming acceleration thus exceeds 99%, but we need to see how far temperature falls with the next La Nina before evaluating the post-2010 global warming rate.
The sixth assessment report of the IPCC assessed that the Arctic is projected to be on average practically ice-free in September near mid-century under intermediate and high greenhouse gas emissions scenarios, though not under low emissions scenarios, based on simulations from the latest generation Coupled Model Intercomparison Project Phase 6 (CMIP6) models. Here we show, using an attribution analysis approach, that a dominant influence of greenhouse gas increases on Arctic sea ice area is detectable in three observational datasets in all months of the year, but is on average underestimated by CMIP6 models. By scaling models’ sea ice response to greenhouse gases to best match the observed trend in an approach validated in an imperfect model test, we project an ice-free Arctic in September under all scenarios considered. These results emphasize the profound impacts of greenhouse gas emissions on the Arctic, and demonstrate the importance of planning for and adapting to a seasonally ice-free Arctic in the near
Dans une tribune au « Monde », le philosophe Gérard Bensussan analyse le discours du président Poutine et de ses proches, caractérisé par des opérations de langage qui veulent « faire disparaître le réel et le remplacer par ses contrefaçons ».
Une nouvelle étude suggère que les pires scénarios tablant sur un réchauffement de 4 à 5°C ne sont plus plausibles si l’on prend en compte les observations et les projections de l’Agence Internationale de l’Energie. Toutefois, les scénarios jugés plausibles indiquent également que le monde n’est toujours pas en mesure de limiter le réchauffement du XXIe siècle à 1,5 °C ou à moins de 2 °C.
Les sept années de 2015 à 2021 ont été de façon "nette" les plus chaudes jamais enregistrées, confirmant l'avancée du réchauffement climatique avec des concentrations record de gaz à effet de serre, a annoncé lundi le service européen Copernicus d'observation de la Terre.
A l'ouest du continent de glace, la dernière plateforme du glacier Thwaites se fissure de plus en plus, selon de nouvelles observations scientifiques. Un événement aux conséquences dramatiques pour les zones côtières.
Le climat de notre planète est étroitement lié aux flux d’énergie qui entrent et sortent du système Terre/atmosphère : une partie du rayonnement solaire qui nous parvient est directement réfléchie vers l’espace.
depuis le début de l’ère industrielle, l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre dans notre atmosphère perturbe l’équilibre énergétique de notre planète en capturant une partie croissante En absorbant le rayonnement terrestre, chacun des gaz dans l’atmosphère laisse en effet une empreinte unique dans le spectre ; , nous avons pu évaluer avec précision, en nous appuyant sur dix années de mesures journalières de l’instrument IASI, les changements dans le rayonnement terrestre qui s’échappe vers l’espace.
Prendre la mesure du réchauffement climatique, du trou dans la couche d’ozone, des émissions de gaz à effet de serre ne serait pas possible sans données fiables. Les parties réunies à Glasgow pour la COP26 le savent bien. A Bruxelles, une quinzaine d’experts sur les trente que compte le laboratoire Squares de l’ULB y consacrent leurs recherches grâce aux données envoyées par des instruments placés sur des satellites en orbite autour de la Terre.
The Working Group I contribution to the Sixth Assessment Report addresses the most up-to-date physical understanding of the climate system and climate change, bringing together the latest advances in climate science, and combining multiple lines of evidence from paleoclimate, observations, process understanding, and global and regional climate simulations.