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géopolitique
Dans l'océan Indien, les États-Unis disposent d'une base militaire isolée de tout mais stratégique pour l'armée américaine : Diego Garcia. Située dans l'archipel de Chagos, elle s'apprête à changer de souveraineté alors que l'Iran menace de la bombarder. Un autre territoire que Donald Trump pourrait envisager d'annexer ?
Alors que le gouvernement de Joe Biden aidait presque secrètement les troupes de Volodymyr Zelensky, avec un partenariat secret de coopération mené sur le terrain pour s'échanger des informations sur la stratégie de l'ennemi russe, il se murmure du côté du Pentagone qu'on ne tiendrait plus le même son de cloche depuis que Donald Trump a posé ses valises à la Maison Blanche. En effet, comme l'informe le Washington Post, qui a mis la main sur un document intitulé "Orientations stratégiques provisoires pour la défense nationale", les Etats-Unis n'aideraient pas, ou du moins très peu, l'Europe en cas d'attaque russe.
Caracas a annoncé dimanche soir que les États-Unis ont révoqué les licences "des entreprises transnationales de pétrole et gaz" qui avaient obtenu le droit d'opérer dans le pays malgré les sanctions et l'embargo pétrolier destinés à évincer le président Nicolas Maduro du pouvoir. Loin d'être une surprise, cette mesure de Donald Trump confirme que le nouveau président américain cherche à asphyxier économiquement le Venezuela et faire tomber M. Maduro.
« Nous allons obtenir le Groenland. Oui, à 100 % ! », a encore répété Donald Trump dimanche, dans une interview accordée à NBC News.
L’avènement du néolibéralisme est souvent associé à l’élection de Margaret Thatcher au Royaume-Uni en 1979 et de Ronald Reagan aux États-Unis l’année suivante. En réalité, cette rationalité politique s’est lentement glissée au sein des politiques économiques à partir de la fin de la Seconde Guerre mondiale, à la faveur d’une lente intégration de l’Europe de l’Ouest et des États-Unis. Retour sur la lente et discrète ascension des idées néolibérales qui visaient initialement à fonder la paix mondiale sur l’intégration marchande des nations, à l’heure où la déception générée par leurs promesses non tenues se manifeste en de nombreux lieux de la planète.
À Delhi, Moscou et Pékin et dans bien d'autres capitales de pays autocratiques, on sabre le champagne en voyant le président Trump à l'œuvre depuis quelques semaines. Enfin un monde débarrassé de l'hégémonie américaine. L'arrivée de D. Trump à la Maison Blanche conforte l'idée selon laquelle la structure internationale évolue vers un monde multipolaire. Pourtant, ce monde multipolaire qui se profile est loin d'être celui naïvement rêvé par les Européens. En effet, contrairement à notre croyance, multipolarité n'est pas synonyme de multilatéralisme.
Si Pékin est officiellement resté silencieux, samedi 1er mars, la presse liée au régime s’est gargarisée de la position inconfortable des alliés de Washington, coupable de s’en être remis à la première puissance mondiale pour leur sécurité.
À Munich, l’Europe a vécu une accélération de l'Histoire. Le discours violent du vice-président américain JD Vance contre les institutions européennes a offert un moment de vérité. L’idée européenne est attaquée de toute part par la Russie ou la Chine, mais désormais aussi explicitement par les États-Unis.
Le 7 février, le président américain a signé un décret suspendant toutes les aides américaines à destination de l’Afrique du Sud. Il offre également à la communauté blanche afrikaner, qui serait victime de “discrimination raciale injuste”, le statut de réfugié. Une annonce qui a semé le malaise jusque chez les principaux intéressés.
La nouvelle administration américaine multiplie les critiques contre son allié historique européen et affirme sa volonté de redessiner les équilibres géopolitiques. Dans son dernier numéro, l’hebdomadaire italien “L’Espresso” passe en revue les conséquences de ce “tournant profond” dans la relation transatlantique.
L'OTAN travaille sur une proposition adressée au président américain Trump visant à accroître considérablement la présence militaire de l'alliance dans l'Arctique, ont déclaré des sources de l'OTAN à l'agence de presse allemande DPA. Le plan devrait apaiser les tensions au Groenland. Trump a déclaré à plusieurs reprises qu'il souhaitait annexer militairement le territoire autonome danois si nécessaire.
Un collectif d’une quarantaine de personnalités politiques, intellectuelles ou militantes appelle, dans une tribune au « Monde », à un sursaut du Vieux Continent face à l’« internationale impériale » en train de se former entre la Chine, la Russie et les États-Unis.
Le Conseil de Sécurité de l'ONU se réunit en urgence dimanche au sujet de l'intensification des combats dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) entre l'armée et le M23, groupe armé antigouvernemental soutenu par le Rwanda, qui font craindre un embrasement régional.
Donald Trump menace de saisir le canal de Panama. Il reproche au petit État d’Amérique centrale de surtaxer les navires américains et de ne pas les traiter de manière équitable, notamment par rapport aux navires chinois. Ces accusations sont-elles fondées ? Décryptage
Les ambitions de Donald Trump pour le Groenland peuvent surprendre, mais les prétentions des États-Unis sur le « continent blanc » ne datent pas d’aujourd’hui. Et les raisons de s’y intéresser ne manquent pas.
La fin de la pensée critique et l’effondrement de la civilisation. À une époque où la logique et l’esprit critique sont plus importants que jamais, la société évolue dans la direction opposée – vers la désinformation, le mysticisme et les régimes autoritaires. Le monde est plongé dans un état permanent de polycrise : instabilité économique, effondrement écologique, tensions géopolitiques et fracture sociétale. Au lieu d’affronter ces crises avec logique et des solutions fondées sur des preuves, de vastes pans de la population se replient sur la superstition et l’autoritarisme.
Désemparés par l’offensive idéologique des patrons de X et de Meta, les Européens craignent de froisser Donald Trump, le président élu américain. Ils ont tort. La fermeté s’impose.
La porte-parole du gouvernement français Sophie Primas a dénoncé mercredi "une forme d'impérialisme" en réaction aux menaces d'annexion du Groenland, un territoire autonome appartenant au Danemark, répétées par Donald Trump la veille.
Le chancelier allemand a souligné mercredi l’importance du principe d’inviolabilité des frontières face aux ambitions affichées récemment par le prochain président américain au sujet du Groenland, du canal de Panama ou encore du Canada.
Archives - En montrant son intérêt pour le territoire arctique, le président américain s’était positionné, dès la fin de son premier mandat, dans la course aux ressources souterraines qui l’oppose à la Russie et à la Chine.
Au cours d’une conférence de presse organisée ce mardi 7 janvier depuis son fief floridien de Mar-a-Lago, le président américain élu a une nouvelle fois multiplié les provocations sur le plan diplomatique.
Zelensky s'est exprimé dans une interview avec Lex Fridman. ... Si Trump a promis de mettre fin à la guerre rapidement une fois élu, Zelensky craint la suite des évènements si le futur président décide de se retirer de l'alliance. Newsweek rapporte les propos du président ukrainien : "Pour mettre fin aux combats, l'Ukraine a besoin de garanties de sécurité. Et si vous dites qu'il y a un risque que le président Trump se retire de l'OTAN, par exemple, c'est une décision des États-Unis. Je dis simplement que si cela se produit, Poutine détruira l'Europe. Il détruira tout autour."
Le président américain élu Donald Trump a menacé de reprendre le canal de Panama si ce dernier ne réduisait pas le prix des péages pour les navires américains, tout en dénonçant une influence croissante de la Chine sur cette voie interocéanique.
Le président élu s’en est pris dimanche aux droits de passage auxquels sont astreints les navires américains empruntant cette voie maritime. En menaçant d’exiger la reprise du contrôle du canal, Trump signale une nouvelle fois sa volonté de “mener une politique étrangère conflictuelle”, note la presse américaine.
Face à la menace russe, l’Europe doit impérativement sortir de sa torpeur et dépenser “beaucoup plus” pour sa défense, a averti jeudi Mark Rutte. Pour la presse européenne, le retour de Trump à la Maison-Blanche est une pression supplémentaire qui pèse sur les pays du continent européen.
Le deuxième fils du président Hafez Al-Assad s’est retrouvé propulsé au pouvoir après la mort de son frère aîné. Il avait résisté à la guerre civile qui a suivi les printemps arabes de 2011 au prix d’une guerre civile sanglante. Dimanche 8 décembre, il a finalement été contraint à la fuite par une coalition de rebelles.
... Abandonné par ses alliés russe et iranien eux-mêmes très affaiblis, il a toutefois dû selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH) fuir le pays dimanche, onze jours après le lancement le 27 novembre d'une offensive éclair par les rebelles, à laquelle ses forces n'ont opposé quasiment aucune résistance.
Le pouvoir de Bachar al-Assad s'est effondré dimanche en Syrie face à l'avancée fulgurante de groupes rebelles, qui a mis fin à cinq décennies de règne sans partage de la famille Assad. Retour sur les principales dates de cette offensive éclair et d'ampleur inédite qui a fait plier le régime syrien.
Les dirigeants européens doivent comprendre que la lutte contre le changement climatique est une priorité en matière de sécurité, et pas seulement une priorité environnementale, souligne l’ex-dirigeant danois dans une tribune au « Monde ».
La chute de la ville d’Alep, tombée aux mains des rebelles syriens quelques jours après le cessez-le-feu au Liban et la débâcle du Hezbollah, ne fait que confirmer la déroute de l’“axe de la résistance” chapeauté par l’Iran et l’avènement d’un “nouveau Moyen-Orient”. Mais jusqu’où ira la vague ? s’interroge le corédacteur en chef du quotidien libanais “L’Orient-Le Jour”.
L'opposition biélorusse craint que l'élection présidentielle en janvier 2025 soit d'ores et déjà jouée.
L’armée allemande tente de sensibiliser les entreprises aux risques géopolitiques qui pèsent sur l’Europe depuis l’invasion russe de l’Ukraine. D’après la “Frankfurter Allgemeine Zeitung”, il s’agit d’anticiper le pire, pour ne pas être rattrapé par les événements.
Avant son investiture, le 20 janvier 2025, le nouveau président américain doit pourvoir plus de 4 000 postes – notamment ses ministres, leurs adjoints, mais aussi des ambassadeurs, des responsables militaires et des directeurs d’agences fédérales.
La Suède a commencé lundi à envoyer quelque cinq millions de brochures à ses habitants, les encourageant se préparer face à l'éventualité d'une guerre. La Finlande voisine a dans le même temps lancé un site web avec des conseils de préparation similaires. Les deux pays ont abandonné plusieurs décennies de non-alignement militaire et ont intégré l'Otan après l'invasion par la Russie de l'Ukraine en 2022.
L’opposition pro-occidentale a refusé de reconnaître la victoire du Rêve géorgien, le parti au pouvoir, accusé de dérive autoritaire et prorusse. Vendredi, le président du Conseil européen a assuré qu’« il y a de sérieux soupçons de fraude ».
Malgré des efforts de déstabilisation russe massifs, la sortante pro-européenne l’a emporté, notamment grâce au vote de la diaspora. Elle a salué «une leçon de démocratie».
La Russie a fourni des données aux rebelles yéménites houthis pour les aider à attaquer des navires occidentaux en mer Rouge, d'après un article du Wall Street Journal (WSJ) publié jeudi.
Après le dépouillement de plus de 98 % des bulletins, le référendum pour adopter dans la Constitution le principe d’une future adhésion à l’Union européenne n’a toujours pas délivré sa réponse, sur fond de soupçons d’ingérence russe. Les électeurs étaient aussi appelés à se prononcer pour le premier tour de l’élection présidentielle, dominé par la présidente sortante.
Les Moldaves ont voté à une très courte majorité en faveur d'un rapprochement avec l'Union européenne (UE) lors d'un référendum organisé dimanche. Selon des résultats presque définitifs publiés lundi, le "oui" l'a emporté avec 50,17% des voix.
Les résultats des votes du 20 octobre affaiblissent la présidente pro-européenne, Maia Sandu. C’est un avertissement pour la Géorgie, qui se rend aux urnes le 26 octobre, mais aussi pour l’Union européenne : Moscou ne lâche rien.