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Le gouvernement suédois a annoncé samedi instaurer à partir du 1er juillet de nouvelles règles renforçant le contrôle de navires étrangers, une mesure qui cible la "flotte fantôme" de la Russie en mer Baltique.
Selon la rédaction, ces couvertures dénigrent l’Ukraine, « la politique migratoire de l’Angleterre, ou colportent des rumeurs sur l’identité sexuelle de Brigitte Macron » et semblent « d’abord destinées au public russe ».
Ils sont dans le collimateur des espions américains, français, danois, allemands, suédois, estoniens... En tout, onze agences de renseignement et de sécurité informatique occidentales ont publié un rapport conjoint, mercredi 21 mai, sur la menace représenté par Fancy Bear, un groupe de pirates informatiques russes lié au GRU, le service russe de renseignement militaire.
La chercheuse en géopolitique Christine Dugoin-Clément, en revenant sur les actions non revendiquées, cyberattaques et autres campagnes de désinformation lancées par le régime de Vladimir Poutine depuis 2007, celui-ci a sapé avec efficacité l’ordre international.
Un navire de la "flotte fantôme" russe a effectué "des manœuvres suspectes à proximité d'un câble énergétique reliant la Pologne à la Suède", a affirmé mercredi le Premier ministre polonais. Des experts estiment que la Russie exploite une vaste "flotte fantôme" composée de centaines de navires, afin d'échapper aux sanctions imposées par les pays occidentaux sur ses exportations de pétrole en raison de la guerre en Ukraine. Plusieurs câbles sous-marins de la Baltique ont été endommagés l'année dernière, et de nombreux analystes estiment que cela fait partie d'une "guerre hybride" menée par la Russie contre les pays occidentaux.
Le feu avait détruit un centre commercial abritant près de 1 400 boutiques. Depuis l’agression russe contre l’Ukraine, Varsovie affirme être la cible de multiples actes de sabotage attribués à Moscou.
Le Quai d’Orsay a condamné, mardi soir, «les acteurs russes et leurs relais» à l’origine de dizaines d’opérations depuis l’été 2023, analysées dans un rapport de Viginum.
Les cas d'attaques de hackers nord-coréens en Europe se multiplient. Et la Belgique n'est pas épargnée.
Le renseignement militaire russe serait derrière le piratage de la campagne de Macron en 2017.
Si d’autres pays ont déjà évoqué la responsabilité de ce groupe dans des cyberattaques, c’est la première fois que la France, s’appuyant sur sa propre collecte de renseignements, accuse directement l’Etat russe.
L’organisation NewsGuard a dévoilé jeudi l’existence d’une opération de désinformation qui est parvenue, chose rare, à atteindre une importante audience. Son étude montre également que des chatbots répètent certaines des fausses informations.
L’outil ressemble à une simple scie circulaire fixée à un bras articulé, mais, conçu en alliage de titane, il peut résister à la pression de profondeurs jusqu’à 4 000 mètres, soit deux fois plus bas que le plus profond des câbles sous-marins actuels. Les chercheurs d’un institut officiel chinois qui l’ont créé le présentent comme un instrument de « développement des ressources marines », mais il pourrait aussi s’avérer une arme redoutable dans une bataille de plus en plus évidente ciblant les câbles optiques posés au fond des océans.
Le collectif NoName serait à l'origine de cette attaque.
La Chine a développé un appareil permettant de couper les câbles de communication en haute mer. Le dispositif a été mis au point par un centre de recherche scientifique maritime et un institut s’occupant de navires sous-marins habités ou non, rapporte entre autres le journal anglophone South China Morning Post (SCMP). L’appareil pourrait mettre hors service des câbles de communication hautement sécurisés jusqu’à une profondeur de quatre kilomètres. C’est-à-dire la quasi-totalité des câbles existants dans les fonds marins.
Le 23 janvier 2025 pourrait entrer dans les livres d'histoire de la Hongrie comme le jour où une série d'alertes à la bombe a terrifié la nation. Une prétendue campagne d'e-mails émanant de "terroristes musulmans", menaçant de déchaîner la "colère des opprimés", a semé la panique dans tout le pays. Cette menace s'inscrivait dans le cadre d'une opération coordonnée à l'échelle européenne visant à semer la panique et la confusion.
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