Articles 2020

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Uniquement les Articles de la décennie 2020

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André

novembre 2025

A l’occasion de la campagne des municipales, Trois degrés lance un cycle d’articles sur l’adaptation climatique au niveau local. Pour ouvrir ce cycle, nous publions un grand entretien avec Alexandre Florentin, élu local à Paris et spécialiste des questions d’adaptation au changement climatique.
Le climatologue Christophe Cassou écrit qu’à la fin du prochain mandat, un été type 2003 aura une chance sur dix de se produire. Trois mandats plus tard, ce sera quasiment un été normal. Que peut-on raisonnablement faire en un mandat ?
Le fondateur de la start-up, Sam Altman, a démenti vouloir obtenir des garanties de l’Etat pour ses investissements dans les data centers et a cherché à rassurer sur ses 1 400 milliards de dollars d’engagements.
Le président Lula a choisi André Corrêa do Lago pour diriger la COP 30 qui aura lieu en novembre à Belém.
Pour la première fois, les deux Régions et les principales entreprises industrielles s'engagent ensemble à soutenir le captage, le transport et le stockage du CO₂.

octobre 2025

Le nouveau service lancé mardi 21 octobre par la maison mère du célèbre assistant d’intelligence artificielle attaque frontalement Google.
US president’s son-in-law was instrumental in getting deal – which could bring him huge windfall if plan to redevelop Gaza ever comes to fruition […] For a man with no formal role in the White House, Jared Kushner last week literally took centre-stage as Donald Trump’s emissary to the Middle East. As the administration took a victory lap for hammering out a Gaza ceasefire last week, Kushner, Trump’s son-in-law, stood in Tel Aviv’s ‘hostages square’, addressing a feverish crowd that had booed the mention of Israel’s prime minister, Benjamin Netanyahu, and later broke into chants of: “Thank You Trump!”
OpenAI, la maison mère de l’assistant d’intelligence artificielle, permet désormais des achats en un clic et n’exclut pas à terme une ouverture à la publicité, que ses concurrents Google ou Perplexity testent déjà, constate Alexandre Piquard dans sa chronique.
C’est sans doute l’une des études les plus importantes de l’année. Après « A good life for all within planetary boundaries » (2018), la première tentative de quantification du donut de Kate Raworth, et sa mise à jour en 2022 dans « The social shortfall and ecological overshoot of nations », deux chercheurs viennent de publier la suite. Intitulée « Doughnut of social and planetary boundaries monitors a world out of balance » (2025), l’étude est sortie le mercredi 2 octobre dans la prestigieux revue Nature.
Un équipage composé de militantes s’apprête à traverser l’Atlantique en voilier, pour rejoindre la COP30. Parmi elles, Maïté Meeûs et Mariam Touré, dont les combats féministes et antiracistes viennent élargir le récit écologique.
Plusieurs militants de la flottille Global Sumud expulsés d’Israël ont décrit des scènes de torture et d’humiliation infligées à l’activiste suédoise. Plus largement, ils dénoncent le manque d’eau, de nourriture et de médicaments.
La consommation électrique des data centers mondiaux pourrait tripler d’ici à 2030, prévient le think tank, dans un rapport, prônant la mise en place d’une « trajectoire plafond » pour respecter les engagements climatiques.

septembre 2025

Intervenue à la veille du discours d’Emmanuel Macron devant l’Assemblée générale de l’ONU, la décision de Londres, allié historique d’Israël, revêt une portée particulière : c’est le ministre des affaires étrangères britanniques, Lord Balfour, qui avait favorisé, en 1917, « l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif ».
Giada Pistilli, responsable de l’éthique dans la start-up d’intelligence artificielle Hugging Face, a exposé, dimanche, dans le cadre du Festival du « Monde », les dérives possibles liées aux nouveaux usages des robots conversationnels.
Le colonel général Alexandre Lapine vient d’être démis de toutes ses fonctions militaires. Une décision surprenante, d’autant plus qu’il avait été nommé “héros de la Russie” par Vladimir Poutine. Mais ce militaire est de plus en plus érigé en bouc émissaire des principaux ratés de l’armée russe en Ukraine.
Lors de l’assemblée générale de l’ONU, qui se tient jusqu’au 29 septembre, un groupe d’ONG et de personnalités espère lancer un cadre prévenant « les risques les plus catastrophiques » de l’intelligence artificielle.
Dans le débat démocratique, il est normal que les tenants de positions politiques différentes expriment leurs divergences avec une certaine virulence. Mais les États-Unis ont dépassé ce stade depuis longtemps. Le pays est en proie à une profonde « polarisation affective », c’est-à-dire que les deux grands camps politiques se considèrent non plus comme des adversaires qui méritent le respect, mais comme des ennemis. Charlie Kirk, qui avait de son vivant largement participé à ce processus, a été la victime de ce contexte délétère – un contexte que l’instrumentalisation de son assassinat par Donald Trump et ses partisans dégrade chaque jour un peu plus.
Suite à l’annonce de ma démission du poste de commandant de bord que j’occupais à Air France, les réactions furent nombreuses et
Héros des océans pour les uns, réactionnaire pour d’autres, Paul Watson divise. Son invitation à la Fête de l’Humanité relance le débat sur ses alliances controversées et ses propos malthusiens. Reporterre l’a interrogé. […] En 2007, il écrivait qu’il fallait « réduire radicalement et intelligemment la population humaine à moins de 1 milliard ». Dix-huit ans plus tard, il ne se dédit pas. « Cette planète ne peut pas supporter huit milliards d’êtres humains qui mangent des animaux [il est végétalien] », nous dit-il. Lorsqu’on l’interroge sur l’extrême responsabilité d’une minorité de riches face au reste de l’humanité — les 10 % des humains les plus riches sont responsables de plus de la moitié des émissions de CO2 de l’humanité, selon Oxfam —, il élude. « Quelqu’un devra s’atteler à la réduction du nombre d’humains, sinon ce sont les lois de l’écologie qui feront s’effondrer la population », prévient-il.
Le « SAF » ou Sustainable Aviation Fuel, est depuis longtemps érigé en mesure phare de la décarbonation du transport aérien, qui communique très largement sur le sujet. IATA annonce même sans sourciller que les SAF couvriront 65% des besoins de l’industrie à l’horizon 2050, contre… 0.3% en 2024. Qu’en est-il vraiment, et faut-il développer les SAF un peu, beaucoup… ou pas du tout ?