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Le docteur Clémence Rose est chargée de recherche CNRS au Laboratoire de météorologie physique depuis 2018. Elle étudie les plus fines particules qui composent notre atmosphère et ses travaux ont été salués par le CNRS, qui lui a décerné cette année la médaille de bronze.
Un pattern mondial et des conséquences locales Une étude publiée le 4 juin 2025 dans Nature Ecology & Evolution, menée par des chercheurs de l’Université d’Umeå en collaboration avec l’Université de Reading, révèle un principe presque universel : Dans chaque région du globe, la biodiversité s’organise autour de "points chauds", des zones minuscules mais vitales, où la majorité des espèces apparaissent et se concentrent, avant de se raréfier en s’éloignant.
A la veille de la conférence de l’ONU sur l’océan qui se tient à Nice, un comité de scientifiques internationaux dévoile ce dimanche 8 juin un rapport inédit sur l’état de santé des océans.
Le virus responsable de la Covid-19 (SARS-CoV-2) aurait été acheminé à Wuhan, en Chine, par le biais du commerce d'espèces sauvages et non pas par les chauves-souris fer à cheval, ressort-il d'une étude menée par des scientifiques de l'Université libre de Bruxelles (ULB), de la KU Leuven et de trois autres universités étrangères, publiée mercredi. Les scientifiques estiment que les sarbecovirus, dont les chauves-souris sont les hôtes, "ont fait le saut vers l'homme par le biais d'événements de transmission entre une population animale et la population humaine", a expliqué l'ULB dans un communiqué.
Des chercheurs belges, britanniques et américains estiment que le virus ancêtre du Covid aurait été acheminé à Wuhan, non pas via son animal hôte les chauves-souris, mais avec d'autres animaux via le commerce d'espèces sauvages, comme lors de l'épidémie de Sras en 2002. Ce qui est aussi en adéquation avec une origine naturelle pour le virus de la Covid-19.
Les trois quarts des espèces aviennes d’Amérique du Nord connaissent une baisse significative de leur population, notamment dans les zones où elles sont les plus présentes, selon une étude publiée jeudi 1er mai dans la revue «Science».
En l’espace de quelques jours, l’administration Trump a proposé d’assouplir la définition du "mal" fait aux espèces en voie d’extinction pour octroyer plus facilement des permis de forage et a réautorisé la pêche commerciale dans un sanctuaire marin de l’océan Pacifique. Deux mesures perçues par les scientifiques et les associations environnementales comme une "attaque contre le patrimoine".
Espèces en danger : l’administration Trump envisage d’autoriser la destruction des habitats naturels
(17/04) - Libération,Luc MathieuL’administration Trump a proposé mercredi 16 avril d’assouplir la définition du «mal» fait aux espèces en danger en excluant la protection de leur habitat, une mesure aussitôt contestée par les organisations écologistes.- […] Que signifie l’interdiction de «faire du mal» aux plantes ou animaux menacés d’extinction ? L’administration Trump poursuit sa vaste opération de détricotage des acquis en matière de protection de l’environnement, en suggérant désormais d’assouplir la définition du «mal» fait aux espèces en danger. Le ministère de l’Intérieur, chargé aux États-Unis de l’environnement, a ainsi proposé mercredi 16 avril d’exclure la protection de l’habitat des plantes ou animaux menacés, provoquant une nouvelle fois la colère des organisations écologistes.
Le tribunal de Montpellier a infligé des amendes et des peines de prison avec sursis aux exploitants pour la mort d’espèces protégées. Une première au niveau pénal contre des exploitants d’éoliennes. Le tribunal de Montpellier a ordonné, lundi 7 avril, la suspension pour quatre mois, avec exécution provisoire, de l’activité du parc éolien d’Aumelas (Hérault), jugeant les dix sociétés qui l’exploitent, dont EDF Renouvelables, responsables de la mort de 160 individus d’espèces protégées, dont de rares faucons crécerellettes.
L’Union internationale pour la conservation de la nature a actualisé, ce jeudi 27 mars, sa liste rouge des espèces menacées, en y incluant les champignons, «héros méconnus de la vie sur Terre».
Les représentants des Vingt-Sept ont adopté, vendredi, une proposition de la Commission européenne visant à autoriser une utilisation plus large des variétés végétales résultant des NTG.
La LOA de la jungle. Activement soutenu par la droite, le texte du gouvernement est examiné au Sénat jusqu’au 18 février. Pesticides mis à l’honneur, dépénalisation des atteintes à la biodiversité, accélération des projets de mégabassines… de nombreux reculs environnementaux sont défendus, mais très peu risquent d’être réellement appliqués. Vert fait le point.
Après qu’un groupe d’agriculteurs, liés à la FNSEA, a muré, le 28 novembre, l’entrée de l’Inrae, à Paris, un collectif de plus de 240 chercheurs souligne, dans une tribune au « Monde », que des transitions radicales sont nécessaires et que la recherche doit rester indépendante pour faire face aux enjeux monumentaux du XXIᵉ siècle.
Alors que 2024 sera la première année au-dessus d'1,5°C de réchauffement climatique, une étude révèle que cela pourrait accélérer l'extinction des espèces animales.
Au-delà des bénéfices pour les communautés environnantes, le La protection des tourbières est essentielle pour atténuer le changement climatique. En raison de leur dégradation actuelle, ils émettent 4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre provenant des activités humaines. Et cette situation doit changer au plus vite.
Près de la moitié des espèces de coraux constructeurs de récifs, qui vivent dans les eaux tropicales, sont menacées d'extinction, selon un rapport de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) publié le 13 novembre 2024, en pleine COP29.
Espèces trébuchantes. Pollutions, surexploitation, changements climatiques… le «Giec de la biodiversité» identifie plusieurs grandes causes de l’effondrement du vivant. Alors que la conférence mondiale (COP16) sur la biodiversité touche à sa fin ce vendredi, Vert vous présente quatre espèces menacées en France.
à ce rythme, il est impossible de protéger 30 % des océans d’ici 2030
Plus d'une espèce d'arbres sur trois est menacée d'extinction, selon l'actualisation de la Liste rouge publiée lundi à la COP16 biodiversité, illustrant l'urgence pour les pays réunis à Cali, en Colombie, de tenir leur engagement à stopper la destruction de la nature d'ici 2030.
Crier aux loutres. Alors que les activités humaines provoquent un déclin massif de la biodiversité, doit-on s’inquiéter de l’extinction de certains végétaux ou animaux en particulier, parce qu’elle provoquerait la disparition de tous les autres ? On fait le point.