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2025
Malgré un répit dans la série de records de chaleur, juillet 2025 s'est classé sur le podium des mois de juillet les plus chauds jamais mesurés sur la planète, a annoncé, jeudi, l'observatoire européen Copernicus. Le mois dernier, le thermomètre a dépassé 50°C non seulement dans le Golfe et en Irak, mais aussi en Turquie pour la première fois.
Les feux ravageurs de Gironde en 2022, ou les vagues d’incendies dans le Var en 1990 et 2003, figurent parmi les plus importants des décennies passées. Mais aucun n’a brûlé autant d’hectares à partir d’un seul foyer que celui en cours dans l’Aude.
L’Observatoire européen de la sécheresse (EDO) du programme Copernicus affirme que le continent est en proie à une sécheresse record mi-juillet, notamment en Europe de l’Est et dans les Balkans.
Malgré un répit dans la série de records, juillet 2025 se classe au troisième rang des mois de juillet les plus chauds jamais mesurés sur Terre, marqué par un changement climatique toujours à l'oeuvre, a annoncé jeudi l'observatoire européen Copernicus.
Sécheresses, canicules, inondations : juillet 2025 illustre la multiplication des extrêmes climatiques, malgré une pause temporaire dans la série de records mondiaux.
La population japonaise a diminué d’un nombre record – plus de 900.000 personnes – en 2024, selon les données officielles nippones publiées mercredi, malgré les efforts du gouvernement pour tenter de relancer la natalité.
Le Japon a enregistré ce mardi une température historique de 41,8°C, a annoncé l'agence météorologique nationale (JMA). Cette température caniculaire constatée dans la ville d'Isesaki (est) est la plus élevée jamais enregistrée dans le pays depuis le début des relevés. Elle dépasse le précédent record de 41,2°C constaté mercredi dernier dans la ville de Tamba, de la région occidentale de Hyogo. Le Japon a déjà connu cette année les mois de juin et juillet les plus chauds de son histoire.
Cette chaleur caniculaire constatée dans la ville d’Isesaki (est) est la plus élevée jamais enregistrée dans le pays depuis le début des relevés.
Pour la troisième année consécutive, le Japon a enregistré la température moyenne mensuelle la plus élevée pour un mois de juillet, a indiqué vendredi l'agence météorologique nationale japonaise.
Le précédent record de 41,1 °C a été battu.
Plus de la moitié (52%) des sols en Europe et sur le pourtour méditerranéen étaient affectés par la sécheresse au début du mois de juillet, selon l'analyse par l'AFP des dernières données de l'Observatoire européen de la sécheresse (EDO).
Selon les autorités irakiennes, 2025 est l’une des années les plus sèches depuis 1933, et les réserves en eau sont actuellement à 8 % de leur capacité.
Depuis une semaine, une canicule terrasse la Turquie et la Grèce, et favorise des incendies destructeurs, qui ont déjà ravagé des milliers d’hectares.
Dix-neuf villages ont dû être évacués dans la région de Safranbolu, et plus de 3.500 personnes autour de Bursa.
Pétition, saisines du Conseil consitutionnel, niches parlementaires, tribunes... La pression s'accentue autour de la loi Duplomb, qui vise la réautorisation d'un néonicotinoïde. Le mouvement pourrait même aller jusqu'à un boycott des produits. Explications.
La Finlande connaît sa plus longue période de températures supérieures à 30°C, battant ainsi un record de température vieux de plus de 50 ans, a indiqué vendredi l’Institut météorologique finlandais.
Une température de 50,5 °C a été mesurée, vendredi 25 juillet, dans le sud-est de la Turquie, un record absolu à l’échelle du pays, ont annoncé samedi les autorités. « Selon les données de notre Direction générale de la météorologie, un record de température a été battu, avec 50,5 °C à Silopi (…) le 25 juillet », a écrit, sur X, le ministère de l’environnement turc. Selon les autorités, qui n’ont pas précisé à quand remontaient les relevés météorologiques du pays, 132 stations météo du pays ont enregistré vendredi des températures record pour un mois de juillet.
La Grèce fait face samedi à de nombreux incendies, notamment près d’Athènes, alors que la canicule, marquée par des températures frôlant les 46 °C, se poursuit pour le sixième jour consécutif.
À l’échelle mondiale, nous venons d’épuiser notre quota de ressources planétaires pour l’année 2025, alerte ce mercredi l’ONG Global footprint network, qui actualise chaque année la date de ce «dépassement». Cette fois, le couperet est tombé un jour plus tôt que l’an dernier, soit la date la plus précoce jamais annoncée par l’ONG.
Les pays nordiques souffrent d’une période prolongée de températures élevées, particulièrement dans les zones les plus au Nord, situées dans le cercle polaire.
Alors qu’une pétition pour interdire la réintroduction d’un pesticide a atteint plus d’1,3 million de signatures lundi en France, la Belgique n’a jamais cessé de l’utiliser.
Comme en 2023 et 2024, des brasiers monstres consument le centre et l’ouest du pays d’Amérique du Nord, qui subit une saison des feux particulièrement précoce. La barre des 5 millions d’hectares partis en fumée a déjà été franchie.
2024 was the hottest year on record [1], with global temperatures exceeding 1.5 °C above preindustrial climate conditions for the first time and records broken across large parts of Earth’s surface. Among the widespread impacts of exceptional heat, rising food prices are beginning to play a prominent role in public perception, now the second most frequently cited impact of climate change experienced globally, following only extreme heat itself [2]. Recent econometric analysis confirms that abnormally high temperatures directly cause higher food prices, as impacts on agricultural production [3] translate into supply shortages and food price inflation [4, 5]. These analyses track changes in overall price aggregates which are typically slow-moving, but specific food goods can also experience much stronger short-term price spikes in response to extreme heat.
Les autorités iraniennes ont appelé les habitants à réduire leur consommation d'eau à un moment où le pays est confronté à de graves pénuries en raison d'une vague de chaleur persistante, ont rapporté dimanche des médias d'Etat. Pays aride, l'Iran est régulièrement confronté à des épisodes de sécheresse, en particulier dans ses provinces méridionales. Le pays est par ailleurs confronté à la semaine la plus chaude de l'année avec des températures qui dépassent localement les 50°C, selon la météo nationale.
Cet été, les températures atteignent des niveaux sans précédent en Syrie. La disparition de ses ressources hydrauliques menace le maintien des hommes dans leur région d'origine et la paix entre les communautés.
Présenté comme une réponse à la crise agricole de janvier 2024, le texte prévoit notamment la réintroduction d’un insecticide interdit, l’acétamipride.
Près de 3 500 habitants de seize communes rurales ne peuvent plus boire l’eau du robinet depuis le 10 juillet en raison d’une pollution record aux PFAS. L’origine des contaminations serait liée à l’épandage de boues issues d’une ancienne papeterie sur des terres agricoles.
Le Japon a franchi un pas colossal vers l’avenir des télécommunications en atteignant une vitesse de transmission de données de 1,02 pétabit par seconde, suffisante pour télécharger l’intégralité du catalogue Netflix en moins d’une seconde. Ce résultat n’est pas qu’un chiffre impressionnant : il redéfinit les limites de ce que nous pensions possible en matière de connectivité.
En juin 2025, la température moyenne mondiale a été de +1,03 °C au-dessus de la moyenne 1951‑1980. Cela fait de juin 2025 le troisième juin le plus chaud jamais enregistré, derrière juin 2024 et juin 2023 .
En Belgique, deux zones sont particulièrement concernées.
Le climatologue Xavier Fettweis revient sur les causes expliquant les gigantesques incendies qui ravagent le sud de la France.
Des températures "extrêmes" ont frappé le Vieux Continent lors de deux vagues de chaleur consécutives précoces, faisant du mois de juin 2025 le plus chaud jamais enregistré en Europe de l'Ouest, rapporte mercredi Copernicus. Au niveau mondial, le mois dernier était le troisième mois de juin le plus chaud.
C’est une hécatombe. Selon une analyse du Grantham Institute et de la London School of Hygiene & Tropical Medicine, le changement climatique d’origine humaine a intensifié la récente vague de chaleur en Europe et augmenté le nombre de décès dus à la chaleur d’environ 1500 dans 12 villes européennes, sur 2300 morts au total. Sur la période du 23 juin au 2 juillet, le changement climatique aurait triplé le nombre de décès liés à la chaleur. La consommation d’énergies fossiles a augmenté les températures des vagues de chaleur jusqu’à 4°C dans les villes.
Une récente étude conclut que le dérèglement climatique a amplifié les températures caniculaires de juin de quelques degrés cruciaux, et serait ainsi responsable de 1 500 morts prématurées entre le 23 juin et le 2 juillet dans douze grandes villes européennes.
Des chercheurs sud-coréens ont mis au point un nouveau procédé électrochimique permettant de convertir le CO₂ en alcool allylique, un composé aux nombreuses applications industrielles, avec un rendement record. Ils ont notamment atteint un rendement Faraday de 66,9 %, soit environ quatre fois supérieur aux rendements des meilleures techniques existantes. La technique pourrait ouvrir la voie à une mise à l’échelle industrielle du recyclage du CO₂ en produits chimiques utiles, un défi de longue date pour les technologies de ce type.
En dix ans, la production d’électricité d’origine solaire a triplé en Belgique. Au mois de juin, le photovoltaïque a représenté près d’un quart de la production électrique totale du pays. Malgré cette forte production, le réseau reste stable pour l’instant même si la vigilance restera de mise tout l’été et que les solutions pour éviter la panne de réseau se multiplient.
Selon France 3 et le média Disclose, seize communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes sont concernés, après qu’elles ont présenté des taux de PFAS dépassant de 3 à 27 fois la limite autorisée. Le maximum a été prélevé à Villy, avec 2 729 ng /l. Un record en France.
Terwijl Europa zucht onder recordhittegolven, lijkt de politiek de kop in het zand te steken en blijven concrete klimaatplannen uit. Hoe is het mogelijk dat, terwijl de aarde steeds sneller opwarmt, er minder actie wordt ondernomen dan ooit tevoren?
La France vient de connaître son second mois de juin le plus chaud, a annoncé le 2 juillet le gouvernement. Depuis le début des mesures, en 1900, seul le mois de juin 2003 a été plus chaud. L’anomalie de température a atteint +3,3 °C contre +3,6 °C en juin 2003, a précisé à l’AFP le ministère de la Transition écologique. L’Hexagone avait déjà connu lundi 30 juin sa nuit puis sa journée les plus chaudes jamais enregistrées pour un mois de juin, avec une moyenne de 20,2 °C durant la nuit et de 28 °C durant la journée. Mardi 1er juillet, Météo-France a relevé 41,3 °C à Nîmes, 39,3 °C à Toulouse et 38,1 °C à Paris.
Le pic de l'épisode caniculaire qui touche la France est attendu mardi, avec des températures pouvant grimper jusqu’à 41 °C et 16 départements placés en vigilance rouge. Fermetures d’écoles, ralentissement de l’activité économique, hausse de la pollution et orages violents : les effets de la canicule se multiplient.