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2025
Le géant nucléaire EDF et le fonds français Siparex ont annoncé mardi le lancement d'un 2e fonds d'investissement pour couvrir les immenses besoins de financement de la filière industrielle appelée à participer à la relance du nucléaire en France. "La vocation" du Fonds France nucléaire 2 (FFN2) est d'accompagner des PME et ETI (entreprises de taille intermédiaire) "disposant d'un savoir-faire important dans le nucléaire" afin de répondre aux "besoins croissants de la filière, laquelle contribue aux enjeux de souveraineté", indique le communiqué commun.
L'essor des centres de données s'accompagne d'une hausse massive de leurs besoins en électricité, dopés par l'intelligence artificielle (IA), qui soulève des défis pour la sécurité énergétique et le changement climatique. Voici cinq chiffres d'un rapport de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) consacré aux répercussions de l'IA sur le système énergétique publié jeudi.
Le gouvernement indien a approuvé une enveloppe budgétaire de 1,8 milliard d'euros pour sécuriser son approvisionnement en matières premières indispensables à son industrie en matière d'énergies renouvelables et de défense. L'Inde importe pour l'essentiel de Chine, son grand rival régional, des minerais dits stratégiques comme le lithium ou le cobalt, essentiels à la fabrication des véhicules électriques.Même si ses relations avec Pékin se sont récemment réchauffées, le pays le plus peuplé de la planète souhaite réduire sa dépendance.
L'irruption du Chinois DeepSeek, qui ébranle les géants de la Silicon Valley en raison du bien moindre coût de son modèle d'intelligence artificielle, remet aussi en question un autre aspect fondamental pour le secteur de l'IA: ses besoins en énergie.
Après des décennies d'insouciance, le secteur technologique, réuni au salon CES de Las Vegas, commence à chercher des solutions à ses énormes besoins en énergie, démultipliés par l'émergence du "cloud" et de l'intelligence artificielle (IA)."S'il y a cinq ans, on m'avait proposé de faire le CES, je n'aurais pas forcément vu le sens", reconnaît Sébastien Fiedorow, patron d'Aerleum, une start-up française qui fabrique du carburant de synthèse à base de CO2 et d'hydrogène.
2024
Les géants de la tech se sont lancés dans une course à l'énergie abondante et décarbonée pour nourrir les appétits d'ogre de l'intelligence artificielle, mais leurs besoins en électricité doivent être mieux connus pour éviter la surchauffe du système, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).Les centres de données, ces millions de serveurs qui hébergent nos données informatiques, représentent certes seulement 1% de la consommation d'électricité mondiale, selon l'AIE.
Aujourd’hui, nous allons parler des infrastructures dont nous avons hérité, comme les autoroutes, les stations de ski ou les usines à engrais. Des infrastructures toujours plus nombreuses et toujours plus polluantes, pour remplir des besoins toujours plus superflus, rendant nos territoires toujours plus inhabitables. Face à la crise socio-écologique, certaines infrastructures devront disparaître. Mais lesquelles choisir ? Et comment bien les démanteler ? En somme, comment apprendre à renoncer ? Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir d'accueillir Alexandre Monnin. Alexandre est philosophe, directeur du master "Stratégie et Design pour l’Anthropocène", et directeur scientifique d’Origens Medialab. Ses recherches portent sur la redirection écologique, le démantèlement d'infrastructures, et le renoncement.
Devant les besoins électriques exponentiels de leurs logiciels, Microsoft, Amazon et Oracle veulent relier des centres de données à des réacteurs.
L’empreinte eau d’un Français est en moyenne de 4 900 litres... par jour. Un chiffre astronomique, principalement dû à notre alimentation, explique l’hydrologue Charlène Descollonges.
2023
Plus de la moitié de la consommation d'électricité de l'Allemagne sera neutre pour le climat pour la première fois en 2023, selon les principaux organismes de recherche sur les énergies renouvelables.
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Pour redistribuer dans une économie de postcroissance, le chercheur Martin François propose, dans une tribune au « Monde », d’explorer de nouvelles idées politiques, comme celle d’un revenu maximal.
L’économie solidaire, qui concentre l’activité économique sur la satisfaction des besoins humains, le développement durable et la justice sociale, joue un rôle d’une importance particulière dans les pays en développement, où elle favorise la réduction de la pauvreté et améliore la qualité de vie des communautés locales grâce à l’appropriation collective ou communautaire, gestion participative et redistribution équitable des bénéfices.
Ce lundi, les experts climat de l’ONU dévoilent une synthèse des connaissances sur le changement climatique très axée sur les actions urgentes à prendre. Un accouchement dans la douleur qui a pris deux jours de plus que prévu.
New Delhi a lancé une mission de plus de 460 millions d’euros pour développer l’exploitation minière en eaux profondes.
2022
Selon un rapport publié lors de la COP27, deux tiers des nouveaux projets développés sur le continent sont portés par des multinationales étrangères et la majorité sont tournés vers l’exportation.
A-t-on vraiment besoin d’ingénieurs ? Ces derniers répondent-ils aux besoins fondamentaux de la société tout entière ou à ceux, particuliers, du système capitaliste et productiviste ? Les ingénieurs œuvrent-ils à la défense des biens communs et de l’intérêt général ou à celle des intérêts privés ? Quels pourraient être aujourd’hui leurs responsabilités et leur rôle ? Et peut-on être ingénieur et décroissant ? C’est à toutes ces questions – et à bien d’autres – que répond Vincent Liegey, ingénieur de formation, chercheur interdisciplinaire, et l’un des porte-paroles les plus en vue du mouvement de la décroissance.
Nous avons besoin de plus en plus de métaux, mais leur disponibilité limitée et les impacts socio-environnementaux de leur extraction nous imposent d’interroger la voie de la sobriété collective. Il n’y a en effet aucune alternative.
L’impasse capitaliste se résume en une double crise : économique et écologique. Soit relancer la croissance quelles que soient les conséquences sur la nature, soit préserver l’environnement au détriment des profits. La solution à ce dilemme prend la forme d’une incantation magique : produire autrement. Après avoir démontré la supercherie d’un capitalisme vert, Tom Thomas aborde le problème sous un angle bien plus radical et politiquement dérangeant: le travail. Car c’est bien le travail comme rapport d’exploitation qui structure toute la production capitaliste et qui épuise les êtres humains aussi bien que la nature...
Le gouvernement a demandé à Engie de reporter la fermeture du réacteur de Tihange 2 du 1er février à fin mars 2023 pour aider à garantir la sécurité d'approvisionnement électrique cet hiver. Pour l'énergéticien, c'est trop tard, écrit Le Soir dans son édition de samedi.