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Wallonie
La Convention d’Aarhus garantit l’accès à l’information, la participation du public et l’accès à la justice en matière environnementale. C’est grâce à celle-ci que nous pouvons notamment demander à consulter les informations environnementales détenues par les autorités publiques et que ces dernières doivent tenir des informations environnementales à jour et de manière transparente. C’est aussi grâce à elle que les citoyen·ne·s participent aux décisions environnementales via des mécanismes comme les enquêtes publiques.
Pourquoi l’eau que l’on boit est-elle polluée ? En Wallonie et à Bruxelles, l’eau de notre robinet vient à 80% des nappes phréatiques et 20% des eaux de surfaces comme les rivières. Ces eaux sont toutes polluées et vont subir un traitement pour être rendue « potable » dans des stations de potabilisations. Ces procédés ont malheureusement des limites et ne permettent pas d’enlever tous les polluants. Il subsiste donc une petite partie de tous ces polluants dans notre eau du robinet. Par ailleurs, il est bon de comprendre que les eaux de « sources » en bouteilles proviennent elle aussi des eaux souterraines et contiennent aussi ces polluants en quantités variables.
Des concentrations très élevées de 1,2,4-triazole ont été trouvées dans les eaux usées d'une entreprise d'Ypres. Il s'agit d'un produit souvent utilisé comme fongicide. Les rejets de l'entreprise concernée contribuent "de manière significative" au dépassement de la norme dans l'eau potable du bassin "De Blankaart", en Flandre occidentale. Selon le ministre de l'Environnement et de l'Agriculture, Jo Brouns, il n'y a pas de risque pour la santé, mais des mesures ciblées seront prises et il a pris contact avec les ministres wallons et français compétents.
La forêt représente un tiers du territoire wallon, soit la même proportion qu’à l’échelle européenne et mondiale. Elle apporte des services écosystémiques indispensables à notre société, tels que le stockage de carbone, l’atténuation des extrêmes climatiques (inondation et canicule), l’accueil de la biodiversité, la purification de l’eau et de l’air et bien d’autres.
La Déclaration de politique régionale wallonne (tout comme au niveau fédéral d’ailleurs) l’assure : « Le Gouvernement s’inscrit pleinement dans l’objectif de neutralité carbone en 2050 et un objectif intermédiaire de -55% de gaz à effet de serre d’ici 2030. En collaboration avec l’Autorité fédérale et les autres entités belges, le Gouvernement se donnera les moyens de les atteindre ». De grandes inquiétudes pèsent néanmoins sur l’atteinte de ces objectifs, alors que les rares dates inscrites dans le Plan Air-Climat Énergie (PACE) sont, les unes après les autres, reportées.
Près de 11% des Wallons déclaraient avoir des difficultés à chauffer correctement leur logement en 2023, contre 2,3% en Flandre et 10% à Bruxelles, ressort-il lundi d'une étude de l'Iweps. Un chiffre surprenant selon l'institut wallon de statistiques, alors que c'est généralement Bruxelles qui occupe la position la plus défavorable en termes d'indicateurs de précarité.
Une campagne d'exploration inédite va bientôt débuter. Elle s'appellera "Walscan". Son ambition? Analyser le sous-sol wallon en profondeur, et sur une grande distance, afin de détecter de nouveaux réservoirs d'eau chaude, comme ceux qui sont exploités depuis des années en région montoise.
Une vague d’interventions sans précédent sur les contenus, le personnel et le financement de la recherche scientifique touche actuellement les agences fédérales et les institutions universitaires aux États-Unis. La mise en œuvre des nombreux décrets de Donald Trump touchant aux questions de genre, de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), aux thématiques environnementales et climatiques et à l’aide au développement se traduit par une politique de censure, d’intimidations, de licenciements et de réductions budgétaires. Les agences fédérales ayant en charge la santé (le centre de contrôle des maladies, CDC), l’environnement (l’agence de protection de l’environnement, EPA), les désastres (agence fédérale de gestion des urgences, FEMA) sont les plus immédiatement concernées et font l’objet de véritables purges dans leurs sites web, bases de données et programmes de financement. Quant à l’agence qui avait en charge l’aide au développement, l’USAID, elle a tout simplement été dissoute.
L'Institut scientifique de service public (ISSeP) et le ministre wallon de la Santé et de l'Environnement Yves Coppieters ont présenté mercredi les résultats d'un biomonitoring humain destiné à mesurer l'exposition de la population wallonne aux substances chimiques et aux polluants présents dans l'environnement, l'eau et l'air. Cette exposition n'est pas supérieure à la moyenne européenne mais les taux observés de PFAS, cadmium, plomb et mercure présentent des risques pour la santé.
Le parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles vient de lancer un projet-pilote afin d'utiliser l'intelligence artificielle (IA) pour la rédaction des comptes rendus de ses travaux en commissions parlementaires ainsi que des séances plénières.
La fédération des énergies renouvelables, Edora, déplore un plafonnement de la capacité éolienne en Wallonie et plaide pour un coup d'accélérateur, principalement sur l'octroi des permis, pour atteindre les objectifs de déploiement d'éoliennes fixés par la Région et l'UE, rapporte Le Soir.
Des quantités "très élevées" des quatre PFAS les plus dangereux ont été détectés dans l'eau de distribution à Ittre (Brabant wallon), a indiqué la députée socialiste Anne Lambelin, mardi, en commission du parlement wallon.
Le Broyeur à métaux Keyser de Courcelles a rendez-vous avec la justice le 25 février prochain. La SA Keyser et fils ainsi que son patron, Rodolphe Keyser, se retrouvent en correctionnelle pour une infraction environnementale présumée. Une quantité trop importante de COT, carbone organique total, a été relevée il y a quelques mois par la police de l’environnement.
Plusieurs cours d’eau wallons ont franchi, vendredi soir, le seuil de pré-alerte à la suite des fortes pluies qui sont tombées sur le sud du pays, avertit vendredi la cellule d’expertise pluies du Service Public de Wallonie (SPW).
Plus que jamais l’investissement public dans la rénovation représente un moyen efficace de réduire notre dépendance aux coûteuses et douteuses importations d’énergies fossiles, de réduire nos factures de gaz/mazout et, par la même, de diminuer nos émissions de GES. Ces fonds publics cruciaux sont pourtant réduits par le Gouvernement wallon.
"On est tombé de notre chaise, parce qu’on ne comprend pas vraiment le message." Gaetan Sgualdino, le président de l’Union Wallonne de la Protection Animale ne cache pas sa colère. Le budget régional 2025 prévoit une diminution de 59% des subsides alloués aux Creaves, ce qui représente plusieurs centaines de milliers d’euros.
En Wallonie, l’interdiction des chaudières à mazout, prévue dans le Plan Air Climat Energie (PACE) du gouvernement précédent, sera postposée, a assuré la ministre régionale de l’Énergie, Cécile Neven, mercredi, en séance plénière du Parlement wallon.
Alors que les députés wallons doivent approuver, ce mercredi, le budget 2025 de la Région, les associations environnementales Canopea, Natagora et WWF appellent à nouveau le gouvernement wallon à établir un plan de financement à l’horizon 2030 "qui devra se baser sur un inventaire clair des dépenses actuelles allouées à la biodiversité ainsi que sur une estimation du déficit à combler pour arriver aux objectifs et obligations internationales et européennes en matière de biodiversité d’ici à 2030".
La Wallonie soutient-elle suffisamment l’agriculture bio ? En regard du plan visant 30% de surfaces agricoles en bio d’ici 2030, la question se pose. Actuellement, ce sont 7,6% des terres belges qui sont exploitées en bio. Mais malgré les primes, les agriculteurs bio rencontrent des obstacles financiers. De plus, le développement des circuits courts et des filières locales détourne parfois l’attention du bio.
Namur, le 15 novembre – Le cabinet de la Ministre de la Nature, Anne-Catherine Dalcq, a précisé aujourd’hui dans le Soir une réduction drastique du budget alloué par la Wallonie à la biodiversité (1). Des organisations issues de multiples secteurs, telles que des mutualités, des entreprises et des acteurs sociaux et environnementaux, appellent le Parlement à revoir la proposition du Gouvernement et à demander l’établissement d’un plan de financement pour arrêter et inverser la perte de biodiversité d’ici à 2030.
Premier résultat concret du dernier conclave budgétaire wallon : le budget consacré à la biodiversité subit une coupe de 18,6 millions d’euros, passant de 24,6 à 6 millions. Réduction de la voilure en vue pour certains programmes comme « Yes, we plant » ou l’achat de réserves naturelles ?
Ce matin, la Ministre de la Nature wallonne a clarifié l’impact du nouveau budget régional sur les moyens dédiés aux actions en faveur de la protection et la restauration de la biodiversité. En cette période de restrictions budgétaires, où des efforts sont attendus dans tous les secteurs, l’ampleur de la réduction du budget nature serait immense : près 75% du budget octroyé à ce secteur d’activités passeraient à la trappe.
Le TFA est un composé perfluoré moins toxique que d'autres PFAS mais qui persiste lui aussi dans l'environnement.
Un dérivé des PFAS a été détecté en concentration importante dans de l'eau potable en Wallonie.
Le gouvernement wallon a pris une série de mesures, jeudi, afin de limiter les quantités de boues issues de stations d'épuration urbaines utilisées comme fertilisants agricoles.
Le gouvernement wallon a pris une série de mesures, jeudi, afin de limiter les quantités de boues issues de stations...
Le gouvernement wallon a validé, jeudi matin, une note d’intention du ministre régional de la Santé et de l’Environnement, Yves Coppieters (Les Engagés), prévoyant notamment que la Wallonie adopte "immédiatement" - plutôt qu’en 2026 – la norme européenne de 0,1 μg/l pour les PFAS dans les eaux de distribution.
La Déclaration de politique régionale du nouveau Gouvernement wallon relègue l’alimentation au second plan[1]. Les enjeux de notre alimentation sont primordiaux et interconnectés. Ils nécessitent une politique qui intègre et coordonne tous les secteurs - santé, emploi, formation, agriculture, économie, social, environnement - et la mise en application des principes de sécurité et souveraineté alimentaires.
Nicolas Ghilain est climatologue à l’université de Liège et à l’IRM, où il crée et améliore des outils de modélisation du climat régional, afin de répondre à la question cruciale : à quoi ressemblera le climat belge dans le futur ? En particulier, il essaie de déterminer si nous devrons faire face plus fréquemment à des événements extrêmes (pluies intenses, vagues de chaleur et sécheresses), et de quelle intensité. Il étudie également l’influence de l’aménagement du territoire et de la végétation sur le climat, un sujet d’étude encore récent.
Le premier champ agriphotovoltaïque de Wallonie associe panneaux solaires photovoltaïques et agriculture. Le champ se compose de 732 panneaux montés sur un axe pivotant qui suit le cycle du soleil, afin d’optimiser la production d’énergie.
De theatervoorstelling For Rosa vertelt het waargebeurd verhaal van Benjamin Van Bunderen Robberechts. Drie jaar geleden verloor hij zijn vriendin Rosa in de aan klimaatverandering gerelateerde grote waterramp in Wallonië. Wij spraken met Benjamin en Nic Balthazar, regisseur van de voorstelling.
Ce sera un des plus grands champs de panneaux photovoltaïques de Wallonie. Près de 20.000 panneaux seront prochainement installés à Farciennes, en province de Hainaut. Le fonctionnaire délégué a donné son feu vert pour installer cette centrale solaire, sur le site de l’Ecopole, ce parc d’activité économique situé sur une ancienne friche industrielle.
Il y a eu une poignée de précurseurs : quelque 50 fermes walonnes étaient bio en 1991 pour une superficie totale de 807 hectares. La croissance a été continue depuis lors, le cap des 50000 hectares de superficie bio étant passé en 2011 et celui des 1000 fermes en 2012. Ce sera même 2024 fermes bio en 2022 pour une superficie totale de 93526 hectares. Le bio tenait la forme. Le vent a toutefois légèrement tourné l'année dernière avec une perte nette de 10 fermes bio. C'était une première. Bien sûr, le bio n'est pas un monde parfait. Il y a des chasseurs de primes, de grands maraîchers qui cassent les prix et étranglent financièrement les plus petits ou encore des producteurs qui n'ont pas le bio dans l'âme. La très grande majorité a toutefois adopté ce modèle par conviction, et certainement pas par facilité. Nous en avons rencontré six.
Ces dernières semaines, les cas de fièvre catarrhale ovine (FCO), aussi appelée "maladie de la langue bleue" explosent en Belgique. De 8 foyers en juin dernier, une soixantaine d’exploitations sont aujourd’hui touchées, comme le montre cette carte de l’institut de santé publique Sciensano.
Le nombre de cas de rougeole est en augmentation en Wallonie, pointe mardi l'Aviq, l'Agence pour une vie de qualité, dans son bulletin trimestriel. Au 30 juin dernier, 73 cas confirmés avaient été déclarés, soit 69 cas de plus qu'en 2023 à la même période.
Dans les dix années à venir, près de 8000 fermes wallonnes seront à céder. Mais à qui ? Le nombre de fermes ne cesse de baisser en Wallonie et la transmission des fermes d’une génération à une autre ne va pas toujours de soi. On estime aujourd’hui que seul un agriculteur sur quatre de plus de 50 ans a une ou un repreneur pour son exploitation. Mais même quand repreneur il y a, les choses ne sont pas toujours évidentes.
Face à la multiplication des épisodes de sécheresse, le monde agricole s'interroge sur ses pratiques d'irrigation.
Deux cabinets Ecolo, ceux de la ministre de l'Environnement Zakia Khattabi et de la secrétaire d'État à l'Égalité des chances Marie-Colline Leroy accusent le MR de bloquer plusieurs subventions à des associations environnementales et de cohésion sociale. Le vice-Premier ministre MR David Clarinval confirme, assume et justifie. À l'issue du dernier Conseil des ministres du gouvernement fédéral en Affaires courantes avant les vacances d'été, les écologistes ont reproché aux libéraux de bloquer le versement de huit subventions environnementales, "pourtant déjà approuvées", à des organisations internationales et nationales, indique le cabinet Khattabi.
L'artificialisation du sol fait courir un risque d'inondations à répétition. En Wallonie, elle est aussi au cœur du "Schéma de développement du territoire de la Wallonie" qui a pour objectif de réduire le rythme d'artificialisation de moitié d'ici 2030 et de tendre vers zéro d'ici 2050. Découvrez quelle est l'évolution dans votre commune sur ces 15 dernières années.
Chaque année, un budget conséquent est investi dans le ramassage des immondices sur les autoroutes en Wallonie. En 2023, près de 767 tonnes de déchets ont été collectées pour un budget de près de 3,5 millions d'euros, indique la Société wallonne de financement complémentaire des infrastructures (SOFICO) vendredi lors de l'annonce de sa nouvelle campagne de sensibilisation.