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focusbiodiversité santé
Deux jours avant la journée mondiale de la santé, une grande marche contre les pesticides était organisée samedi dans la capitale, à l’appel d’une centaine d’associations. Victimes, scientifiques, artistes, médecins… toutes et tous ont uni leurs forces pour défendre un «printemps bruyant». Vert y était.
Dans une nouvelle étude, des scientifiques révèlent des résultats pour le moins inquiétants. Certains oiseaux marins contaminés par la pollution plastique développent des maladies similaires à Alzheimer ou Parkinson.
Un quart de la production du leader norvégien Mowi s’est échappée en mer le 9 février, après le passage d’une tempête, provoquant la panique chez les autorités.
Les océans du monde sont frappés par une crise silencieuse mais catastrophique. Une nouvelle épidémie frappe les populations d’oursins, des organismes indispensables à l’équilibre des récifs coralliens. Cette maladie, causée par un parasite cilié, a déjà conduit à des taux de mortalité alarmants dans la mer Rouge et l’océan Indien.
Les néonicotinoïdes bientôt de retour en France ? Le Sénat a dit "oui" après le vote d’une proposition de loi lundi 27 janvier.
"On est tombé de notre chaise, parce qu’on ne comprend pas vraiment le message." Gaetan Sgualdino, le président de l’Union Wallonne de la Protection Animale ne cache pas sa colère. Le budget régional 2025 prévoit une diminution de 59% des subsides alloués aux Creaves, ce qui représente plusieurs centaines de milliers d’euros.
Nos modes de consommation et d'alimentation causent des crises "interconnectées" pour la biodiversité, le climat et la santé, menaçant la survie d'écosystèmes essentiels comme les coraux, alertent des experts du monde entier dans un rapport de référence.
Quel est le rapport ? Biodiversité, climat, alimentation, eau, santé : dans une nouvelle évaluation parue mardi 17 décembre, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité (IPBES) met en évidence l’interconnexion entre cinq grandes crises écologiques et appelle à ne plus les traiter séparément. Auteur principal du rapport, Patrick Giraudoux le décortique pour Vert.
Un rapport scientifique international estime à 25 000 milliards de dollars le manque à gagner pour la planète du fait de l’absence de lutte commune contre les crises environnementale, climatique et sanitaire. S’attaquer séparément à la perte de la biodiversité ou au réchauffement ne fait qu’aggraver les problèmes, explique-t-il.
L'IPBES, le Giec de la biodiversité, vient de publier deux rapports majeurs ces mardi 17 et mercredi 18 décembre. Le premier montre la nécessité de traiter les différents sujets ensemble - changement climatique, biodiversité, santé, eau et alimentation, pour une action efficace. Le second s'intéresse aux obstacles à l'action et appelle à un "changement transformateur" de nos points de vue, nos structures et nos pratiques.
L’IPBES, le « GIEC de la biodiversité », publie une évaluation qui démontre que traiter chaque problème de manière isolée aggrave la situation globale.
Les récifs coralliens illustrent parfaitement l'avertissement lancé mardi dans un rapport de référence des experts du monde entier regroupés dans la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) : les crises - climat, biodiversité, santé... - affectant la planète sont "toutes interconnectées". En ignorant cette interconnexion, les récifs coralliens pourraient disparaître de la surface de la terre d'ici 10 à 50 ans, préviennent ces experts mandatés par l'ONU.
info rapide. En cette fin du premier quart de ce 21ième siècle, une annonce pas banale attire l’attention. Elle émane d’une quarantaine de scientifiques de pointe dans leur domaine. Et porte sur le risque de voir l’humanité capable – d’ici une dizaine d’années – de créer des bactéries dites « miroirs ».
Comme le prouve une hécatombe d'éléphants au Botswana, la crise climatique peut favoriser les empoisonnements de la faune à l'échelle mondiale
Une étude montre que l’extinction du rapace en Inde provoque une surmortalité humaine, car les carcasses de bêtes qui propagent choléra et rage ne sont plus éliminées, constate l’économiste Pauline Grosjean, dans sa chronique.
La COP16 Biodiversité, la COP29 climat et la COP désertification vont-elles relancer l'initiative 4 pour 1000 sur la santé des sols?
En début d’année 2024, le gouvernement a interdit aux chalutiers de plus de 8 mètres d’accéder au golfe de Gascogne pendant un mois. Une mesure qui a eu des conséquences sur les recettes des pêcheurs mais qui a permis d’épargner de nombreux
Dans une nouvelle étude, des scientifiques ont fait une découverte choquante : pour la première fois au monde, des microplastiques ont été retrouvés dans la respiration des dauphins.
Omniprésentes et ultra-persistantes, les substances poly et perfluorées (PFAS), qualifiées de « polluants éternels », ne contaminent pas seulement nos corps. De l'île-de-France à l'Himalaya, c'est la planète dans son ensemble qui est désormais atteinte. Un péril silencieux dont les conséquences pourraient s'étaler sur des millénaires. Explications.
Au milieu des années 1990, la population de vautours, forte de 50 millions d'individus, s'est effondrée, au point de devenir presque nulle, à cause du diclofénac, un analgésique non stéroïdien bon marché utilisé pour le bétail, mais qui est fatal aux vautours. Une nouvelle étude établit un lien entre le déclin des vautours en Inde et la propagation d'une bactérie mortelle, à l'origine de quelque 500 000 décès.
Plus de 800 signalements de potentiels moustiques tigres ont été enregistrés depuis le début de l'année sur la plateforme de surveillance citoyenne SurveillanceMoustiques, dépassant de plus de 100 signalements le total de l'année dernière. Treize cas ont pu être vérifiés, rapporte l'institut de santé publique Sciensano. Celui-ci rappelle l'importance de la participation citoyenne dans cette surveillance.
Plus la planète se dégrade, plus il est politiquement payant de dénier la situation. Pour le premier parti de France, le Rassemblement national, le « GIEC exagère », alors même que, depuis mai, des vagues de chaleur, des inondations record, et de feux de forêt n’ont cessé d’affecter nombre de régions de l’hémisphère Nord...
Au lendemain des incendies qui ont décimé des forêts en Grèce, des centaines de bénévoles se sont mobilisés pour retrouver les animaux sauvages encore en vie. Une aide plus que nécessaire.
L’analyse du microbiote intestinal de trente espèces d’oiseaux a révélé que leur risque d’être porteurs de bactéries « Campylobacter » résistantes aux antibiotiques était accru dans les zones à plus forte densité humaine.
La vague de soutien au capitaine Paul Watson met en lumière notre fascination pour les baleines. Le mammifère marin n’a pourtant pas toujours fait l’unanimité, analyse l’historien Michel Pastoureau. Avec l’arrestation du capitaine Paul Watson au Groenland le 21 juillet, tous les regards se portent sur les baleines. Le fondateur de Sea Shepherd, en pleine lutte contre les baleiniers japonais, risque la prison à vie. Avant de devenir l’emblème de notre planète en feu, ces mammifères marins ont un (...)
Cela ressemble à de la science-fiction, mais c'est la réalité : le disparition des vautours en Inde a des conséquences dévastatrices pour le Santé humaine et l'économie du pays. La raison est facile à dire : ces oiseaux de proie ils nettoient les carcasses infectées et, en les éliminant, ils réduisent les populations d'autres charognards, comme les chiens sauvages qui peuvent transmettre des maladiesvoire mortel, par exemple le colère. De plus, sans vautours à proximité, les agriculteurs se débarrassent du bétail mort en le jetant dans les cours d’eau.
Omniprésents dans l’environnement, les microplastiques pénètrent profondément dans l’organisme des poissons, jusqu’à se retrouver en grand nombre dans les filets que nous mangeons, révèle une étude canadienne réalisée près de Toronto.
Aux Etats-Unis, la Cour suprême à majorité conservatrice a annulé, ce vendredi 28 juin, la «doctrine Chevron» qui imposait aux tribunaux de suivre les recommandations des agences gouvernementales.
Une revue de près de 1 000 études, parue ce mercredi 8 mai, montre que les activités humaines augmentent le risque infectieux touchant les plantes, les animaux et les individus.
Après la disparition de leur arbre fétiche, les chimpanzés d'Ouganda se tournent vers le guano de chauve-souris abritant des virus inconnus.
A la suite notamment de l’annonce de la révision du plan Ecophyto et à la présentation du projet de loi d’orientation pour la souveraineté agricole, un collectif d’associations de défense de l’environnement dénonce, dans une tribune au « Monde », les impacts néfastes de la politique agricole actuelle du gouvernement français, notamment en ce qui concerne l’usage accru des pesticides.
Malgré les menaces que l’humanité fait peser sur son environnement, le gouvernement tient des discours déconnectés du réel et pratique la course de lenteur, fustige un collectif de 260 scientifiques, dont le climatologue Jean Jouzel, dans une tribune au « Monde ».
La grippe aviaire décime des espèces déjà menacées par le changement climatique et la perte d’habitat.
Le groupe chimique allemand Bayer élabore une alternative au désherbant controversé glyphosate, commercialisé sous la marque Roundup. "Nous testons déjà la nouvelle substance sur des plantes", a confié son patron Bill Anderson au journal dominical allemand Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung.
Ce cadre de travail, qui envisage les questions de santé à l’intersection du monde humain, du monde animal et des écosystèmes, prend en compte des interconnexions du vivant pour prendre soin de la planète et de tous ses habitants.
Une branche du CNRS a poussé ses chercheurs à se positionner publiquement en faveur des nouveaux OGM. Le retour de cette vieille technique de propagande industrielle a choqué de nombreux scientifiques, notamment écologues.
Prix des semences, brevets et droits de licence, présomption de contrefaçon : le projet de réglementation sur les nouveaux OGM menace les petits semenciers et les paysans, au bénéfice des multinationales agrochimiques.
Vertement critiqué pour la "pause" annoncée sur le plan de réduction des pesticides, le gouvernement défend l'idée de "sortir de l'écologie punitive", mais ses opposants dénoncent une rupture avec le "quinquennat écologique" promis par Emmanuel Macron. Après deux semaines de fronde agricole, l'exécutif a mis fin au mouvement au prix de nombreuses concessions. Notamment sur le 4e plan Ecophyto qui fixait un objectif de réduction de 50 % de l'usage des pesticides d'ici 2030 (par rapport à 2015-2017) et que le gouvernement a décidé jeudi de "mettre en pause".
Le président du Brésil a toutefois posé son veto à quatorze alinéas d’un texte controversé, négocié depuis des années et qui vise à libéraliser l’homologation de pesticides dans le pays.
Le Brésil et l'Innovation contre les Maladies Transmises par les Moustiques Le Brésil se lance dans une entreprise audacieuse pour lutter contre les maladies transmises par les moustiques, comme la dengue, le Zika et la fièvre jaune. En 2024, le pays prévoit de disperser cinq milliards de moustiques infectés par un virus spécifique qui bloque la transmission de ces maladies. Cette initiative, soutenue par le World Mosquito Program (WMP), vise à remplacer progressivement les populations de moustiques vecteurs de maladies par des populations inoffensives. Le WMP, une organisation à but non lucratif affiliée à l'Université Monash en Australie, se consacre à la protection de la communauté mondiale contre ces maladies. En 2022, le Brésil a enregistré 1,2 million de cas de maladies transmises par les moustiques, soulignant l'urgence de trouver des solutions efficaces.