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This report synthesizes information from the 166 latest available nationally determined contributions communicated by 193 Parties to the Paris Agreement and recorded in the registry of nationally determined contributions as at 23 September 2022.
Momentum to phase out unabated coal use is growing globally. This transition is critical to meeting the Paris climate goals but can potentially lead to large amounts of stranded assets, especially in regions with newer and growing coal fleets. Here we combine plant-level data with a global integrated assessment model to quantify changes in global stranded asset risks from coal-fired power plants across regions and over time. With new plant proposals, cancellations, and retirements over the past five years, global net committed emissions in 2030 from existing and planned coal plants declined by 3.3 GtCO2 (25%). While these emissions are now roughly in line with initial Nationally Determined Contributions (NDCs) to the Paris Agreement, they remain far off track from longer-term climate goals. Progress made in 2021 towards no new coal can potentially avoid a 24% (503 GW) increase in capacity and a 55% ($520 billion) increase in stranded assets under 1.5 °C. Stranded asset risks fall disproportionately on emergin
Sur les 194 Parties signataires de l'Accord de Paris ayant déposé auprès des Nations Unies leurs « contributions déterminées au niveau national »(1) (engagements pour lutter contre le réchauffement climatique, « INDC » ou « NDC » en anglais), 182 Parties avaient inclus des objectifs relatifs aux énergies renouvelables à mi-novembre 2021 après la COP26 (dont 144 avec des objectifs quantifiés et seulement 13 s'engageant avec un pourcentage d'énergies renouvelables dans leurs mix énergétiques respectifs).
Les 10 % les plus riches de la planète sont responsables de près de la moitié des émissions de carbone. Ce constat saisissant est dressé par le Laboratoire sur les inégalités mondiales, dans son rapport 2022, publié mardi 7 décembre. « Les inégalités de revenus et de patrimoine mondiales sont étroitement liées aux inégalités écologiques et à l’inégalité des contributions au changement climatique », y déclare Lucas Chancel, économiste français et principal auteur de l’étude.
Plusieurs études ont montré cet automne que ces engagements étaient insuffisants. En particulier, l’analyse du secrétariat de l’Accord de Paris(1) a montré qu’ils conduisaient à 2,7 °C d’augmentation moyenne des températures d’ici la fin du siècle. C’est mieux que les 3 ou 3,5° qu’annonçaient les contributions initiales des États en 2015, mais c’est bien loin des objectifs posés dans l’Accord de Paris !
Après dix jours de discussions à Glasgow, une première mouture de la déclaration finale de la COP26 appelle les pays à « réviser et renforcer », dès 2022, les contributions nationales qui fixent les engagements à court terme.
L’Union européenne entame la COP26, organisée jusqu'au 12 novembre à Glasgow, avec de hautes ambitions climatiques, déroulées ces derniers mois : green deal, paquet législatif contraignant, contributions nationales de réduction des émissions des gaz à effet de serre en hausse, etc.
ONU Climat a publié aujourd'hui une synthèse des plans d'action pour le climat tels que communiqués dans les contributions déterminées au niveau national (NDC) des pays. Le rapport de synthèse des NDC indique que si la tendance est clairement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre au fil du temps, les nations doivent redoubler leurs efforts d'urgence en matière de climat si elles veulent empêcher que la température mondiale n'augmente au-delà de l'objectif de maximum 2°C, idéalement 1,5°C, fixé par l'Accord de Paris, d'ici la fin du siècle.