Recherche : Articles Audio – podcast
Fiches
Livres
Sites
Vidéos
retour Veille
Uniquement les Articles
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
filtre:
écologie focuscollaps
Ancien ministre de l’Écologie, Yves Cochet est une figure de l’écologie politique et un scientifique de formation. Désormais éloigné de la vie politique il alerte sur le risque d’effondrement du vivant et ses répercussions sur la société. Dans son dernier livre Petites précisions sur la fin du monde (éditions Les Liens i Libèrent, septembre 2024), il réitère la nécessité de faire face à un effondrement global dans les années à venir en s’organisant localement pour mettre en place un vaste programme de décroissance. En dépit d’une approche collapsologique, il tente de montrer que des voies existent encore pour préparer l’avenir, notamment en misant sur le local et les biorégions.
En 2024, le jour du dépassement est le 1er août, selon l’ONG Global Footprint Network. A compter de cette date, l’humanité prélève plus de ressources que la planète ne peut générer en un an. Natacha Gondran répond à nos questions.
Les élections législatives [France] ont confirmé l’ascension du Rassemblement National, même s’il n’est pas devenu majoritaire en nombre de sièges. En parallèle de ces deux élections, l’extrême droite française s’est renforcée en tissant des alliances à l’échelle européenne avec d’autres partis du même bord politique...
Mardi 4 juin 2024, 5 jours avant les méga-élections 2024, où nous pourrons choisir nos représentants politiques dans de nombreuses assemblées : Parlement wallon, Parlement bruxellois, Parlement flamand, Parlement fédéral, Parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Communauté française de Belgique), Parlement européen, etc. Plus quelques spécificités institutionnelles belges comme le Sénat, les assemblées bruxelloises spécifiques et la Communauté germanophone.
Les émotions comme acte politique, le silence « cynique » des puissants face à la catastrophe écologique... Pour la militante écologiste Camille Étienne, il est essentiel d’« instaurer un rapport de force » face aux puissants.
Le philosophe Kohei Saïto, né à Tokyo en 1987, est une star du marxisme au Japon. Dans son pays, son livre Hitoshinsei no Shihonron (Le capital dans l’anthropocène), publié dans sa version originale en 2020 et non traduit en français, s’est vendu à plus d’un demi-million d’exemplaires. Ses ouvrages synthétisent ses recherches, qui articulent marxisme et écologie. « Aux Etats-Unis, le terme “communisme” revêt des connotations négatives. Au Japon, c’est pratiquement pareil », explique Saïto depuis son bureau à l’université de Tokyo, où il est professeur associé et « le seul » expert sur le marxisme. Il a également publié La nature contre le capital : l’écologie de Marx dans sa critique inachevée du capital.
Souffrez-vous d'amnésie écologique ? C'est quasiment certain, comme presque tout le monde en fait. En dehors des climatologues et des plus grands chercheurs sur l'évolution de la biodiversité,...
L'été 2023 a été le plus chaud de l’Histoire humaine. Chaque jour les médias en énumèrent les conséquences dramatiques. Paroles radicales de Jean-Marc Gancille, militant écologiste et auteur de "Ne plus se mentir": fini l’espoir, soyons courageux.
We ran computer programs that simulate ecosystems 70,000 times and the results are very worrying.
A l'occasion de la journée mondiale de l'environnement le 5 juin, GEO s'intéresse aux limites planétaires. Audrey Boehly, autrice du livre Dernières limites (éd. Rue de l'échiquier), a interrogé plusieurs experts des domaines concernés afin d'apporter un éclairage différent sur ce concept.
Dans son nouvel ouvrage Politiser le renoncement (Divergences, 2023), Alexandre Monnin prolonge les réflexions initiées avec Emmanuel Bonnet et Diego Landivar dans leur livre Héritage et fermeture, une écologie du démantèlement (Divergences, 2021). Entretien avec le philosophe, qui continue d’enrichir le cadre conceptuel original de la redirection écologique.
Il me revient que certains politiciens et intellectuels qui n’étaient pas réputés pour leur goût de l’écologie, ou leur intérêt pour l’urgence climatique, parfois même un peu climato-sceptiques, auraient complètement changé d’avis suite à une sorte de phénomène de « révélation ». Suite à cette « révélation », ils auraient pris conscience de la gravité de la situation, pour s’engager corps et âme en faveur d’une prise en compte de l’Urgence, d’une manière ou d’une autre. Je ne peux m’empêcher d’évoquer deux belges, l’ancien ministre et député Jean-Luc Crucke , et l’ex-chef de cabinet du libéral Didier Reynders, économiste et écrivain Bruno Colmant.
abs_empty
Comme les températures sont « de saison », on parle moins d’écologie en Belgique, et on parle à peine de la France qui va devoir rationner l’eau.
L’idée qu’un « bug » dans le fonctionnement cérébral serait en partie responsable des ravages écologiques en cours devient de plus en plus populaire. Cette hypothèse politiquement dangereuse est pourtant sans fondement scientifique. Nous présentons ici quelques éléments de « débuggage ».
Résolution adoptée par le 91e congrès de la LDH, Marseille – 4, 5 et 6 juin 2022 L’exercice des droits et des libertés suppose aujourd’hui la préservation des écosystèmes, car il est de plus en plus affecté, directement et indirectement, par les dégâts causés à ce que les êtres humains voient comme leur environnement. En effet, l’humanité est devenue une « force géologique » majeure et cause agissante de bouleversement des écosystèmes. Les dangers immédiats que représentent les changements climatiques d’origine humaine, l’effondrement de la biodiversité et plus largement le franchissement en cours des limites planétaires menacent directement les conditions de vie et donc l’exercice des droits de tous et toutes.
ENTRETIEN avec Corinne Morel Darleux. Dans un monde qui vacille toujours un peu plus, après le Covid-19, la guerre en Ukraine et maintenant le dernier rapport du GIEC, comment retrouver l’énergie de la résistance ? Comment cultiver un militantisme qui ne soit ni naïf ni fataliste,
L’organisation patronale a présenté le 16 mai les résultats d’une étude sur la transition écologique. Misant tout sur la technologie, elle prône la croissance « sobre ». Et assure que le capitalisme « a toujours trouvé des solutions ».
Né en 1941, Jean-Pierre Dupuy est ingénieur, philosophe et écrivain. Influencé par Ivan Illich et René Girard, il est professeur à l’université Stanford (États-Unis). Il a notamment signé Pour un catastrophisme éclairé. Quand l’impossible est certain (Seuil, 2002), Petite Métaphysique des tsunamis (Seuil, 2005), Retour de Tchernobyl. Journal d’un homme en colère (Seuil, 2006) et La Guerre qui ne peut pas avoir lieu. Essai de métaphysique nucléaire (Desclée De Brouwer, 2019).
Du haut de ses cent ans, le sociologue dénonce « un somnambulisme généralisé », analogue en tant qu’inconscience à celui qu’il a connu de 1933 à 1940.