– Outil de recherche de références documentaires –
Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom.
Pour voir les références d’un mot-clé, cliquez dessus.
Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
perturbateurs
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) ont récemment publié un rapport démontrant que quelque 152 millions de bébés sont nés avant terme au cours de la dernière décennie. Ces naissances prématurées représentent un problème de santé publique majeur, avec des taux de mortalité infantile inquiétants. Mais les facteurs qui contribuent à cette "urgence silencieuse" sont multiples et parfois méconnus.
Chlore, pesticides, perturbateurs endocriniens... Comme si cela ne suffisait pas déjà, une étude découvre aussi des métaux dans les tampons.
Un rapport ministériel publié lundi évalue cinq ans d’action contre ces substances chimiques capables de modifier notre système hormonal. Un des auteurs appelle les autorités à réguler toute cette famille de produits.
Les maladies causées par les perturbateurs endocriniens augmentent, alertent les signataires de cette tribune. À l’occasion de la Journée européenne des hormones, ils appellent à intensifier la lutte et les mesures de prévention. Trente et une ! Selon les résultats de l’étude PEPS’PE publiés par Santé publique France fin décembre 2023, les perturbateurs endocriniens — ces substances chimiques susceptibles d’induire des effets délétères sur un organisme et/ou ses descendants —, seraient impliqués dans pas (...)
Les consommateurs pourront bientôt savoir si les produits qu’ils achètent contiennent un ou plusieurs perturbateurs endocriniens. L’obligation d’afficher la présence du formaldéhyde, des phtalates, de phénoxyéthanol, etc., adoptée dans le cadre de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (Agec), aurait dû entrer en vigueur au 1ᵉʳ janvier 2022, mais plusieurs arrêtés n’avaient pas encore été publiés. C’est chose faite depuis le 12 octobre.
En 2017, le comité des États membres de l’Agence européenne des produits chimiques (ECHA), qui évalue et régule les produits chimiques, a identifié officiellement le bisphénol A comme perturbateur endocrinien. Cette substance faisait déjà l’objet de plusieurs interdictions en France. Les industriels commercialisant les produits concernés ont donc dû la remplacer par des substances chimiques possédant les mêmes fonctions technologiques.
Alors qu’on sait désormais que l’origine des maladies s’ancre dans une combinaison alliant génétique et environnement, les recherches sur l’exposome tentent de caractériser l’ensemble des déterminants environnementaux à la santé.
Entre 1970 et 2016, les populations européennes de poissons amphiphalins (c’est-à-dire qui vivent entre eau douce et eau salée) ont baissé de 93 %. Les causes de cet effondrement sont « multiples et synergiques ». La FNPF pointe notamment le changement climatique, qui réduit le débit d’eau, favorise l’apparition de certaines maladies et affecte le cycle de migration et de reproduction de ces poissons. Parmi les autres responsables : la dégradation des milieux aquatiques, la pollution de l’eau par les pesticides, les perturbateurs endocriniens et les polychlorobiphényles (PCB), le braconnage… La FNPF évoque également les barrages, qui entravent voire bloquent le déplacement des poissons migrateurs. On en trouve en moyenne 1 tous les 5 kilomètres dans les cours d’eau français : une difficulté « insurmontable », selon la Fédération.
CO2, pesticides, particules fines, perturbateurs endocriniens, PFAS : avec la révolution industrielle, un nouvel univers chimique a été créé, qui n’est pas celui dans lequel l’humain avait évolué. Les conséquences sur la santé sont majeures, explique le chercheur Rémy Slama.
Plus de deux décennies après la publication de « L’Homme, en voie de disparition ? » ou mieux connu sous son nom original « Our Stolen Future », où en sommes-nous avec la recherche sur les perturbateurs endocriniens, ces contaminants sournois qui dérèglent nos hormones ?
L’exposition à un cocktail de polluants chimiques très répandus, appelés perturbateurs endocriens, provoque des retards de langage chez l’enfant. Ce résultat a été obtenu par une équipe de recherche internationale et publié dans Science ce vendredi 18 février.
Au cours de la séance, les députés et députées de la commission d'enquête sur la contamination par les PFOS, substances chimiques classées comme perturbateurs endocriniens, autour du site de l'entreprise chimique 3M à Zwijndrecht voulaient savoir comment il était possible que l'Agence pour les soins et la santé n'ait été informée des problèmes de contamination potentielle à Zwijndrecht qu'au début du mois de juin de cette année.
Ces composés chimiques, qui se retrouvent dans des aliments et les objets du quotidien, sont considérés comme des perturbateurs endocriniens nocifs pour la santé.
Une étude américaine établit de manière certaine le lien direct entre l’exposition à ces composés chimiques, considérés comme des perturbateurs endocriniens, et des décès dus à des maladies cardiovasculaires ou à des cancers.
L'Autorité de la concurrence a épinglé des entreprises et organisations professionnelles de fabrication et de vente alimentaire pour une entente visant à cacher la possible présence de l'un des perturbateurs endocriniens le plus connu en France.
Depuis 2015, le bisphénol A, perturbateur endocrinien avéré, est interdit dans les contenants alimentaires et dans les tickets de caisse. Mais ses remplaçants posent aussi problème.
Shanna Swan, spécialiste étasunienne de santé environnementale, s’attaque à un sujet « dont on ne veut pas parler » : les liens entre pollution chimique et problèmes de fertilité. Les perturbateurs endocriniens, issus notamment des plastiques, altèrent profondément la santé reproductive des femmes, des hommes et de bien d’autres espèces.
abs_empty
Des produits chimiques appelés phtalates provoquent la naissance de bébés humains avec des organes génitaux mal formés et plus petits. Un livre détaillant les défis auxquels la reproduction humaine est confrontée, écrit par le Dr Shanna Swan professeur de médecine environnementale et de santé publique au Mount Sinai Hospital de New York, livre ce constat effrayant : les pénis rétrécissent et les organes génitaux se déforment à cause de la pollution, comme l’explique The Independant. En 2017 déjà, le Dr Swan a co-écrit une étude qui révélait que le nombre de spermatozoïdes avait chuté de 59% en Occident entre 1973 et 2011. Elle étudie la question plus complètement dans son dernier ouvrage.
Dans son nouveau livre, «Countdown», l'épidémiologiste environnementale et reproductive Shanna Swan prédit que le nombre de spermatozoïdes pourrait atteindre zéro d'ici 2045 grâce à des produits chimiques perturbateurs hormonaux qui sont «partout»