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Alors que la population mondiale continue d’augmenter et que la catastrophe climatique empire, une étude montre que le changement climatique est déjà nuisible à la production agricole mondiale, compromettant la sécurité alimentaire.
Alors que la population mondiale continue d’augmenter et que la catastrophe climatique empire, une étude montre que le changement climatique est déjà nuisible à la production agricole mondiale, compromettant la sécurité alimentaire.
Les chiffres de la FAO pour l’année 2021 indiquent que l’élevage est responsable de 50 % des émissions de méthane dans le monde, de 24 % des émissions de protoxyde d’azote et de 26 % des émissions de dioxyde de carbone (tous des gaz à effets de serre). Des chiffres qui interrogent : faudrait-il ne pas manger de viande pour sauver la planète ?
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La surface agricole utilisée pour alimenter la population française est « approximativement de 26 millions d’hectares », près de 37% de cette surface(2) étant situé hors de France selon les estimations de l’Agence de la transition écologique (Ademe). Dans l’étude ci-après, l’Ademe évalue cette empreinte « sol » mais aussi les empreintes énergie et carbone de la production agricole permettant de nourrir les Français. Les impacts de différents régimes alimentaires et des différents types de productions y sont estimés.
Selon de nouvelles recherches, « les systèmes alimentaires » étaient responsables de 34% de toutes les émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine en 2015.
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Alors que le gouvernement continue de maintenir à grand coût l’industrie de l’élevage, des chercheurs ont montré que passer à l'alimentation végétale permettrait de stocker vingt-cinq années d'émissions fossiles.
La crise du Covid-19 a mis en lumière un système alimentaire mondial défaillant. Il a plongé des millions de personnes dans la faim sur une planète qui produit pourtant suffisamment pour nourrir tout le monde. Un élément perturbateur de ce système : la production à grande échelle de biocarburants et son impact négatif sur la sécurité alimentaire mondiale. En revoyant sa politique énergétique très friande d’agrocarburants, la Belgique a une occasion en or de contribuer à la sécurité alimentaire de nombreux pays. Une opinion d'Alba Saray Pérez Terán, responsable de plaidoyer Climat chez Oxfam Belgique.
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Le Covid-19 menace-t-il notre sécurité alimentaire ? Pour Pablo Servigne, qui travaille depuis de nombreuses années sur les scénarios d’effondrement de nos sociétés, il est temps de tirer toutes les leçons de la crise sanitaire et économique provoquée par la pandémie. À commencer par remettre en cause la mondialisation économique, tout en évitant le retour à l’égoïsme des États.
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La crise du Covid-19 aura au moins une vertu: une prise de conscience de la fragilité du monde et des limites d'un système économique sérieusement mis à mal. Une enquête réalisée la semaine dernière auprès de 1.073 Belges (marge d'erreur de 3%) pour le compte de Fairtrade Belgium révèle qu'une part tangible de la population compte acheter davantage de produits locaux (42% des sondés), issus du commerce équitable (23%), en vrac (19%) et bio (14%).
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Des conditions climatiques presque invivables. Si rien n’est fait pour limiter les émissions de gaz à effet de serre, un tiers de l’humanité pourrait vivre, d’ici à cinquante ans, dans des endroits aussi chauds que le Sahara aujourd’hui. Ces 3,5 milliards de personnes sortiraient alors de la « niche climatique » dans laquelle les humains ont prospéré depuis six mille ans. Voilà les conclusions d’une étude publiée lundi 4 mai dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences, qui met en lumière les risques maximaux auxquels le monde pourrait être soumis dans les prochaines décennies à moins que nous ne parvenions à inverser la tendance.
Le manque d’eau touche 40 % des terres cultivables du pays, avec d’importantes disparités régionales. La sécheresse, chronique depuis 2015, est particulièrement grave cette année.
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L’épidémiologiste Marius Gilbert revient sur les « ratés » de communication autour des visites dans les maisons de repos. Et détaille au « Soir » sa vision du déconfinement.
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Une opinion signée par plus de 250 scientifiques