Jean Jouzel

OA - Liste

« L’urgence est là, nous regardons ailleurs »

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2025

Les craintes d'une attaque russe envers l'OTAN ne cessent de croître au fil de l'avancée de la guerre en Ukraine. En janvier dernier, l'amiral néerlandais Rob Bauer, chef du comité militaire au sein de l'Otan, avertissait que l'Alliance devait "s'attendre à l'inattendu" et se préparer à une attaque russe. Les images satellites récemment publiées par le New York Time montrant que les Russes seraient en train de construire des bases militaires le long de la frontière finlandaise, ne font qu'augmenter ces craintes.
Ce sera le message principal de cet article : à l’heure où nous l’écrivons, nous savons très peu de choses, si ce n’est qu’il est urgent d’attendre. Toutes les hypothèses simples évoquées jusqu’ici ont été démenties peu de temps après.
Que contient exactement cet arsenal nucléaire ? Où se trouvent ces armes ? Et comment sont-elles déployées ?
Dans plusieurs grandes villes universitaires américaines, des scientifiques et des chercheurs sont sortis de leurs laboratoires pour protester contre les coupes budgétaires et le déni de la science opéré par l’administration Trump.
Alors que le premier vol transportant des migrants clandestins a atterri au début du mois à Guantanamo Bay – la célèbre prison américaine sur l’île de Cuba – où Donald Trump envisage d’installer un centre de détention de migrants de 30.000 places, plusieurs vidéos (comme celle-ci ou celle-là) ont refait surface sur les réseaux sociaux. Elles avancent que Barack Obama, surnommé "Deporter in Chief" par certains de ses détracteurs, est le "champion incontesté des expulsions".

2024

Les élections américaines qui auront lieu dans la nuit du 5 au 6 novembre font craindre des débordements violents. La Maison-Blanche se barricade.
Au cours de l'histoire, l'espèce humaine a toujours pu s'adapter, mais les défis climatiques actuels sont peut être trop importants.
Alors que l'eau du robinet contient en partie des polluants éternels, l'eau en bouteille ne serait pas une alternative parfaite.
Alors que les populations de poissons et de crustacés se sont rapidement effondrées, des chercheurs décrivent la faillite du système actuel de gestion des prises et proposent onze actions pour le réformer.
Sur base de tests sanguins réalisés lors du biomonitoring, 95% des Wallonnes et des Wallons présentent une teneur en PFAS dans le sang supérieur au seuil de risque. C’est le chiffre qu’a mentionné ce mardi la ministre de l’Environnement, Céline Tellier, en audition au Parlement wallon. Face à l’ampleur de cette contamination généralisée et au vu de la grande persistance de ces substances, seule une interdiction totale d’utilisation permettra de limiter l’exposition de la population. Pourtant, certains partis politiques s’y opposent.