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La Syrie a conclu jeudi un accord énergétique d'un montant de 7 milliards de dollars avec un consortium regroupant des entreprises des Etats-Unis, du Qatar et de la Turquie, pour réhabiliter son secteur électrique ravagé par la guerre. La signature s'est déroulée au palais présidentiel de Damas, en présence du président par intérim Ahmad al-Chareh et de l'envoyé spécial américain pour la Syrie, Thomas Barrack.
Les échanges se tendent entre le gouvernement israélien, qui a annoncé, lundi 19 mai, son intention de prendre le contrôle de toute la bande de Gaza, et une partie de la communauté internationale qui appelle à l’arrêt de l’offensive militaire de l’Etat hébreu dans le territoire palestinien.
Plusieurs pays, dont l'Espagne et l'Égypte, appellent à "faire pression" sur Israël afin d'obtenir un cessez-le-feu. L'armée de l'État hébreu mène depuis samedi des "frappes d'envergure" sur Gaza. Ces frappes constituent l'une des phases de bombardement les plus meurtrières depuis la fin de la trêve, en mars.
Le président russe Vladimir Poutine a proposé dimanche des négociations "directes" et "sans condition préalable" avec l'Ukraine dès jeudi à Istanbul, tout en repoussant à ces discussions toute possibilité de cessez-le-feu, pourtant exigé par les alliés de Kiev. De son côté, Volodymyr Zelensky attend un engagement de Moscou en faveur d'une trêve, tout en se disant "prêt" à entamer des pourparlers. Il évoque des "signes positifs" laissant penser que la Russie commence à envisager la fin du conflit.
Gourmande en énergie, en eau et en minerais, l’intelligence artificielle est au cœur de la course aux ressources qui oppose les grandes puissances. D’après l’hebdomadaire allemand “Die Zeit”, son essor pourrait même mener à une lutte pour les terres rares, lancée sur Terre et dans l’espace, au détriment du combat contre le dérèglement climatique. Traduit de l’allemand
Israël a annoncé l’expansion de son offensive dans la bande de Gaza. Benjamin Netanyahou a approuvé un plan qui vise à renforcer les opérations militaires contre le mouvement islamiste palestinien du Hamas. Des dizaines de milliers de réservistes sont actuellement mobilisées. "Israël détruira toutes les infrastructures terroristes dans d’autres zones", a par ailleurs déclaré David Mencer, porte-parole du gouvernement israélien. Alors qu’Israël impose un blocus total à l’entrée de l’aide à Gaza depuis deux mois et que les stocks de nourriture sont au plus bas, le plan annoncé vise la "conquête" de la bande de Gaza. Il promeut également le "départ volontaire des Gazaouis" du territoire palestinien tel qu’il a été proposé par Donald Trump.
La Belgique a plaidé la semaine passée pour l'entrée de l'aide humanitaire dans la Bande de Gaza devant la Cour internationale de justice de La Haye.
Selon l’économiste russe Viatcheslav Shiryaev, Vladimir Poutine sait qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps pour mener sa guerre en Ukraine avant que la Russie ne soit définitivement rongée par tous ses maux. Un grand entretien paru dans le quotidien tchèque “Denik N”.
L'ONG Amnesty International affirme, dans son rapport annuel diffusé mardi, que "le monde assiste sur ses écrans à un génocide en direct" à Gaza depuis les attaques du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023. "L'année 2024 restera dans les mémoires comme celle d'une occupation militaire israélienne plus éhontée et meurtrière que jamais", écrit Agnès Callamard, secrétaire générale de l'organisation.
Dans son rapport annuel, l’ONG décrit un «effet Trump» néfaste, qui accentue la fragilisation des droits humains déjà observée en 2024. L’organisation épingle également «le racisme systémique et la discrimination religieuse» en France.
Une grande partie de l'Espagne et du Portugal a subi lundi une coupure de courant qui a perturbé le trafic aérien, les transports publics et les soins dans les hôpitaux. Une panne d'une telle ampleur que d’autres pays en ont subi les conséquences.
Dans son dernier rapport, Amnesty International pointe une décennie de reculs politiques et juridiques qui favorisent la montée des régimes autoritaires et compromettent les fondements du droit international.
De mensenrechtenbeweging staat op een kantelpunt. Volgens Amnesty International duwt het beleid van president Trump de wereld sneller richting autoritair misbruik, oorlog en klimaatchaos.
Het afbraakbeleid van de regering-Trump tegen de mensenrechten heeft wereldwijd gevolgen, waarschuwt Amnesty International in zijn jaarrapport. ‘We moeten en zullen ons blijven verzetten tegen de roekeloze regimes die mensen hun mensenrechten willen ontnemen.’
La reconnaissance de l'annexion par la Russie de la Crimée constituerait un bouleversement des règles qui régissent l'ordre international et sa légalité-même pourrait être mise en doute, estiment des spécialistes en droit et relations internationales interrogés par l'AFP.
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