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opinion

octobre 2025

S’il n’est accompagné par aucun effort diplomatique significatif, le succès incontestable obtenu le 13 octobre par Donald Trump, avec la libération des otages israéliens et l’arrêt des bombardements sur Gaza, ne sera qu’un retour à la situation qui prévalait à la veille du 7 octobre 2023.
Deux ans après les attaques terroristes du 7-Octobre, suivies de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza, Luc Bronner, correspondant du « Monde » à Jérusalem, décrypte l’opinion de la société israélienne sur cette guerre.

septembre 2025

Plusieurs études d’opinion ont récemment fait état d’un décrochage des thèmes du climat et de l’environnement dans la liste des préoccupations des Français. Mais des consultations au niveau local, ou des inquiétudes connexes, comme la santé, montrent que ce désintérêt doit être relativisé.
Il y a donc eu ce billet « oui/non » sur Gaza, Israël et la Palestine (1, 2) et, comme je m’y attendais, il y a eu des réactions. Ça a été un moment plus intéressant qu’éprouvant pour lequel j’ai eu envie de prendre un peu de temps afin de l’analyser et peut être de le comprendre. J’ai écrit ces quelques réflexions, c’est long, ce sera donc assez peu lu ou partagé, mais cela n’a pas d’importance, il s’agissait pour moi d’éclaircir mes propres idées en les mettant par écrit.
Entre accusations incongrues, moqueries et contrevérités, le président des Etats-Unis, Donald Trump, s’est acharné, mardi, à New York, à décrédibiliser une institution, l’Organisation des Nations unies, qu’il a contribué à affaiblir.
Suivi par neuf pays, Emmanuel Macron doit ce lundi 22 septembre reconnaître l’Etat palestinien à l’ONU. Une décision nécessaire et longtemps attendue, qui doit maintenant être suivie d’actes.
Malgré les critiques qu’elle suscite, l’initiative portée lundi à la tribune des Nations unies par le président français, Emmanuel Macron, est un message adressé à deux peuples.
L’économiste réfléchit, dans une tribune au « Monde », au coût de l’inaction climatique. Selon lui, une part grandissante de la population s’oppose à des changements pourtant nécessaires en se montrant « plus focalisée sur la fin du mois que sur la fin du monde ».
Une commission d’enquête des Nations unies a désormais confirmé ce que les organisations israéliennes, palestiniennes et internationales de défense des droits humains, ainsi que de nombreux spécialistes du génocide, affirmaient déjà : la guerre menée par Israël à Gaza équivaut à un génocide. La commission estime que les massacres, les attaques contre les infrastructures vitales, la famine, les déplacements de population et le refus de soins médicaux répondent à la définition juridique du crime le plus grave de l’histoire. Elle conclut que l’intention génocidaire est « la seule conclusion raisonnable » à tirer des déclarations des dirigeants israéliens et du comportement de leurs forces à Gaza.
Un racisme viscéral, exprimé dans les termes les plus crus, irrigue les décisions du président américain.Tourmentées à raison par les rodomontades zigzagantes du président des États-Unis, Donald Trump, sur les taxes douanières ou les guerres en Ukraine, à Gaza et ailleurs, les opinions publiques européennes ne font plus grand cas, il faut bien le reconnaître, de sa gestion de la question migratoire. Or, l'enjeu est considérable, les convulsions, majeures, et les impacts, désastreux. Certes il est encore trop tôt pour dire si, quantitativement, l'actuel occupant de la Maison Blanche fera "mieux" que ses prédécesseurs – rappelons que le premier mandat de Trump avait enregistré plus d'entrées illégales que sous Obama, bien moins d'expulsions que sous Obama ou Biden et nettement moins de kilomètres de mur frontalier construits... –, mais le caractère humainement ignoble des décisions et actes politiques en cours, lui, est déjà avéré.
L’universitaire en appelle, dans une tribune au « Monde », à un sursaut européen et à la mise en place rapide d’un bouclier aérien dans le ciel ukrainien.
Deux figures de la scène culturelle israélienne signent une tribune au « Monde » dans laquelle ils expriment leur profond attachement à la Palestine et à ses habitants. Désormais exilés en France, ils appellent les pays européens à se mobiliser pour sauver Gaza – et, par là même, Israël.
En interdisant à la presse d’accéder au territoire palestinien et en menant la guerre la plus meurtrière envers les journalistes dans l’histoire des conflits, l’Etat hébreu détruit la liberté d’informer, sans réelle réaction des Etats-Unis ou des pays de l’Union européenne.

août 2025

Prenant leurs distances avec la déclaration de l’état de famine dans la bande de Gaza et attaquant avec virulence la Cour pénale internationale, Donald Trump et son administration offrent un appui sans conditions au premier ministre israélien
Le colonel à la retraite et expert de la défense éclaire sur la nouvelle offensive de Netanyahu.


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