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paix
Cet appel d’une heure a provoqué la colère de l’Ukraine, qui y voit « une tentative d’apaisement » de l’Allemagne envers Moscou.
Le Nobel de la paix a récompensé vendredi le groupe japonais Nihon Hidankyo, qui regroupe des survivants d'Hiroshima et Nagasaki aujourd'hui défenseurs d'un monde purgé de l'arme atomique, à un moment où des Etats comme la Russie menacent de briser ce tabou.Nihon Hidankyo est distingué "pour ses efforts en faveur d'un monde sans armes nucléaires et pour avoir démontré, par des témoignages, que les armes nucléaires ne doivent plus jamais être utilisées", a déclaré le président du comité Nobel norvégien, Jørgen Watne Frydnes.
Alors que Kirk inonde la France, les sénateurs de droite veulent revenir sur l’objectif zéro artificialisation nette (ZAN) en 2050, qui limite la bétonisation des sols. Les élus écologistes se désespèrent de ce « détricotage ».
Le delta du Danube et le littoral de la mer Noire, riches en réserves naturelles, subissent la guerre entre l'Ukraine et la Russie. Les protecteurs de l’environnement y continuent malgré tout leur travail de conservation.
Lors d'une session du Conseil de sécurité de l'ONU consacrée à l'Ukraine mardi, le président Volodymyr Zelensky a appelé la communauté internationale à "contraindre" Moscou à faire la "paix". Le chef d'État ukrainien a également accusé l'Iran et la Corée du Nord de soutenir l'effort de guerre russe.
Charbon, gaz et pétrole furent des outils de paix, assure le chercheur Pierre Charbonnier dans « Vers l'écologie de guerre ». Fini le « pacifisme libéral » : pour les grandes puissances, agir pour le climat devient un gage de stabilité.
La grand-messe annuelle de l'ONU commence mardi à New York, avec la crainte d'une guerre régionale au Proche-Orient, escalade qui va dominer cette session de l'Assemblée générale à laquelle participe pour la dernière fois le président américain Joe Biden.
C’est l’hypothèse audacieuse explorée par Pierre Charbonnier dans son ouvrage Vers l’écologie de guerre. Extrait choisi.
Les grand-messes climatiques internationales, au premier rang desquelles les COP, ont largement montré leurs limites. Et si une baisse des émissions mondiales ne pouvait s'envisager sans une certaine dose de conflictualité ? C'est la thèse défendue par le philosophe Pierre Charbonnier, qui publie le 29 août Vers l’écologie de guerre. Une histoire environnementale de la paix aux éditions La Découverte. Entretien.
L'étrange hypothèse qui structure ce livre est que la seule chose plus dangereuse que la guerre pour la nature et le climat, c'est la paix. Nous sommes en effet les héritiers d'une histoire intellectuelle et politique qui a constamment répété l'axiome selon lequel créer les conditions de la paix entre les hommes nécessitait d'exploiter la nature, d'échanger des ressources et de fournir à tous et toutes la prospérité suffisante.