Jean-Marc Jancovici

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2025

Une étude révèle que les écosystèmes ont survécu à deux grands bouleversements. 60 millions d’années de stabilité… jusqu’à maintenant.
À Delhi, Moscou et Pékin et dans bien d'autres capitales de pays autocratiques, on sabre le champagne en voyant le président Trump à l'œuvre depuis quelques semaines. Enfin un monde débarrassé de l'hégémonie américaine. L'arrivée de D. Trump à la Maison Blanche conforte l'idée selon laquelle la structure internationale évolue vers un monde multipolaire. Pourtant, ce monde multipolaire qui se profile est loin d'être celui naïvement rêvé par les Européens. En effet, contrairement à notre croyance, multipolarité n'est pas synonyme de multilatéralisme.
Les scientifiques du monde entier sont en alerte face à l’astéroïde 2024 YR4, dont la probabilité d’impact avec la Terre le 22 décembre 2032 a été récemment réévaluée à 3,1%, soit une augmentation de près de 50% par rapport aux estimations précédentes. Cette révision place cet astéroïde que l’on vous a présenté récemment en tête de la liste des objets potentiellement dangereux pour notre planète.
Quant aux eaux souterraines, "le dossier n’est pas critique : il n’y a pas de risque immédiat pour la population ou l’environnement, car il n’y a ni contact ni exposition à cette pollution", a rassuré Yves Coppieters. Néanmoins, il reste un point délicat : le Tintia. "Le ruisseau voisin qui récupère les eaux traitées et/ou les eaux de ruissellement sur les pistes est encore impacté avec une concentration légèrement supérieure au seuil de 0,1 µg/l qui correspond à la norme à atteindre pour l’eau de distribution", a-t-il admis.
Les territoires libérés de l'Ukraine ont un immense besoin en démineurs. De nombreuses femmes s'attellent à cette tâche et se forment au Kosovo, un pays reconnu pour son expertise en la matière.

2024

Une étude auprès de mamans originaires de la région de Charleroi a révélé la présence de pesticides dans leur lait. Les chercheurs en ont également découvert dans du lait artificiel.
La problématique des broyeurs à métaux s’est invitée ce lundi soir au conseil communal de Charleroi. L’émission #Investigation révélait en janvier dernier que les rejets de PCB dépassaient largement les limites autorisées. La région de Charleroi est particulièrement concernée. Il y a 3 broyeurs à métaux dans la zone : 1 à Marchienne-au-Pont, 1 à Châtelet, et 1 à Courcelles. Plusieurs conseillers communaux ont tenté de savoir quelle est l’ampleur de la pollution et quelles mesures ont été mises en place. " On apprend que le broyeur de Marchienne-au-Pont est 12 fois au-dessus de la norme et celui de Courcelles bat tous les records : 597 fois au-dessus de la limite" rappelle la conseillère indépendante Anne-Sophie Deffense "quelles solutions pour les riverains ? Quel est l’impact de ceux-ci sur les nouveaux projets de la ville de Charleroi ? Le principe de précaution est-il respecté dans ce dossier ?"
La Dendre, la Senne ou encore le canal de Charleroi-Bruxelles : plusieurs cours d’eau du Hainaut sont passés en alerte...

2023

Plus de 720 nanogrammes de ces "polluants éternels" ont été retrouvés dans la station d'épuration de Brussels South Charleroi Airport. C'est 24 fois plus haut que le "seuil de vigilance".
Comme nous l'évoquions ce mercredi, les chiffres de présence de PFAS dans l'eau de distribution à Ronquières ne sont toujours pas rassurants et les instances communales de Braine-Le-Comte ont décidé de mettre en place une distribution d'eau de source aux citoyens ronquiérois.
Dans le cadre du plan de relance régional, le gouvernement wallon a sélectionné, jeudi, sept projets concrets visant à la reméandration de cours d'eau et à la création de zones d'immersion temporaire pour lutter contre les inondations et les risques de pénurie d'eau.
Une étude suggère que les grands cratères d'impact de notre planète sont plus grands qu'on ne le pensait auparavant.
AstroForge est une entreprise américaine qui vise à extraire des métaux du groupe du platine sur des astéroïdes.

2022

Plan(s) B reçoit de nouveau Thomas Norway, ingénieur et conférencier sur les questions énergétiques. Thomas était déjà passé chez nous pour parler de l'histoire de l'énergie sous l'angle du Taux de Retour Energétique / Energy Return Over Investment (EROI).
Si je consomme un baril de pétrole pour en récupérer 100, mon EROI est de 100. Les sociétés humaines exploitent leur environnement afin d’obtenir des "combustibles" qui ne sont pas intéressants en l’état, ils doivent être convertis en énergie utile comme la chaleur, la force mécanique incluant le déplacement ou les ondes électromagnétiques incluant la lumière. Le EROI le plus impactant est celui qui est "utile" et qui se compose d’un retour brut multiplié par un coefficient de conversion.
Interview avec Thomas, ingénieur systémicien, personnage mystérieux et intéressant, proposant ici une conception du système énergétique et de ses contraintes, avec le taux de retour énergétique comme fil conducteur de ses analyses. Nous abordons avec lui les notions suivantes : Le Taux de Retour Energétique "utile", un indicateur prépondérant sur la quantité d’énergie disponible Le lien entre énergie et contexte socio-politico-économique, et la considération de ce qu'est une vie "agréable" Les prix comme mauvais proxy d'analyse Un retour historique sur la révolution industrielle, la 1e guerre mondiale, et la stagflation des années 70

2021

C'est un scénario digne d'Hollywood, et pourtant bien réel. La Nasa a fait décoller dans la nuit de mardi à mercredi une mission inédite: en projetant un vaisseau à 24.000 km/h contre un astéroïde, elle espère en modifier sa trajectoire et ainsi aider l'humanité à se protéger d'une potentielle collision à l'avenir.
Pourtant, le dino qui franchit les travées n’est pas méchant. Il est venu parler à la tribune, de son extinction passée et de la nôtre à venir. Lui au moins, c’était à cause d’un astéroïde, qu’il a disparu il y a 66 millions d’années, nous dit-il. "Vous, quelle est votre excuse ?" lance-t-il à l’assemblée.
Un des grands projets wallons du plan de relance européen, c’est la création, à proximité de l’aéroport de Charleroi, d’un centre de démantèlement et de recyclage des avions en fin de parcours.
Le but : sauver la Terre. Le résultat : échec.