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2025
OpenAI, leader dans le domaine de l'intelligence artificielle, a présenté, jeudi, GPT-5, son modèle le "plus intelligent", le "plus rapide" et le "plus utile" à ce jour. Mais, comme ses concurrents américains et chinois, il n'en est toujours pas au stade de l'IA générale, aux capacités cognitives supérieures à celles des humains.
La maison mère de ChatGPT a sorti jeudi 7 août un nouveau modèle d’IA générative. Plus rapide et fluide sans renouveler le genre, il s’inscrit pour le géant américain dans une volonté de rester la tête d’affiche du secteur
Dans le plus grand secret, trente des mathématiciens les plus brillants de la planète se sont réunis à Berkeley un week-end de mai 2025. Leur mission semblait simple : créer des problèmes mathématiques si complexes qu’ils feraient échouer l’intelligence artificielle la plus avancée. Mais ce qui s’est passé a bouleversé leur vision de l’avenir des mathématiques.
Récemment, un article publié par une agence de presse a récemment affirmé que OpenAI allait bientôt faire une annonce importante. La société à l’origine de ChatGPT pourrait prochainement lancer son propre navigateur Internet et ainsi, concurrencer celui de Google. Pourquoi une telle initiative ?
L’agent de ChatGPT, indisponible pour l’heure en Europe, permet en théorie de confier à l’IA des tâches aussi complexes que d’organiser son agenda ou de passer commande sur Internet. Mais, comme les outils concurrents, il n’est pas encore parfaitement au point.
Since Donald Trump's presidential election victory, major tech companies have abandoned years of policies restricting military work and sought out lucrative defense contracts and deeper connections with the Pentagon.
Le gouvernement américain a conclu lundi un contrat de 200 millions de dollars (173 millions d’euros) avec le géant de l’intelligence artificielle OpenAI pour développer des outils "de pointe" au service de l’armée, dans un contexte de concurrence technologique croissante entre grandes puissances.
Imaginez une IA à qui l’on demande de s’éteindre… et qui choisit de continuer. Non pas à cause d’un bug, mais par choix. C’est précisément ce qu’a mis en lumière une étude récente menée par Palisade Research, une entreprise spécialisée dans la sécurité des intelligences artificielles. Et les résultats ont de quoi faire réfléchir — voire inquiéter.
Les LLM sont devenus les pommes de terre de l'intelligence artificielle : essentiels, abondants, mais finalement peu différenciants. OpenAI l'a compris et achète la friteuse et le chef : Windsurf pour l'atelier logiciel, Ive pour l'esthétique et l'objet.
OpenAI a proposé mercredi aux pays intéressés de les aider à développer leurs infrastructures d'intelligence artificielle (IA), avec le soutien du gouvernement américain, une initiative qui cherche à offrir une alternative aux velléités chinoises.
OpenAI, fleuron américain de l'intelligence artificielle, va rester une société à but non lucratif, a annoncé lundi son patron, Sam Altman, qui dit avoir écouté les leaders de la société civile. Reste à attendre la réaction des investisseurs à ce renoncement.
Le directeur général d’OpenAI, Sam Altman, a annoncé, lundi 5 mai, que l’entreprise d’intelligence artificielle (IA), à l’origine de ChatGPT, abandonnait son projet controversé de devenir une société à but lucratif. Des investisseurs d’OpenAI souhaitaient faire fructifier leurs placements dans une structure vouée à être rentable. Mais cette perspective avait fait vivement réagir, beaucoup la jugeant dangereuse au vu de la puissance de l’intelligence artificielle. Le changement de structure aurait fait passer, selon certains critiques, les intérêts des actionnaires avant ceux de la société civile.
C’est un jalon que les chercheurs en intelligence artificielle redoutaient autant qu’ils l’attendaient. Pour la première fois, une intelligence artificielle a franchi un seuil symbolique : GPT-4.5, un modèle développé par OpenAI, a réussi à passer le test de Turing dans sa version la plus exigeante. Cette réussite spectaculaire soulève autant de fascination que de questions inquiétantes. Sommes-nous à l’aube d’une nouvelle ère où les machines peuvent se faire passer pour des humains… sans que personne ne s’en aperçoive ?
En réponse au lancement de Deep Research par OpenAI, Hugging Face développe Open Deep Research, un agent IA open source créé en seulement 24 heures.
Un groupe d’investisseurs mené par Elon Musk a récemment fait une offre de 97,4 milliards de dollars pour prendre le contrôle d’OpenAI. Cette annonce marque un tournant majeur dans l’industrie de l’intelligence artificielle et met en lumière les tensions croissantes entre Musk et le directeur général d’OpenAI, Sam Altman. Décryptons les enjeux de cette proposition et ses implications pour l’avenir de l’IA.
OpenAI présente Deep Research, une IA autonome intégrée à ChatGPT, capable de générer des rapports d’analyse détaillés sur n’importe quel sujet en quelques minutes.
OpenAI a conclu un accord avec le gouvernement américain pour l’utilisation de ses derniers modèles d’IA dans les laboratoires nationaux de recherche scientifique et pour la sécurité des armes nucléaires.
Sam Altman, PDG d’OpenAI, annonce l’arrivée imminente (cette année) d’agents IA autonomes capables d’assumer des tâches complexes en tant que véritables employés virtuels.
2024
OpenAI a annoncé l’adhésion de Paul Nakasone (général à la retraite de l'armée américaine et ancien directeur de la NSA) en tant que membre de son Conseil d’administration. Edward Snowden craint une tentative d’espionnage généralisé.
Un groupe d’anciens et actuels employés d’OpenAI a publié une lettre ouverte alertant une fois de plus sur les problèmes de sécurité liés à la technologie. Ils dénoncent une sous-estimation des risques et une précipitation imprudente dans la course à l’IA générale (IAG) de la part de l’entreprise. L’un d’eux estime qu’il y a environ 70 % de chances que l’IA nuise de manière catastrophique à l’humanité étant donné les négligences en matière de sécurité.