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plastique pollution
Au-delà de leur impact environnemental, les plastiques représentent un risque majeur pour la santé publique. Une étude récente révèle un lien entre les produits chimiques présents dans les plastiques et des centaines de milliers de décès à travers le monde.
Le Kenya a interdit la fabrication et l’usage de sacs plastique en 2017, mais une récente saisie rappelle la difficulté du pays à faire respecter la loi, alors que des “cartels” se sont lancés dans la contrebande de sacs illégaux en provenance de pays voisins.
Coca-Cola renonce à réduire les emballages plastiques à usage unique. Une "masterclass de greenwashing" dénoncée par les associations.
L’addiction de nos sociétés vis-à-vis du plastique ne se dément pas. Or, les preuves de la toxicité de ce matériau, auquel il est désormais impossible d’échapper, s’accumulent depuis quelques années.
Les 175 pays réunis à Busan, en Corée du Sud, ne sont pas parvenus à finaliser le texte dans les temps, ralentis par les pays pétroliers.
Les pays des Nations unies ont échoué à s'entendre sur un traité mondial sur le plastique à l'issue de la cinquième session de négociations. Les discussions vont être prolongées, avec des États pétroliers de plus en plus isolés.
Plusieurs pays, dont la France, ont dénoncé « l’obstruction continue » dans les négociations d’un petit groupe d’Etats – surtout des producteurs de pétrole – qui estiment que le futur accord doit uniquement concerner la gestion des déchets et le recyclage du plastique, sans remonter jusqu’à sa production.
Réunis à Busan, en Corée du Sud, les représentants de plus de 170 pays ont échoué ce dimanche 1er décembre à parvenir à un accord. Le plastique est pourtant un fléau aux conséquences funestes pour la santé, l’environnement et le climat.
Les négociations menées pendant une semaine à Busan, en Corée du Sud, pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique, ont échoué à aboutir à un accord et continueront à une date ultérieure, a annoncé dimanche le diplomate qui préside le processus.
Les pays réunis en Corée du Sud se sont quittés dimanche sans trouver d’accord, en raison de l’obstruction d’un petit groupe d’Etats opposés à l’objectif de réduire la production. Les négociations doivent se poursuivre en 2025.
Des militants de Greenpeace ont abordé samedi un navire pétrochimique au large de la Corée du Sud, où se tiennent des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique. "Des militants de Greenpeace International sont montés à bord d’un pétrolier qui devait charger des produits chimiques plastiques toxiques provenant du complexe sud-coréen Hanwha TotalEnergies", indique Greenpeace dans un communiqué. Ce complexe est situé à Daesan, à environ 60 kilomètres au sud-ouest de Séoul.
Dernier traité pour Busan. Depuis lundi 25 novembre et jusqu’au 1er décembre, 175 pays se réunissent à Busan, en Corée du Sud, pour finaliser un traité mondial qui doit limiter la pollution plastique. Les pays pétroliers tentent de freiner les négociations, tandis qu’une coalition d’États de «haute ambition» souhaite limiter la production de matière vierge. Un accord est-il possible ? Vert fait le point.
L’association Expédition MED alerte sur la hausse notable de la pollution plastique dans cette mer semi-fermée, qui s’accumule notamment entre la Corse et l’île toscane de Capraia
Au moins 220 représentants de l’industrie fossile et chimique participent aux négociations sur un traité mondial à Pusan. Ils s’opposent à toute réduction de la production de plastique.
Dernière ligne droite pour les négociations sur un traité contraignant visant à réduire la pollution plastique.
Une étude de la VUB chiffre pour la première fois les concentrations de ce polluant dans la Senne, le canal, les égouts. En tête des microplastiques les plus fréquemment retrouvés ? Les fibres textiles.
Pour garder leur environnement propre et économiser de l’argent, les Occidentaux exportent leurs déchets plastiques, notamment en Malaisie. Ce type de « colonialisme » fait le bonheur des trafiquants.
En Corée du Sud, 178 pays entament lundi le dernier cycle des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique, à Busan, en Corée du Sud. Les participants ont "63 heures de travail" pour s'entendre sur des telles que le plafonnement de la production de plastique, l'interdiction éventuelle de substances chimiques toxiques ou encore le financement des mesures qui seront prévues par le traité.
Le cinquième et dernier cycle des négociations sur un traité mondial contre la pollution plastique s’est ouvert lundi à Busan, en Corée du Sud, au lendemain de la fin chaotique à Bakou de la COP29 sur le climat dont les résultats ont déçu les pays en développement. "Cette conférence est bien plus que la rédaction d’un traité international. C’est l’humanité qui se mobilise face à une menace existentielle. Les décisions que nous prendrons dans les sept prochains jours façonneront l’histoire", a déclaré lundi le diplomate équatorien qui préside les débats, Luis Vayas Valdivieso.
Les Nations unies se réunissent jusqu'au 1ᵉʳ décembre à Busan, en Corée du Sud, pour tenter d'aboutir à un traité sur la pollution plastique. Henri Bourgeois-Costa, de la Fondation Tara Océan, plaide pour un texte ambitieux.
Deux projets d'usines de recyclage chimique du plastique en France sont retardés ou suspendus, selon les cas, en raison du contexte réglementaire et économique, a-t-on appris lundi auprès des entreprises concernées.Elles estiment qu'il s'agit d'un mauvais signal pour limiter la production de plastique vierge et la pollution qui va avec, alors que la planète se penche depuis lundi sur ce fléau à Busan, en Corée du Sud.
Ces petites particules de plastique, avec leurs milliers d'additifs, peuvent engendrer des inflammations, perturber la réponse immunitaire ou encore le système endocrinien. Si les mécanismes précis demeurent flous, les connaissances progressent.
Les délégués de 175 pays sont attendus du 25 novembre au 1ᵉʳ décembre à Pusan, en Corée du Sud, pour finaliser un traité mondial visant à mettre fin à la pollution plastique. Les positions très éloignées des négociateurs laissent planer le spectre d’un échec.
L’analyse de la composition du vortex a révélé une nette augmentation de la présence de microparticules de plastique entre 2015 et 2022, symptôme de l’explosion de la production.
La pollution plastique accumulée dans les écosystèmes mondiaux depuis 1950 pourrait coûter jusqu'à 281 800 milliards de dollars en dommages environnementaux, soit 93 fois le PIB de la France en 2023.
Les industriels européens se plaignent de l’afflux de matériaux plastiques bon marché, qui les oblige à fermer des usines. Le secteur a enregistré une baisse de la production de 8,3 % en 2023, qui concerne aussi le recyclage.
Le volume de matériaux rejetés chaque année dans la nature pourrait doubler, selon un article de la revue «Science». Mais une combinaison de quatre mesures pourrait éviter cette explosion, insistent les auteurs.
Une étude révèle que les microplastiques s’accumulant dans l’atmosphère pourraient avoir un impact sur les régimes de précipitation et le climat global.
Les études sur les impacts des microplastiques présents dans notre environnement sont nombreuses. Et mises bout à bout, elles montrent que cette pollution met en danger l’ensemble du système Terre. Chaque morceau de plastique produit nous rapprochant un peu plus de toutes les limites planétaires.
Une étude menée aux Etats-Unis a montré que des spatules ou des éplucheurs en plastique recyclé contenaient involontairement des retardateurs de flamme. En cause, un processus de recyclage défaillant.
Envisagez-vous d’acheter moins de bouteilles en plastique à l’avenir ? Peut-être pas, mais maintenant que la question vous a été posée, vous allez forcément y penser.
Alors que les représentants de près de 200 pays se réunissent en Colombie cette semaine pour discuter de la mise en œuvre d'un pacte mondial visant à inverser la perte de biodiversité, une autre menace environnementale majeure, la pollution plastique, est au centre d'un autre sommet de l'ONU.
Peu connue, la pollution des sols par les microplastiques est en fait importante. Elle a des effets négatifs sur les petits habitants du sol, sur les cultures mais aussi sur les volailles. Le site “Chemistry World” fait le point.
Cancer du poumon, endométriose, perturbateurs endocriniens… A quelques semaines de la fin des négociations du traité international contre la pollution plastique, l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques a réuni des chercheurs au Sénat. Ils ont détaillé les risques de la pollution plastique et des produits chimiques sur la santé humaine.
Dans une nouvelle étude, des scientifiques ont fait une découverte choquante : pour la première fois au monde, des microplastiques ont été retrouvés dans la respiration des dauphins.
Selon les données fournies par les autorités locales, l'île de Pâques, ou Rapa Nui, reçoit environ 50 fois plus de plastique que sur les côtes du Chili continental. Moiko Pakomio, biologiste marine du gouvernement local, a souligné que la plupart des déchets s'accumulent sur les côtes de l'île.
En 2023, indique Eurostat dans un rapport récent, la Malaisie a reçu plus d’un cinquième des déchets plastiques européens. Des expéditions en hausse de 35 % sur un an. Les autorités ont pourtant annoncé vouloir fermer leurs portes à ce type de cargaison.
L’accumulation de nano- et microplastiques dans les organismes marins, notamment les poissons, se reflète dans nos assiettes. Avec quels dangers pour la santé ?
De nouvelles études montrent la présence de microplastiques dans les pénis et cerveaux humains. Si ces résultats, encore isolés, font débat dans la communauté scientifique, notre contamination aux plastiques inquiète unanimement.
Alors que l'eau du robinet contient en partie des polluants éternels, l'eau en bouteille ne serait pas une alternative parfaite.