« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »
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2025
Avec son dernier modèle d’intelligence artificielle générative, la maison mère de ChatGPT couvre désormais de nombreux services de tech, comme le leader de la recherche.
Le tribunal de Munich a donné raison ce mardi 11 novembre à la société Gema, qui se bat pour que les œuvres humaines ne servent pas de matière première gratuite aux géants de l’IA et reprochait à l’entreprise américaine l’utilisation de paroles de chansons sans licence ni rémunération.
Le fondateur de la start-up, Sam Altman, a démenti vouloir obtenir des garanties de l’Etat pour ses investissements dans les data centers et a cherché à rassurer sur ses 1 400 milliards de dollars d’engagements.
Les plaignants accusent notamment le robot conversationnel d’avoir encouragé quatre utilisateurs à mettre fin à leurs jours.
OpenAI veut que l'État américain garantisse une partie de ses emprunts pour financer ses coûteux investissements dans l'intelligence artificielle.
La start-up créatrice de ChatGPT a annoncé ce lundi 3 novembre qu’AWS, filiale du géant du commerce en ligne, lui fournira des serveurs capables de répondre à ses besoins en puissance de calcul pour faire progresser son IA.
Les termes de la collaboration entre les deux sociétés ont été modifiés pour offrir à chacune davantage d’autonomie. La nouvelle structure juridique doit être validée par les procureurs des États du Delaware et de Californie.
Construit autour de son modèle d’intelligence artificielle, l’entreprise a annoncé mardi 21 octobre la création d’un navigateur internet s’appuyant sur des «discussions» avec ses utilisateurs.
Le nouveau service lancé mardi 21 octobre par la maison mère du célèbre assistant d’intelligence artificielle attaque frontalement Google.
Le PDG d’OpenAI, Sam Altman, a annoncé mardi une mise jour visant à «traiter les utilisateurs adultes comme des adultes». Ces discussions, possibles dès décembre, ne seront accessibles qu’aux comptes des plus de 18 ans dont l’identité aura été vérifiée.



