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Dans une lettre ouverte consultée par Euractiv jeudi (15 février), plus de 200 économistes ont appelé la Commission européenne à revoir la manière dont elle calcule ses prévisions économiques et à mieux intégrer les facteurs environnementaux critiques dans ses modèles de référence.
Les économistes sous-estiment les impacts économiques du changement climatique, ce qui n’incite ni le secteur financier...
Le sommet du G20 s’ouvre ce week-end en Inde. Les chefs d’États des pays les plus industrialisés se réuniront à New Dehli. Près de 300 millionnaires, économistes et représentants politiques de la quasi-totalité des pays du G20 ont demandé, dans une lettre ouverte adressée aux chefs d’État participant au sommet économique, un nouvel accord international sur l’impôt sur la fortune. Les signataires, parmi lesquels Yves Leterme, Thomas Piketty et Bernie Sanders, veulent "empêcher que l’extrême richesse continue d’affecter notre avenir collectif".
Dans une tribune publiée ce mardi, élus européens et experts financiers appellent à la création d’une taxation progressive afin de financer «des investissements nécessaires à la transition écologique et sociale».
Les deux types d’experts parlent, depuis trente ans, deux langues différentes, les premiers abordant le sujet par les prix, les seconds raisonnant par les quantités, dans un monde aux ressources finies.
Dans son livre choc et pédagogique, "Ralentir ou périr, l'économie de la décroissance" (Seuil), Timothée Parrique démontre les limites écologiques, sociales ou même économiques de la croissance. Selon le chercheur à l’Université de Lund, en Suède, "il faut abandonner l’idée du PIB comme un bouton magique qui viendrait résoudre tous nos problèmes". Le spécialiste d'économie écologique estime en outre que "la croissance verte est un mythe" et que les entreprises doivent "abandonner cette obsession pour la valeur financière".
Les États-Unis ont officiellement connu deux trimestres successifs de repli du PIB, ce qui correspond à la définition la plus communément admise d’une récession. Mais pas aux États-Unis où cette décision appartient à huit économistes d’un petit organisme indépendant appelé le Comité de datation des cycles économiques.
Est-il possible de faire croître l'économie tout en diminuant les émissions de gaz à effet de serre ? Certains économistes remettent en question la possibilité d'un tel découplage et prônent la décroissance pour préserver la planète.
De plus en plus contesté, même par les économistes classiques, l’indicateur de croissance phare, le PIB, utilisé notamment pour construire la loi de finance, pourrait être détrôné. Outre-Rhin, le ministre de l'Économie et du climat veut ajouter une trentaine de nouveaux indicateurs pour apprécier plus finement l’état du pays et ainsi optimiser les investissements pour atteindre bien-être et neutralité carbone. D’autres pays ont déjà franchi ce pas.
L’idée d’une croissance heureuse, où l’économie pourrait continuer à croître éternellement si le capital se substitue assez rapidement aux ressources naturelles qui s’épuisent, ne fait pas l’unanimité, souligne Florian Fizaine, maître de conférences en sciences économiques.
Le rapport 2022 sur les inégalités du World Inequality Lab, publié mardi, souligne que les ultra-riches ont énormément profité de la crise sanitaire du Covid-19, qui a creusé encore davantage les inégalités de patrimoine. Pour y remédier, les économistes ayant participé à l'étude, dont Lucas Chancel et Thomas Piketty, proposent une imposition progressive du patrimoine à l'échelle mondiale.
Ces campagnes s’inscrivent dans ce que des sociologues et des économistes appellent la « rhétorique du délai » (en anglais, discourses of delay). Alors que les industries pétrolières et gazières avaient une longue histoire de déni des changements climatiques, leur message est à présent plus subtil et, à maints égards, plus efficace qu’un simple rejet de la science du climat.
Séparer l’acte de produire de l’acte de consommer, comme le font généralement les économistes libéraux, est une mystification qui vise à dédouaner les entreprises de leur responsabilité quant aux biens à produire. Or les besoins sont produits par le capitalisme. Les changer, c’est changer le rapport social de production, et pas seulement les mentalités.
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L'étude annuelle, « BP Statistical Review of World Energy 2020 », est parue au mois de juin dernier. Pour la 69ème année consécutive, l'équipe d'économistes et de statisticiens de BP, a recueilli, vérifié et analysé les statistiques de l'énergie, en provenance du monde entier. Cette étude fournit aux chercheurs, aux entreprises, aux médias et aux politiques, une base de données mondiale exhaustive, sans équivalent.
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