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Russie

mai 2025

Le gouvernement suédois a annoncé samedi instaurer à partir du 1er juillet de nouvelles règles renforçant le contrôle de navires étrangers, une mesure qui cible la "flotte fantôme" de la Russie en mer Baltique.
La Russie a revendiqué samedi 31 mai la prise d’un nouveau village ukrainien. Kyiv a ordonné des évacuations, pour parer à d’éventuelles attaques.
L'Ukraine se dit prête à participer à de nouveaux pourparlers avec la Russie, prévus lundi à Istanbul, mais exige un document précisant les conditions de Moscou pour une paix durable. Un premier cycle de négociations, tenu le 16 mai sous pression américaine, n'avait pas abouti.
Pour s’attaquer vraiment aux racines de la guerre en Ukraine, la Russie doit commencer par reconnaître et combattre la corruption systémique, qui représente une menace pour les Russes comme pour le reste du monde, estime le spécialiste américain en affaires publiques et internationales Matthew H. Murray, dans une tribune au « Monde ».
Le Kremlin a écarté ce vendredi 30 mai l’hypothèse d’une rencontre Poutine-Zelensky-Trump, sous l’égide du Turc Erdogan, conditionnant tout sommet de ce type à l’obtention de «résultats» dans les négociations avec Kyiv.
Les États-Unis exhortent la Russie à accepter l'accord actuel sur la guerre en Ukraine. "L'accord proposé actuellement est le meilleur résultat possible pour la Russie. Le président Poutine devrait l'accepter", a déclaré un représentant américain au Conseil de sécurité des Nations unies.
Les craintes d'une attaque russe envers l'OTAN ne cessent de croître au fil de l'avancée de la guerre en Ukraine. En janvier dernier, l'amiral néerlandais Rob Bauer, chef du comité militaire au sein de l'Otan, avertissait que l'Alliance devait "s'attendre à l'inattendu" et se préparer à une attaque russe. Les images satellites récemment publiées par le New York Time montrant que les Russes seraient en train de construire des bases militaires le long de la frontière finlandaise, ne font qu'augmenter ces craintes.
La Russie a dénoncé jeudi les attaques israéliennes dans la bande de Gaza comme une "punition collective de la population civile", en appelant à mettre fin "immédiatement à l'effusion de sang".
Le président Volodymyr Zelensky a affirmé que Moscou massait plus de 50.000 soldats près de la région ukrainienne de Soumy (nord-est), en vue d'une possible offensive contre ce territoire frontalier où Moscou dit vouloir créer "une zone tampon" pour prévenir des incursions de Kiev.
Moscou avait prévenu que des livraisons directes d’armes à longue portée, qui permettraient à Kiev de se défendre contre des cibles militaires sur le territoire russe, seraient considérées comme une implication de Berlin dans la guerre. La production en commun annoncée par le chancelier permet de contourner cet obstacle.
Quelque chose est en train de bouillir à la Maison blanche. Comme une soupe épaisse sur un feu médiatique. Un mélange de frustration, de justifications et de craintes. De "Je m’entends bien avec Vladimir Poutine", à "Il a dû lui arriver quelque chose", Donald Trump change progressivement son discours sur le président russe. Un changement pas encore radical mais perceptible en cinq mois à peine.
La Russie a proposé mercredi à l'Ukraine une deuxième séance de pourparlers directs à Istanbul, le 2 juin, afin de lui transmettre son "mémorandum" censé exposer les conditions russes pour un accord de paix durable
La Belgique a décidé de se joindre à la "coalition des drones" en faveur de l’Ukraine, a annoncé mercredi le ministre de la Défense, Theo Francken (N-VA) en marge d’une réunion à Riga, en Lettonie. En janvier dernier, on apprenait qu’une coalition internationale visant à fournir des drones à l’Ukraine, codirigée par le Royaume-Uni et la Lettonie, allait envoyer 30.000 nouveaux engins à Kiev. La Belgique en fera donc partie.
Donald Trump, qui pourrait annoncer bientôt de nouvelles sanctions contre la Russie selon des médias américains, a une nouvelle fois laissé éclater mardi sa frustration envers Vladimir Poutine, estimant qu'il "jouait avec le feu".
C’est l’histoire d’une guerre qui défie le temps, les traités… et les marchés. Alors que le conflit russo-ukrainien s’enlise et que les perspectives de négociations paraissent de plus en plus incertaines, les experts de JPMorgan Chase, première holding bancaire américaine, dressent une cartographie des issues possibles. Derrière les scénarios dits géorgien, sud-coréen, israélien ou biélorusse, une même ligne de fracture : entre concessions politiques et garanties de sécurité, quelle paix peut encore émerger d’un champ de ruines ? À la clef, pour les marchés et les investisseurs, un enjeu stratégique majeur : évaluer les risques systémiques d’une guerre qui redessine l’ordre mondial et ses équilibres économiques.


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