Articles 2020

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Uniquement les Articles de la décennie 2020

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mars 2025

Dans son rapport trimestriel, publié lundi 17 mars, l’organisation met en garde quant aux effets de la politique protectionniste du président américain sur l’inflation aux États-Unis et révise à la baisse ses prévisions pour 2025. Le climat d’incertitude pèse sur les entreprises, sur le moral des ménages et sur la production.
La croissance de la demande mondiale de pétrole "devrait s'accélérer" en 2025, tirée par la Chine et la baisse des cours de l'or noir, a indiqué jeudi l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans son rapport mensuel.La demande d'or noir devrait augmenter d'un peu plus de 1 million de barils par jour (mb/j) en 2025, contre une croissance de 830.000 barils en 2024, pour atteindre quasiment 104 mb/j cette année, une perspective inchangée par rapport à celle de février, selon l'AIE qui révise chaque mois ses prévisions en fonction de la conjoncture.

février 2025

L'Agence internationale de l'énergie (AIE) table sur une "forte croissance" de la demande de pétrole en 2025, tirée par des prix bas et la consommation des pays hors OCDE, selon son rapport publié jeudi.La demande mondiale de pétrole devrait augmenter de 1,1 million de barils par jour (mb/j) en 2025, pour s'établir à quasiment 104 mb/j.L'AIE est plus prudente que l'alliance des producteurs de pétrole, l'OPEP+, qui a indiqué mercredi tabler sur une demande à 105 mb/j en 2025.

décembre 2024

Efficacité : Transition, le contexte initial, Thomas Norway sur 2000Watts.org
Added complexity allows an economy to grow, even as resource limits are reached. But at some point, the complexity itself becomes a problem.

novembre 2024

Les militants climatiques de Scientist Rebellion et Growth Kills ont créé une "agora démocratique" dans la rue Neuve de Bruxelles lors du Black Friday, ce vendredi 29 novembre 2024. Ils dénoncent "le mythe" de la croissance économique.
Les récentes conférences de l’ONU sur le climat (COP29) et sur la biodiversité (COP16) ont encore une fois contribué à perpétuer un système fondé sur des illusions d’égalité, de liberté et de croissance infinie. La société civile et les pays du Sud global présents à ces négociations s’y activent de manière exemplaire, mais pour combien de temps encore ?
Pour croître, les villes se sont spécialisées afin d'avoir une puissance de production plus importantes et les machines ont remplacé la force humaine. Les habitants ont ainsi du temps pour produire de nouveaux biens et services. Dans cette équation, le transport est le symbole du surplus de production, alors que le transport est une pure perte d'énergie écrit Thomas Norway dans ce 9ème épisode de sa série sur l'efficacité. Quand la nouvelle technologie "machine à vapeur" se développe au XVIII siècle, au début ce n’est pas cher ! La production s’emballe jusqu’en 1800 car chaque nouvelle machine est plus efficace et plus efficiente en produisant toujours plus d’excédents permettant d’innover et d’améliorer.
Au Japon, le plus occidental Etat d’Extrême-Orient, acquis aux règles économiques du marché à l’européenne, l’économiste et philosophe Kohei Saito vient jouer l’empêcheur de penser en rond. Diplômé de l’université Humboldt de Berlin et professeur d’économie politique à l’université d’Osaka au Japon, Kohei Saito nous enjoint à tourner le dos à la croissance infinie et indéfinie et de construire, sur la base de coopératives, une sobriété partagée. Ce qu’il appelle le «communisme de décroissance», seul à même, selon lui, de dépasser le capitalisme productiviste, nocif à la planète.
La « croissance verte » est-elle un simple oxymore ou un bienheureux slogan destiné à rendre compte des efforts à accomplir afin de réguler la « crise permanente » écologique actuelle ?
Bien que l’Afrique contribue pour moins de 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, elle supporte une charge disproportionnée de la crise climatique en ayant, qui plus est, un accès restreint aux liquidités indispensables au financement de ses objectifs de développement et de ses ambitions climatiques. Le continent ne bénéficie ainsi que de 3 à 4 % du financement climatique mondial alors qu’il compte neuf des dix pays les plus vulnérables aux changements climatiques. L’objectif est de passer à 10 % d’ici à 2030, a soutenu M. Kariuki.

octobre 2024

La députée écologiste Sandrine Rousseau a publié un essai intitulé «Ce qui nous porte», aux éditions du Seuil. Dans cet entretien à Vert, elle raconte comment l’imaginaire des Trente glorieuses et de la toute-puissance continue de hanter la société et d’empêcher une véritable transformation écologique, hors du paradigme de la croissance. Et ce, alors même que «la société est prête».
La Chine a annoncé samedi un recours massif à l'endettement public, avec l'émission de près de 300 milliards d'euros d'obligations spéciales, pour soutenir son économie en perte de vitesse, ciblant l'immobilier et les banques.
Le gouvernement britannique a annoncé jeudi jusqu'à 24 milliards de livres (28,6 milliards d'euros) d'investissements privés dans l'énergie décarbonée, à quatre jours d'un "sommet sur l'investissement" où il escompte d'autres engagements de ce type, alors que sa popularité est en berne.Un « énorme vote de confiance »Le Premier ministre Keir Starmer voit dans cette annonce "un énorme vote de confiance" dans le gouvernement et sa "volonté inébranlable de stimuler la croissance" du pays.

septembre 2024

Sans regard critique, les slogans et mots nouveaux qui rythment les débats sur la transition peuvent perdre de leur sens, voire avoir un effet délétère.

août 2024

La consommation mondiale de pétrole a continué d'augmenter au deuxième trimestre 2024, mais à un rythme moindre que l'an passé, en raison essentiellement du ralentissement de la construction et de l'industrie en Chine, indique l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans son rapport mensuel."La demande mondiale devrait croître de moins de 1 million de barils par jour en 2024 et en 2025", soit au dessous de la tendance de croissance d'avant la pandémie, prévoit l'AIE, qui a ainsi maintenu quasi inchangées ses prévisions de juillet.
Nous vivons en excès de production, de consommation. Notre économie du contentement produit ce dont nous n'avons pas vraiment besoin. Or, les dommages sont nombreux pour la planète, pour le règne des vivants, pour l'humanité en tant que famille humaine et pour le bien de chacun.

juillet 2024

Economic growth allows the few to grow ever-wealthier. Ending poverty and environmental catastrophe demands fresh thinking

juin 2024

Si nous devions faire croître l’économie mondiale de 3 % par an, comme le prévoient la plupart des institutions et gouvernements, il faudrait donc 23 ans et des poussières pour que la taille du l’économie double. (70/3 = 23.33, je vous laisse vérifier). Dit comme ça, on ne voit pas le problème...

mai 2024

Selon un document de travail publié par deux économistes de Harvard et Northwestern, un degré de réchauffement climatique aura un impact de 12 % sur le PIB mondial, au bout de six ans. C'est six fois plus que ce qui était estimé jusqu'à présent.