Uniquement les Articles de la décennie 2020
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Glace
Sur les hauteurs de Chamonix (Haute-Savoie), la Mer de glace devrait perdre encore au moins 80% de son volume d’ici la fin du siècle. Symbole de l’accélération du réchauffement climatique, la probable disparition de ce glacier historique bouleverse l’économie locale, et notamment le tourisme.
Ne nous laissons pas leurrer par les paysages magnifiques véhiculées par le Tour de France : sous l’impact du réchauffement, la Mer de Glace disparaît.
For decades, the surface of the polar Southern Ocean (south of 50°S) has been freshening—an expected response to a warming climate. This freshening enhanced upper-ocean stratification, reducing the upward transport of subsurface heat and possibly contributing to sea ice expansion. It also limited the formation of open-ocean polynyas. Using satellite observations, we reveal a marked increase in surface salinity across the circumpolar Southern Ocean since 2015. This shift has weakened upper-ocean stratification, coinciding with a dramatic decline in Antarctic sea ice coverage. Additionally, rising salinity facilitated the reemergence of the Maud Rise polynya in the Weddell Sea, a phenomenon last observed in the mid-1970s.
Il y a peu, des chercheurs chinois ont mené des travaux sur le fleuve Jaune. Selon leurs résultats, de plus en plus d’inondations pourraient se produire dans les prochaines années et impacter fortement certaines villes du littoral au nord-est. La cause principale ? Des morceaux de glaces formant des bouchons, en raison de leur accumulation sur le fleuve.
Le changement climatique bouleverse notre planète à une vitesse inquiétante, mais un phénomène méconnu pourrait bien amplifier ses conséquences : les « rivières atmosphériques » en Antarctique. Ces longs rubans d’air chaud et humide, capables de parcourir des milliers de kilomètres, transportent une énorme quantité de vapeur d’eau vers les pôles. Selon une nouvelle étude internationale publiée dans Nature Communications, ces rivières pourraient doubler en nombre d’ici la fin du siècle, avec des impacts majeurs sur la stabilité des glaces antarctiques et, par conséquent, sur le niveau mondial des océans.
Selon une étude de la British Antarctic Survey, la population de cette espèce polaire a décliné de 22 % en quinze ans, en raison de la perte de glace de mer et d’autres conséquences du réchauffement climatique.
L’Islande est aussi touchée par cette vague record autour de 20 °C, une température particulièrement élevée pour la région de l’Arctique.
Selon une alerte du réseau scientifique World Weather Attribution (WWA), ce mercredi 11 mai, cette fonte accélérée serait le résultat d’une vague de chaleur record entre le 15 et le 21 mai, qui a aussi touché l’Islande.
En Arctique, un territoire qui se réchauffe quatre fois plus vite que n'importe quelle autre région de la planète, les glaces fondent à vue d'œil, ouvrant de nouvelles routes maritimes et allongeant les périodes de navigation. Une perspective perçue par certains pays comme une grande opportunité économique mais qui risque d'aggraver encore plus la crise climatique.
Durant plus d’un mois, en 2024, le physicien Stéphane Perrard a arpenté la banquise dans l’estuaire du Saint-Laurent, au Québec. Son but : mieux comprendre la fracturation de la glace sous l’effet des vagues, alors que le réchauffement climatique n’a de cesse de la fragiliser.
Si la température mondiale augmente de 2,7 °C, ce qui correspond aux prévisions se basant sur les politiques climatiques en vigueur, 76% de la masse glaciaire actuelle disparaîtra, révèle une nouvelle étude internationale à laquelle ont collaboré des chercheurs de la VUB. Si le réchauffement est limité à 1,5 °C, ce qui correspond à l'objectif des Accords de Paris, jusqu'à 54 % des glaciers pourraient être préservés.
Entre 2021 et 2023, l'Antarctique a gagné de la glace, malgré l'augmentation des températures. Mais comment expliquer cette anomalie ?
Sous la glace de l'Antarctique, la fonte rapide des calottes pourrait déclencher une activité volcanique, accélérant ainsi l'élévation du niveau de la mer et menaçant l'équilibre climatique mondial.
L'ONU a averti vendredi, à l'occasion de la toute nouvelle Journée mondiale des glaciers, que toutes les régions glaciaires avaient enregistré une perte de masse nette en 2024, marquant ainsi une troisième année consécutive de recul.
Une banquise mondiale au plus bas, des températures mondiales toujours au plus haut : après 2024 et sa litanie de records et catastrophes climatiques, l’hiver 2025 illustre encore le réchauffement de la planète.
Jamais il n'y a eu aussi peu de banquise cumulée sur le globe qu'au début de ce mois de février 2025, selon les mesures du programme européen Copernicus. C'est l'une des conséquences du réchauffement climatique.
Le plateau de glace d’une superficie de 3 360 kilomètres carrés semble s’être arrêté à plus de 70 km de cette île de l’océan Antarctique, annonce mardi 4 mars le groupe de chercheurs du British Antarctic Survey.
Le plus fort courant océanique de la planète pourrait ralentir avec la fonte des glaces de l’Antarctique, selon des...
Calottes râpées. Le courant océanique circumpolaire antarctique pourrait perdre en intensité à cause de la fonte des glaces de l’Antarctique, révèle une nouvelle étude. Au risque d’accentuer la variabilité du climat.
Une étude révèle que les glaciers fondent à un rythme effréné : 273 milliards de tonnes de glace disparaissent chaque année, soit 3 piscines olympiques par seconde.