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Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a insisté samedi, lors d'une rencontre à Paris avec Donald Trump, sur la nécessité de conclure une "paix juste" avec la Russie.
La Russie a annoncé jeudi la fermeture du consulat polonais à Saint-Pétersbourg, en représailles à la fermeture, fin novembre, du consulat russe à Poznan. Le ministre polonais des Affaires étrangères a déclaré que son pays était prêt à fermer tous les consulats de la Fédération russe en Pologne si Moscou n'arrêtait pas de commettre des actes de "sabotage" et de "terrorisme".
Le général américain à la retraite Keith Kellogg, choisi par Donald Trump pour devenir l'émissaire pour l’Ukraine et la Russie, a des idées très précises pour mettre fin aux combats en Ukraine. Son plan fait largement écho aux revendications russes.
Alors que les appels à entamer des négociations avec Moscou se font plus pressants, y compris chez les alliés de Kiev, Volodymyr Zelensky a assuré que son pays avait besoin "d'armes" et d'un "pas en avant avec l'Otan".
Volodymyr Zelensky avait jusqu'à présent exclu de céder des territoires en échange de la paix. Le chef d'État ukrainien s’est dit prêt, vendredi, à accepter des garanties de protection de l’Otan limitées dans un premier temps aux territoires contrôlés par Kiev.
Un tribunal russe a ordonné l'arrestation de Catherine Norris Trent, grand reporter pour France 24, a rapporté mardi l’agence de presse russe Tass. Accusée d'avoir pénétré "illégalement" dans la région frontalière russe de Koursk, la journaliste franco-britannique avait accompagné l'armée ukrainienne sur le terrain. France 24 rappelle que ce reportage "embarqué" est "protégé par les droits accordés aux journalistes en vertu de la convention de Genève et du droit international".
Moscou a rapporté mardi avoir été visé ces derniers jours par deux nouvelles frappes ukrainiennes réalisées à l'aide de missiles américains ATACMS, plusieurs missiles ayant "atteint leurs cibles".
Dans la perspective d’un désengagement américain vis-à-vis de Kiev en raison du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, Paris et Londres n’excluent pas de prendre la tête d’une coalition en Ukraine, selon des modalités qui restent à préciser.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné vendredi de produire en série et de continuer à tester au combat le nouveau missile balistique hypersonique Orechnik, utilisé la veille pour frapper l'Ukraine. Une arme inconnue jusque-là, testée pour la première fois par Moscou contre Kiev et comme une mise en garde à l'Occident.
Washington s'est efforcé mercredi de justifier sa décision d'envoyer des mines antipersonnel à l'Ukraine, censées permettre de stopper les avancées russes.
Les États-Unis ont autorisé l’Ukraine, dimanche, à frapper des cibles en Russie avec les missiles ATACMS qu’elle lui a fournis. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, ne cessait de militer en ce sens. Mais dans le contexte actuel du conflit, ces missiles ne sont peut-être pas la solution miracle tant espérée.
Pour la première fois en deux mois, Kiev a été visée mercredi à l'aube par une attaque russe combinée de missiles et de drones. Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a dénoncé une fois encore "le terrorisme russe" et salué la réponse "efficace" de la défense antiaérienne.
Avec le retour prochain de Donald Trump au pouvoir aux États-Unis, les affrontements sur les fronts ukrainien et russe se sont intensifiés ces derniers jours. Après une attaque de drones ukrainiens de grande ampleur sur la région de Moscou dimanche, l'Ukraine a subi à son tour lundi plusieurs attaques, qui ont fait plusieurs morts et déclenché des sirènes d’alerte dans presque tout le pays.
L'Ukraine a lancé dimanche une salve de drones sur la région de Moscou d'une ampleur inédite depuis le début de la guerre russo-ukrainienne, qui a fait au moins un blessé sans provoquer de dégâts majeurs, selon les autorités russes. Le ministère russe de la Défense a indiqué sur Telegram que 70 drones ont été détruit dans six régions.
Démunie, l'armée ukrainienne peine à colmater les brèches que fait la Russie dans sa défense. Et sa tâche sera encore plus difficile si Moscou parvient à conquérir la ville stratégique de Pokrovsk.
Les États-Unis et la Corée du Sud ont appelé mercredi Pyongyang à retirer ses troupes en Russie, craignant qu'elles ne combattent en Ukraine, tandis que l'ambassadeur russe à l'ONU, Vassili Nebenzia, a qualifié de "simples affirmations" cette présence.
La Russie a dit avoir procédé mardi à de nouveaux exercices militaires nucléaires, sous la supervision du président Vladimir Poutine, qui avait évoqué récemment encore la possibilité de recourir à ces armes dans le cadre du conflit en Ukraine et avec les Occidentaux.
Les États-Unis et l'Otan ont confirmé mercredi que des milliers de soldats nord-coréens ont été envoyés en Russie, faisant craindre une escalade dans la guerre en Ukraine. Selon les experts militaires, cela pourrait conduire à de nombreuses désertions chez ces soldats confrontés pour la première fois au monde extérieur et à la réalité du champ de bataille.
Bouclant une tournée européenne dans le but de présenter son "plan de victoire" et réclamer davantage de soutien de ses alliés, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré vendredi viser une fin de la guerre dans son pays en 2025.
D'après le ministre sud-coréen de la Défense, des soldats nord-coréens seraient morts en Ukraine alors qu'ils combattaient aux côtés des forces russes. Cette affirmation fait écho à des informations relayées par la presse ukrainienne après une frappe près de Donetsk le 3 octobre. Séoul craint que Pyongyang n'envoie davantage de troupes pour soutenir son allié russe.