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Bloom Association
À l’heure où nous vous parlons, des navires gigantesques sont en train de ravager des millions d’animaux marins dans… les aires marines « protégées » ! Nous les avons pris en flagrant délit, et nous avons tout filmé. Aujourd’hui, nous publions notre enquête inédite. Nous ne sommes pas revenus de ce que nous avons découvert. Il faut voir les images pour le croire. C’est tout simplement sidérant. Visionnez notre enquête et partagez notre alerte à tout votre entourage.
Du mercure dans chaque boîte de thon : c’est la découverte alarmante qu’a faite BLOOM en analysant près de 150 conserves prélevées dans cinq pays européens. Considéré par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) comme l’une des dix substances chimiques les plus préoccupantes pour la santé publique mondiale, au même titre que l’amiante ou l’arsenic, ce neurotoxique présente des risques graves pour l’organisme humain (1).
Contre la destruction de l'océan, du climat et des pêcheurs artisans
Au moment où le Royaume-Uni fait preuve d’une détermination exemplaire pour mettre en œuvre les recommandations scientifiques et les engagements internationaux en matière de protection de l’océan et où le gouvernement britannique commence à interdire le chalutage de fond dans quelques zones restreintes de ses aires marines protégées, un axe anti-écologique formé par la droite et l’extrême droite françaises refait surface pour tenter de faire plier Londres et la Commission européenne et empêcher une réelle protection des eaux britanniques. Comble de l’ironie, le pays qui a quitté l’UE est le seul à appliquer sérieusement les règles européennes en matière de protection des océans, des écosystèmes et du climat.
Vendredi 16 février 2024, le Conseil régional de Bretagne a adopté une feuille de route pêche désastreuse.
Pique et pêche. Grâce à une nouvelle méthode d’évaluation des impacts des navires de pêche, l’association de défense des océans, Bloom, montre que la pêche industrielle émet plus de gaz à effet de serre, endommage les fonds marins et crée moins d’emplois que la pêche côtière.
L’océan absorbe plus de 90% des excédents de chaleur et jusqu’à un tiers des émissions de CO2 produits par les activités humaines, il est « notre plus grand allié contre le réchauffement climatique » selon l’ONU, mais la France, la plus importante puissance maritime mondiale (10 millions de km2) avec les Etats-Unis, s’entête à l’ignorer, sauf lorsque l’océan peut « rapporter » politiquement et médiatiquement. C’est ainsi que l’océan, grand régulateur du climat mondial est passé sous silence lors des grandes annonces concernant la « planification écologique », mais sorti du chapeau pour des raouts diplomatiques à potentiel médiatique, tel que le One Ocean Summit à Brest en février 2022 ou la prochaine conférence de l’ONU sur l’océan qui sera accueillie par la France à Nice en juin 2025.
Qui aurait pu prédire que le talon d’Achille du chalutage était sa dépendance structurelle au pétrole ? Qui aurait pu prédire que le chalutage était condamné à disparaître dès lors que l’augmentation des prix du carburant allait le rendre non rentable ? Qui aurait pu prédire que la guerre en Ukraine allait se prolonger et provoquer une hausse continue des cours du pétrole sur les marchés mondiaux ? Qui aurait pu prédire que les gouvernements n’allaient pas pouvoir indéfiniment subventionner l’achat de gasoil ?
Les jeux sont faits. À Strasbourg, les parlementaires européens viennent de sauver de l’abîme par 336 voix contre 300 la Loi sur la restauration de la nature — le volet biodiversité du Green Deal européen — au prix de concessions massives, notamment sur la protection immédiate de l’océan, des pêcheurs et du climat.
Comment TotalEnergies utilise les énergies renouvelables pour greenwasher ses projets climaticides
En amont de l’Assemblée générale de TotalEnergies, alors que citoyens et scientifiques dénoncent les investissements fossiles de l’entreprise et appellent ses actionnaires à voter contre sa prétendue « stratégie climat », BLOOM publie une enquête inédite « Le joker ENR » qui révèle l’instrumentalisation faite par TotalEnergies de ses investissements dans les énergies renouvelables pour masquer ses investissements fossiles et « verdir » ses plateformes pétrolières.
L'histoire d'une course technologique fatale contre le thon et la vie marine
A l’initiative de BLOOM, l’association de petits pêcheurs européens LIFE (“Low-Impact Fishers of Europe”) et 27 pêcheurs français, belges, néerlandais et britanniques ont déposé le 14 mars devant la Cour de Justice de l’Union européenne un recours en carence contre la Commission européenne pour “abstention illégale d’action” et “mauvaise administration” dans le scandale européen de la pêche électrique.
De fausses aires marines protégées, un vrai satisfecit donné à la pêche industrielle : une analyse inédite de la politique de protection maritime de la France de 2009 à 2022. Alors que la COP15 sur la biodiversité s’ouvre mercredi 7 décembre 2022 à Montréal, que les enjeux pour la préservation du vivant et la restauration des habitats naturels sont sans précédent, le mandat de négociation de l’Union européenne a été saccagé au Conseil européen par les États membres opposés à la protection réelle de l’océan, au premier rang desquels se trouvent la France et les Pays-Bas, alliés indéfectibles des lobbies de la pêche industrielle.
Le sommet de l’océan que vous avez convoqué à Brest s’ouvre et l’association BLOOM, ardente défenseuse du milieu marin, n’y participera pas. Je voudrais ici vous dire pourquoi, à vous ainsi qu’aux Françaises et Français qui suivent et soutiennent nos actions. Notre décision s’inscrit dans une ligne de conduite dont la cohérence s’est imposée à nous en réponse à votre propre cohérence d’utilitariste de la nature, qui n’a pas cillé depuis que vous aviez commencé à en montrer la teneur, alors que vous n’étiez encore qu’un ministre classiquement extractiviste.
Depuis plus de vingt ans, la communauté scientifique internationale alerte les décideurs politiques quant à l’effet dévastateur des subventions au secteur de la pêche en raison de leur rôle majeur dans la surpêche et la destruction des écosystèmes marins. Ce sont pourtant près de 20 milliards d’euros qui sont distribués au niveau mondial chaque année, sans aucun contrôle ni prise en compte des impératifs générés par les crises du climat et de la biodiversité.