– Outil de recherche de références documentaires –
Uniquement les fiches et Documents
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
economy
Identifying the socio-economic drivers behind greenhouse gas emissions is crucial to design mitigation policies. Existing studies predominantly analyze short-term CO2 emissions from fossil fuels, neglecting long-term trends and other GHGs. We examine the drivers of all greenhouse gas emissions between 1820–2050 globally and regionally. The Industrial Revolution triggered sustained emission growth worldwide—initially through fossil fuel use in industrialized economies but also as a result of agricultural expansion and deforestation. Globally, technological innovation and energy mix changes prevented 31 (17–42) Gt CO2e emissions over two centuries. Yet these gains were dwarfed by 81 (64–97) Gt CO2e resulting from economic expansion, with regional drivers diverging sharply: population growth dominated in Latin America and Sub-Saharan Africa, while rising affluence was the main driver of emissions elsewhere. Meeting climate targets now requires the carbon intensity of GDP to decline 3 times faster than the global
This brief introduces degrowth – intentional downscaling of the global economy to achieve ecological sustainability and social justice – for people working in environmental and social advocacy. It centers the question: “Has the economy outgrown the planet?” because global ecological limits have reshaped the conditions under which we pursue climate action, environmental justice, and many other pressing aims.
Critical minerals, which are essential for a range of energy technologies and for the broader economy, have become a major focus in global policy and trade discussions. Price volatility, supply chain bottlenecks and geopolitical concerns make the regular monitoring of their supply and demand extremely vital.
Indispensables à la transition écologique, le passage à l’échelle des énergies renouvelables nécessite de réduire le coût du financement des investissements initiaux, particulièrement importants.
Les sols constituent le socle qui soutient tout l’édifice des écosystèmes terrestres. Loin de n’être que des supports, ce sont en réalité des écosystèmes en trois dimensions, des milieux et non pas des surfaces, qui sont eux-mêmes vivants et remplissent une série de fonctions écologiques cruciales pour la vie terrestre et donc pour les sociétés humaines.
La question des inégalités est complexe : étudier les inégalités signifie s’intéresser à la manière dont des biens ou des richesses sont distribués à différentes échelles (locale, nationale ou internationale). La notion d’inégalités est souvent associée à celle de pauvreté qui désigne, elle, une insuffisance financière, matérielle, etc.
Some narratives in international development hold that ending poverty and achieving good lives for all will require every country to reach the levels of GDP per capita that currently characterise high-income countries. However, this would require increasing total global output and resource use several times over, dramatically exacerbating ecological breakdown. Furthermore, universal convergence along these lines is unlikely within the imperialist structure of the existing world economy. Here we demonstrate that this dilemma can be resolved with a different approach, rooted in recent needs-based analyses of poverty and development. Strategies for development should not pursue capitalist growth and increased aggregate production as such, but should rather increase the specific forms of production that are necessary to improve capabilities and meet human needs at a high standard, while ensuring universal access to key goods and services through public provisioning and decommodification. At the same time, in high
Le Traité sur la Charte de l’Énergie (TCE) est un accord multilatéral signé en 1994 qui visait initialement à sécuriser les approvisionnements énergétiques de l’Europe de l’Ouest dans les pays de l’ex-bloc soviétique, en protégeant les investisseurs étrangers des impacts économiques négatifs éventuels résultant de changements législatifs décidés par les États postérieurement aux investissements réalisés. Le traité donne à cet effet la possibilité aux investisseurs d’attaquer ces États dans des tribunaux d’arbitrage privés et de demander des compensations financières conséquentes. Dans cette fiche, nous expliquons ce qu’est le TCE et nous montrons à quel point il constitue un obstacle à la lutte contre le changement climatique.
This paper catalogues current efforts to address climate change within multilateral economic and financial institutions and related organizations. It also proposes a minimum set of policy measures that need to be prioritized by such institutions to support climate change mitigation and adaptation. The proposals include expanding public climate finance via multilateral development banks, doing more to mobilize private investment, mainstreaming climate considerations across institutional operations, making climate disclosures mandatory, and addressing sovereign debt distress to unlock private climate finance.
Les liens entre PIB et énergie sont forts, comme l’ont montré de manière spectaculaire les chocs pétroliers des années 1970 et la crise énergétique qui a commencé fin 2021. Pour un ingénieur, ce lien est une évidence : pas de production économique sans énergie. Mais un économiste risque d’avoir une réponse différente… Comme nous allons le voir, certains économistes ont par exemple estimé qu’un embargo complet sur le gaz russe n’aurait qu’un impact de 0,5% sur le PIB allemand, ce qui est loin de la réalité.
Dans la quête aux réductions d'émissions de CO2, on parle régulièrement de différents leviers : démographie, décroissance, sobriété, efficacité énergétique ou encore mix énergétique. Pour comprendre l’impact de chacun de ces termes, il est commode de se servir de l'équation de Kaya. Cette équation, que l’on doit à l'économiste japonais Yoichi Kaya, décompose les émissions de CO2 énergétiques (donc qui proviennent de la consommation d’énergie) selon une formule mathématique qui n'est qu'une tautologie, mais qui donne un axe de lecture intéressant.
L’effet rebond s'observe quand la réduction de consommation d'énergie (ou de ressources) est "perdue" parce que cette économie suscite d'autres consommations par ailleurs. Il montre que le changement technique ne peut être le seul levier d’une stratégie de transition écologique.
A new report, published on 14 March, 2021 in the Royal Swedish Academy of Sciences’ journal Ambio, points out that humanity is hurtling towards destruction unless we have the collective wisdom to change course quickly.
Humans have amazing strengths, but also significant weaknesses. Chief among them, perhaps, is our collective difficulty in grasping the mathematical consequences of exponential growth. Alternative energy technologies have trouble preserving expectations. Human psychology and political/economic institutions turn a technically difficult predicament into a nearly hopeless trap. We are lamentably ill-equipped to appreciate the abnormality of our time and assess a more accurate picture of what long-term “normal” must look like.
![]()

