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A l’appel d’ONG, plusieurs milliers de Britanniques marchent dimanche 3 novembre pour réclamer davantage d’actions des pouvoirs publics contre la pollution de l’eau, un phénomène qui a pris d’importantes proportions dans le pays.
La synthèse d’un rapport sur les traitements interdits utilisés par Nestlé sur ses eaux en bouteille adopté ce mercredi 16 octobre au Sénat dénonce l’opacité «de certains acteurs privés comme public». Une commission d’enquête va être créée.
Un dérivé des PFAS a été détecté en concentration importante dans de l'eau potable en Wallonie.
Une étude menée par l’association Générations futures répertorie cinquante-six molécules issues de la dégradation de pesticides susceptibles d’être présentes dans les eaux souterraines françaises et ne faisant l’objet d’aucun suivi par les autorités sanitaires, pourtant averties par les fabricants des risques encourus.
Avec seulement 37% de ses eaux de surface en bonne ou très bonne santé écologique, l'Europe doit mieux gérer ses ressources aquatiques pour garantir à ses citoyens de l'eau de bonne qualité, a prévenu mardi l'Agence européenne de l'Environnement (AEE).
Alors que l'eau du robinet contient en partie des polluants éternels, l'eau en bouteille ne serait pas une alternative parfaite.
Le gouvernement wallon a validé, jeudi matin, une note d’intention du ministre régional de la Santé et de l’Environnement, Yves Coppieters (Les Engagés), prévoyant notamment que la Wallonie adopte "immédiatement" - plutôt qu’en 2026 – la norme européenne de 0,1 μg/l pour les PFAS dans les eaux de distribution.
Une enquête de France Bleu révèle ce jeudi 19 septembre que trois communes françaises présentent un taux de PFAS dans l’eau du robinet au-dessus des normes recommandées.
Ce sont 13 % des habitants des communes de la Séauve-sur-Semène et de Saint-Didier-en-Velay qui ont déclaré « des symptômes caractéristiques de gastro-entérite ». L’agence régionale de santé poursuit ses analyses afin d’identifier les germes à l’origine de l’épidémie.
Depuis la mi-juillet, des camions-citernes alimentent les 660 habitants de Durban-Corbières en eau, en raison du très faible niveau des nappes phréatiques.
Du glyphosate, un herbicide toxique, est présent dans les rivières européennes. En cause : l'agriculture... et nos lessives. C'est l'hypothèse, sérieuse, de chercheurs allemands.
Les épisodes de contamination de la Seine aux bactéries fécales montrent les limites du tout-à-l’égout, loin d’être une panacée sanitaire. Des solutions pour mieux confiner les pathogènes existent.
Montagnes d’ordures, étendues d’eaux usées… Des images prises dans la bande de Gaza témoignent des conditions sanitaires extrêmement difficiles au milieu desquelles vivent les habitants. L’analyse d’images satellite permet aussi de documenter la formation de décharges informelles mesurant plusieurs centaines de mètres de long. Dans un contexte de fortes chaleurs, qui favorisent la propagation des maladies, le risque d’épidémie de choléra est réel, selon Louise Wateridge, porte-parole de l’Unrwa.
La présence du virus responsable de la polio a été détectée dans plusieurs échantillons d'eaux usées de la bande de Gaza, a annoncé jeudi le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, dénonçant une "catastrophe sanitaire".
L’ONG Pesticide Action Network Europe (PAN) a découvert de l’acide trifluoroacétique (TFA), un polluant éternel, dans 94 % des eaux de surface et 63 % des échantillons d’eau en bouteille, dépassant de loin les limites fixées dans le projet de directive révisée sur l’eau potable.
La concentration de bactérie E. coli dans la Tamise, en Angleterre, a atteint un niveau "alarmant" à cause de rejets d'eaux usées, dénonce vendredi le groupe River Action, à quelques jours d'une célèbre compétition d'aviron qui doit avoir lieu sur ce fleuve. La pollution des rivières au Royaume-Uni s'est imposée comme l'un des sujets-phare de la campagne pour les élections législatives du 4 juillet. Selon le groupe River Action, qui demande "une action urgente" au prochain gouvernement britannique, la régate royale d'Henley ne va pas être épargnée. Cette course d'aviron est un rendez-vous prisé de l'aristocratie anglaise qui se déroule chaque année début juillet, sur la Tamise, à l'ouest de Londres.
Le quotidien australien “The Sydney Morning Herald” révèle que l’eau potable du robinet d’un grand nombre d’endroits contient une quantité importante de polluants éternels.
Selon une étude réalisée dans dix pays de l’Union européenne et menée par les organisations partenaires du Pesticide action network Europe, La Mehaigne serait le troisième cours d’eau le plus pollué d’Europe en TFA, un produit chimique éternel qui fait partie de la famille des PFAS.
Les PFAS sont dans le viseur du législateur. Mais il y a un verrou : il ne s’agit pas seulement de surveiller une poignée de composés connus, mais de considérer des millions de molécules différentes.
L’Agence européenne pour l’environnement vient de publier, mercredi, un rapport sur l’impact du changement climatique sur le cycle de l’eau. Les phénomènes extrêmes menacent la santé des citoyens, mais aussi différents secteurs économiques.
Les habitants de l’enclave palestinienne ont de plus en plus de difficultés à avoir accès à de l’eau potable et propre, principalement en raison de la destruction des puits et des usines de traitement lors du conflit. Avec des conséquences sanitaires inquiétantes.
L'ONG Surfrider Foundation teste régulièrement la qualité de l'eau de la Seine à Paris. À l'approche des Jeux Olympiques, WE DEMAIN relaie les résultats de ces analyses.
Sophie Ressouche, spécialiste de la nappe où est pompée l’eau de Perrier, explique comment des contaminations ont pu se produire.
Les bases aériennes belges sont-elles à l’origine de pollutions locales aux PFAS ? L’enquête d’Investigation et de Décrypte révèle des niveaux élevés de contamination dans le sol et les eaux de certains quartiers militaires, mais aussi dans les puits et les robinets de civils. C'est le cas à Beauvechain où la teneur en PFAS dans l'eau potable est dix fois au-dessus des recommandations sanitaires.
Plus de deux mois après les révélations sur le traitement non autorisé de 30 % des eaux en bouteille, l’Etat reste muet face au scandale. Un déficit de transparence peu compatible avec l’impératif sanitaire.
Cette nouvelle réglementation doit permettre de réduire l'exposition aux PFAS d'environ 100 millions de personnes.
Quelles limites de PFAS dans l’eau en bouteille ? Le Conseil supérieur de la Santé s’empare du sujet
(12/03) - Johanne MontayLe Conseil Supérieur de la Santé (CSS) vient de rendre un avis important au sujet des PFAS, ces polluants éternels dont la présence hors norme a été mise en évidence dans les eaux wallonnes grâce au reportage de l’émission RTBF Investigation.
Le constructeur de l'Oosterweel, Lantis, défend son approche de la contamination par les PFAS sur le site du nouveau tunnel de l'Escaut à Anvers.
Les associations s’appuient notamment sur une récente étude de l’Institut flamand pour la recherche technologique (Vito) pour étayer leur argumentation.
Malgré ses conséquences pour la planète, malgré l’existence d’une eau du robinet sûre et peu chère, le marché de l’eau en bouteille est en plein boom à l’échelle mondiale. La conséquence d’une privatisation au long cours.
Alors qu'un scandale éclate en France sur les traitements de filtrage pratiqués par de grands groupes comme Nestlé sur les eaux minérales, la Belgique a décidé à son tour d'ouvrir une enquête, rapporte vendredi la RTBF.
De nouvelles analyses de Générations futures mettent au jour une lourde pollution par ces substances chimiques près d’une usine du groupe Solvay, dans le Gard. Les concentrations dans l’eau potable de deux communes sont inquiétantes.
Nestlé Waters a reconnu lundi avoir utilisé des traitements interdits pour garantir la "sécurité alimentaire" certaines de ses eaux minérales, et assure en avoir informé les autorités françaises en 2021. Environ un tiers des marques seraient concernées dans l'Hexagone, ont révélé mardi Le Monde et Radio France.
Près d’un tiers des bouteilles d’eau vendues comme de l’eau minérale naturelle ou de source subissent en réalité des traitements illégaux pour être purifiées de la même manière que l’eau du robinet, révèlent Radio France et «le Monde».
Une nouvelle étude montre que les taux de pollution aux micro-plastiques sont 100 à 1000 fois plus élevés qu’on ne le pensait jusque là. Des résultats qui tranchent avec l'image d'un produit pur et sain véhiculé par les industriels.
L'eau des bouteilles en plastique contient jusqu'à 100 fois plus de minuscules particules de plastique qu'estimé jusqu'ici, selon une nouvelle étude publiée lundi.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.
Selon une nouvelle étude parue dans une revue américaine, la pollution aux nanoparticules dans l’eau en bouteille est 100 fois plus élevée qu’estimée auparavant. Un coauteur de l’étude «ne recommande pas de ne pas boire d’eau en bouteille quand c’est nécessaire».
Dans des bouteilles d’eau achetées au supermarché aux États-Unis, des chercheurs ont détecté une quantité importante de plastiques, dont 90 % sont de taille nanométrique.
Ils pèsent moins de 10% du poids de la pollution plastique en mer mais représentent 90% des objets qui s’y trouvent. Ce sont les microplastiques. Depuis des décennies, ces minuscules fragments de plastique ont colonisé tout l’environnement, de l’atmosphère aux sols en passant par la chaîne alimentaire et l’eau en bouteille. Et ce, à des quantités bien plus importantes que celles estimées jusqu’à présent. C’est ce que révèle une étude publiée ce lundi 8 janvier 2024 dans la revue PNAS.
Nous sommes tous contaminés aux perturbateurs endocriniens. En cause : le plastique, une bombe sanitaire négligée par les pouvoirs publics.
Le monitoring mené par la Société wallonne des eaux (SWDE) dans le cadre de la recherche de PFAS se poursuit.
L'eau du robinet est impropre à la consommation dans certains villages des communes de Nandrin, Modave et Tinlot. Ils sont touchés par une pollution aux PFAS, ces polluants éternels. C'est ce que viennent de révéler les derniers résultats des échantillons prélevés dans le cadre d'un monitoring réalisé à l'échelon wallon.
Une distribution d'eau potable a débuté vendredi dans plusieurs villages des entités de Modave, Nandrin et Tinlot, en province de Liège, en raison de la non-potabilité de l'eau de distribution décrétée après une suspicion de pollution aux PFAS, a annoncé le bourgmestre nandrinois Michel Lemmens à l'agence Belga.
Interdits depuis 10 ans, ces produits chimiques sont encore présents dans notre eau potable selon une étude de l’Association des chimistes cantonaux de Suisse.
Cette situation dramatique documentée par l’Unicef révèle deux constats alarmants.
En pleine polémique sur les PFAS, il a été question de la société Renewi ce lundi soir au conseil communal de Liège. Des données inquiétantes en matière de contamination aux PFAS ont en effet été révélées concernant les eaux de rejet de cette société de gestion de déchets installée à Wandre.
Le dossier des polluants éternels continue d’agiter la société et le monde politique belge.
Quelle est la qualité de l'eau qui sort de votre robinet ? La question se pose après l'enquête de l'émission...
Après la ministre wallonne de l'Environnement Céline Tellier mardi, c'était au tour du Comité de direction de la Société wallonne des eaux (SWDE) d'être entendu, ce vendredi matin, sur la pollution aux PFAS de l'eau de distribution.
Les explications des quatre membres du comité de direction de la Société wallonne des eaux (SWDE), vendredi matin en commission du parlement wallon, sont loin d'avoir répondu à toutes les questions qui entourent la pollution aux PFAS de l'eau de distribution au sud du pays, ont pointé, au terme de ces auditions, de nombreux députés wallons.
Voilà près d’une semaine qu’une enquête d'#Investigation et de Décrypte a révélé que plusieurs communes de Wallonie présentaient des teneurs élevées en PFAS dans l’eau potable, sans que les autorités interviennent avant mars 2023. Pointée par de nombreux élus de l’opposition, la ministre wallonne de l’Environnement, Céline Tellier, a dû répondre de cette situation en Commission de l’Environnement au Parlement wallon ce mardi matin. Dans son argumentaire, elle insiste notamment sur la chronologie des évènements et les échanges d’informations entre son cabinet, le Service public de Wallonie (SPW) et la Société wallonne des eaux (SWDE) à propos du cas de Chièvres.
Quelle est la qualité de l’eau de mon robinet ? Est-elle polluée au PFAS ? Le magazine #Investigation a proposé ce mercredi 8 novembre une enquête qui a révélé l’existence de PFAS (dit aussi "polluants éternels") dans l’eau potable de la commune de Chièvres dans des proportions trop élevées par rapport à la future norme européenne. Les habitants des autres communes wallonnes sont donc amenés à se poser la question pour l’eau qui coule dans leur maison.
Le nouveau scandale révélé par la RTBF inquiète quant à la qualité de l’eau que l’on consomme quotidiennement. Face à cette situation, Alfred Bernard, directeur de recherche du Fonds national de la recherche scientifique (FNRS) et professeur émérite à l’UCLouvain le rappelle : notre eau du robinet n’est pas contaminée seulement par les PFAS.
Alors que la révélation par la RTBF, dans son émission #Investigation, d’une contamination au PFAS de l’eau potable dans une douzaine de localités wallonnes continue de créer des remous, les interrogations sur les procédures de contrôle de l’eau de ville se multiplient. Qui s’assure au final que l’eau potable est bien potable ? Quels contrôles sont effectués ? Quel est le cadre légal qui entoure la distribution d’eau en Wallonie ? On fait le point.
Le dossier PFAS ne cesse de rebondir. Le magazine #Investigation a proposé ce mercredi 8 novembre une enquête qui a révélé l’existence de PFAS (dit aussi "polluants éternels") dans l’eau potable de communes comme Chièvres ou Ath dans des proportions trop élevées par rapport aux normes recommandées.
Le 08 novembre, le magazine Investigation de la RTBF faisait état d’une alarmante contamination de l’eau du robinet en Hainaut par des PFAS, les ‘polluants éternels’, substances chimiques que l’on retrouve un peu partout et dont l’une des caractéristiques est d’être quasiment indestructibles. L’émission pointe, à raison, un manque de transparence de la SWDE (Société wallonne des eaux) qui aurait manqué de proactivité dans sa communication vers les citoyen·nes concerné·es. Canopea estime que plus fondamentalement, la responsabilité principale incombe aux entreprises qui ont mis ces substances sur le marché sans une évaluation suffisante de leur impact environnemental.
La recherche de nouvelles substances chimiques, en particulier les produits de dégradation des pesticides et les PFAS, conduit à des fermetures de captages et des dépassements de seuils réglementaires ou sanitaires de l’eau distribuée.
L’Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (Anses) a mis en évidence la présence de ce solvant industriel dans plusieurs réservoirs d’eau potable, notamment dans les Yvelines.
L’agence de sécurité sanitaire française annonçait il y a quelques mois avoir trouvé de nouveaux polluants chimiques dans l’eau potable. La cellule investigation de Radio France a identifié ces sites et reconstitué la carte de ces pollutions.
Un pesticide interdit il y a deux ans continue d’empoisonner les habitants de plusieurs villages de l’Aisne. Certains ne peuvent plus boire l’eau du robinet. La solution ? Diluer la pollution en se raccordant aux voisins.
Le manque de neige en hiver et les températures estivales élevées ont entraîné une perte record de glace des glaciers des Alpes en 2022, selon les données du Copernicus Climate Change Service (C3S), publiées ce jeudi. Les jours à haut stress thermique sont en croissance également.
Le dérivé d’un fongicide, le chlorothalonil, interdit en France depuis 2020, a été largement retrouvé dans les analyses menées par l’Anses sur l’eau du robinet. Le ministère de la Transition écologique se veut pour l’heure rassurant et indique que ces dépassements ne sont pas forcément synonymes de "risque sanitaire". Explications en infographie.
C’est une catastrophe souterraine que révèle dans un rapport du 6 avril l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses). Un tiers de l’eau potable distribuée en France serait non conforme à la réglementation et pollué par les métabolites du chlorothalonil, un pesticide commercialisé par Syngenta, utilisé depuis 1970 et interdit en 2019. Dans un article du Monde, un responsable technique d’un gros opérateur public dit être « convaincu que plus de la (...)
Environ un tiers de l’eau distribuée en France serait non conforme à la réglementation, selon un rapport qui doit être rendu public jeudi par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail.
Le déploiement de ces retenues à ciel ouvert menace la préservation de l’eau et freine la transformation de notre modèle socio-économique et de nos modes de vie, affirment dans une tribune au « Monde », des membres du collectif Scientifiques en rébellion.
Selon les données du « Monde », environ 12 millions de personnes ont depuis été concernées par des dépassements de seuils de qualité pour les pesticides et leurs métabolites.
Savez-vous combien de substances organiques et inorganiques ont été répertoriées au Registre de la Société américaine de chimie ? Plus de soixante millions ! Si encore on pouvait considérer que nous allons nous en ternir là… Mais non : pas moins de 12000 tonnes de nouveaux produits chimiques arrivent tous les jours sur le marché ! Plus de 49 millions de produits chimiques sont commercialisés dont on considère que moins de 1% sont inventoriés et/ou soumis à un quelconque règlement. Véritable cauchemar puisque la durée de vie de ces produits dépasse très largement l’usage qui en est fait.
Trop de pesticides dans l'eau du robinet livrée dans les foyers bretons : un inquiétant constat qui incite l'association Eau et Rivières de Bretagne à alerter
Deux fois par an, des experts sillonnent le pays pour évaluer les niveaux de pollution des 6 500 nappes d’eau de France et mesurer l’impact des activités humaines sur les sols et l’écosystème. «Libération» a suivi le travail de ces experts dans la région de la Beauce.
Plus de 920 millions d’enfants gravement exposés au manque d’eau dans le monde
Une telle diminution réduirait non seulement les émissions de CO2 et serait donc bénéfique pour le climat, mais aurait également d'autres avantages pour l'environnement. Par exemple en termes d'azote (et d'impact sur les eaux souterraines et les eaux de surface), de pollution de l'air, d'espace disponible, de santé ou de restauration de la biodiversité.
Depuis le début de l’année 2021 des témoignages de citoyens inquiets suite à la découverte de quantité importantes de biomédias, se multiplient sur les plages corses (France).
L’Algérie subit une forte vague de chaleur en ce début d’été. Elle est aussi confrontée à des manques d’eau potable et des coupures d’électricité. La ruée vers les étendues d’eau pour se rafraîchir est périlleuse : noyades et eaux polluées ont fait plusieurs victimes.
L’eau délivrée par la Cise, l’un des plus gros distributeurs sur l’île, contient parfois des matières fécales, révèlent les analyses de l’Agence régionale de santé.
Alors que la production de batteries lithium-ion n’a jamais été aussi soutenue, les demandes en matière de cobalt ne cessent d’augmenter. En effet, ce métal est indispensable à la fabrication de ces accumulateurs. Les principales mines de cobalt se trouvent en Afrique, notamment en République démocratique du Congo. Son extraction se fait malheureusement au détriment de la santé humaine et de l’environnement.
Fondée par le Belge Thomas de Groote, l'association se mobilise chaque année pour un grand nettoyage de fleuves et rivières, mais surtout pour sensibiliser les citoyennes et les citoyens aux conséquences de la pollution plastique.
Un groupe de scientifiques du Jet Propulsion Laboratory a récemment cherché à mieux quantifier l’évapotranspiration continentale et son évolution au fil du temps. Les résultats publiés dans la revue Nature confirment une augmentation rapide depuis le début des années 2000, concrétisant un assèchement généralisé des terres avec le réchauffement planétaire.
La Chine a qualifié mardi "d'irresponsable" la décision du Japon de rejeter à la mer les eaux issues de la centrale nucléaire de Fukushima, accidentée en 2011.