« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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Anses
2024
Dengue, chikungunya, Zika… Dans une expertise rendue ce vendredi 13 septembre, l’agence sanitaire alerte en outre des risques de saturation de la lutte et de tensions du système de soins.
Générations Futures s'inquiète des conséquences d'un tel déclassement et d'un déni de l'application du principe de précaution. D’après un avis de l’Anses
Hépar, Perrier, Vittel, Contrex : la «qualité sanitaire» des eaux du groupe Nestlé n’est «pas garantie», selon un nouveau document confidentiel de l’Anses dévoilé par FranceInfo et «le Monde» ce jeudi 4 avril.
Une expertise restée secrète, dont « Le Monde » avait demandé communication auprès de la justice, a été publiée le 25 mars. Elle jugeait les tests utilisés pour évaluer la toxicité des formules commerciales de l’herbicide insuffisants.
Le 28 janvier, plusieurs ministres du gouvernement Nétanyahou ont participé à une conférence organisée par l’extrême droite prônant la réinstallation des Israéliens à Gaza et le départ “volontaire” des Palestiniens de la bande de Gaza. Les images de l’ambiance festive régnant dans la salle ont suscité l’émoi sur les réseaux sociaux.
2023
Depuis l’encadrement européen des OGM en 2001, de nouvelles techniques de modification génétique des plantes sont apparues, dites nouvelles techniques génomiques (NTG). Pour éclairer les discussions sur l’évolution du cadre réglementaire, l’Anses s’est autosaisie afin d’analyser les critères définissant les plantes NTG de catégorie 1, considérées comme équivalentes aux plantes conventionnelles, qui ont été proposés par la Commission européenne. L’Agence appelle à clarifier plusieurs définitions ou mécanisme de classement et le champ d’application des techniques visées. Elle pointe aussi certaines limites scientifiques et sanitaires dans la construction des critères.
Interdit depuis 2013 pour des usages ménagers, le Sniper 1000 EC DDVP est à l’origine de plus de deux cents intoxications entre 2018 et juin 2023 et a causé trois morts, révèle l’autorité sanitaire.
En pleine saison de désherbage dans les champs de céréales, les agriculteurs qui utilisent du prosulfocarbe — le deuxième herbicide le plus utilisé, après le glyphosate — vont devoir revoir leurs pratiques. La raison ? Protéger les enfants riverains d’une exposition potentiellement dangereuse.
L’Agence nationale de sécurité sanitaire a annoncé, mardi, l’obligation pour les agriculteurs de respecter une zone tampon d’au moins 10 mètres et de diminuer les dosages après une nouvelle évaluation des risques ne pouvant exclure un dépassement des seuils de sécurité pour les enfants.
Cet article controversé, qui n’était pas soutenu par l’exécutif, s’inscrit dans le cadre d’une proposition de loi visant à « créer un choc de compétitivité » dans l’agriculture. Ses détracteurs dénoncent une « régression environnementale ».