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Gaia

mai 2024

En 1974, le sulfureux chimiste James Lovelock formulait, avec la biologiste Lynn Margulis, une théorie comparant la Terre à un super-organisme capable de s’autoréguler. Disqualifiée dans les milieux scientifiques, cette approche imprègne en profondeur la pensée philosophique et écologique actuelle.

février 2024

Des milliards d’animaux souffrent chaque année et vivent un enfer au quotidien à cause du choix d’une poignée d’industriels travaillant main dans la main avec le monde politique. Notre combat est donc d’autant plus important à l’approche des élections régionales, fédérales et européennes de 2024.

novembre 2022

With up to three billion people expected to be displaced by climate change by 2100, does there need to be a shift in the way we think about national borders, asks Gaia Vince?

octobre 2022

Alternatieve methodes om afval te verwerken - zoals composteren en recycleren - kunnen de uitstoot van de afvalsector met 84 procent terugdringen, volgens een rapport van de internationale afvalwaakhond Gaia. Toch krijgen die methodes nauwelijks aandacht in nationale klimaatplannen.

août 2022

A great upheaval is coming. Climate-driven movement of people is adding to a massive migration already under way to the world’s cities. The number of migrants has doubled globally over the past decade, and the issue of what to do about rapidly increasing populations of displaced people will only become greater and more urgent. To survive climate breakdown will require a planned and deliberate migration of a kind humanity has never before undertaken.
L’hypothèse de James Lovelock est que Gaïa est un superorganisme constitué de toute vie, y compris celle de Homo sapiens, qui règle la composition de l’air et de la température à la surface de la planète, dans les meilleures conditions, ce qui permet d’assurer la continuation de la vie. La régulation de la Planète par la biosphère est donc le point central de l’hypothèse controversée de Gaïa.

juillet 2022

Le scientifique britannique James Lovelock, mort à 103 ans, était connu pour sa célèbre « hypothèse Gaïa ». À la croisée des disciplines, elle décrit la Terre comme capable de s’autoréguler.
L’environnementaliste britannique James Lovelock, connu pour avoir alerté avant l'heure sur la crise climatique et pour son "hypothèse Gaïa" présentant la terre comme un être vivant capable de s'autoréguler, est décédé à l'âge de 103 ans.
Le scientifique britannique James Lovelock, connu pour avoir alerté avant l’heure sur la crise climatique et pour son « hypothèse Gaïa » présentant la terre comme un être vivant capable de s’autoréguler, est décédé à l’âge de 103 ans, a indiqué mercredi 27 juillet sa famille.

novembre 2021

C’est l’avertissement lancé par James Lovelock, dans un article qu’il vient de publier dans The Guardian. Lovelock est un scientifique et écologiste britannique indépendant, à l’origine de l’hypothèse biogéochimique (ou « hypothèse Gaïa »). Cette hypothèse controversée, établie en 1970, soutient que notre planète serait un être vivant, une sorte de superorganisme chargé d’autoréguler ses composants pour favoriser la vie.
Le célèbre scientifique pense que le Covid-19 est une des premières tentatives de la planète bleue pour se protéger de l'espèce humaine.
Covid-19 may well have been one attempt by the Earth to protect itself. Gaia will try harder next time with something even nastier

février 2021

Ce sont les êtres vivants qui ont progressivement créé l’environnement qui leur convient. Nous ne sommes pas tombés dans une nature opportunément favorable. Des générations d’êtres vivants ont concouru à la formation de l’atmosphère et de l’espace dans lequel nous évoluons. Cet espace est appelé Gaïa ou la « zone critique ». Il occupe environ deux kilomètres au-dessus de notre sol, et deux ou trois au-dessous.