Livres

OA - Liste
– Outil de recherche de références documentaires –
Uniquement les Livres

Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

espace50x10

filtre:
ges

2025

Une analyse sans concession de la filière du recyclage, et un appel à construire une gestion démocratique de nos ressources.
Le combat d’un agroclimatologue pour l’avenir de la terre Le 8 avril 2021, un tweet inattendu déclenche une onde de choc. Un inconnu prévoit, avant tout le monde, une vague de gel dévastatrice et alerte sur les pertes de rendement spectaculaires que ce phénomène entraînera pour les agriculteurs. Non pas à cause du gel lui-même, mais en raison du « faux printemps » qui a régné sur le territoire français les semaines précédentes. Quelques jours plus tard, les faits lui donnent raison. Cet homme, c'est Serge Zaka, pionnier de l'agroclimatologie en France.

2024

Ecologie et Politique N° 69/2024. - La plupart des discours sur l'"intelligence artificielle" (IA) tendent à diriger notre attention surtout sur ses prouesses, ses réussites et ses promesses parfois fantasmatiques, certainement pour la rendre plus acceptable. Ils ne disent rien ou presque de son utilité réelle, de ses coûts, de ses dangers, qui sont ainsi minimisés ou voilés, et donc laissés dans l'ombre. C'est sur cette ombre que les textes réunis ici visent à répandre un peu de lumière. En effet, en tant que moyen de renforcement et de complexification du système industriel, l'IA accentue à la fois la déshumanisation, les ravages environnementaux et l'hétéronomie que ce système engendre nécessairement. L'IA réellement existante aggrave dès aujourd'hui la crise écologique et sert à perfectionner des logiques d'accumulation et des technologies de guerre et de contrôle social déjà présentes. Elle est l'outil d'un cybertotalitarisme en marche, qui va se heurter au chaos que provoque son déploiement.
À l’heure où les déplacements contrariés (guerres, épidémies), les réalités économiques et les désastres environnementaux nous obligent à reconsidérer nos manières de voyager, Aude Vidal pointe notre grande ambivalence à ce sujet et les dégâts écologiques, culturels et sociaux que nous causons, à l’étranger comme en France, quand nous satisfaisons notre "besoin d’ailleurs". Si penser le tourisme et le voyage modernes, c’est penser une "économie du surplus" qui privilégie les désirs des uns aux dépens des besoins des autres, c’est aussi s’attaquer aux inégalités qui minent nos sociétés et à celles qui continuent de croître entre les sociétés.
Des pirates écolo, des pêcheurs en pirogue sans poisson, des chalutiers qui vident les océans et raclent les fonds marins... Une BD à lire!
Alors que les protéines animales ne sont plus nécessaires à la nutrition d’une majorité d’humains, des centaines de millions animaux sont tués chaque jour pour être mangés. Le débat autour de l’alimentation carnée se focalise généralement sur le plan de l’éthique et de la morale, partant du constat que les animaux sont des êtres capables de ressentir la douleur, le plaisir et diverses émotions. Mais cette exploitation de masse constitue aussi un risque écologique majeur qui met en péril l’habitabilité de la planète et la survie de l’humanité.
Comment s’adapter aux ruptures qui nous attendent dans un monde en contraction Saviez-vous que la plupart des villes ne survivraient que deux à trois jours sans apport extérieur de nourriture ? Qu’un smartphone nécessite des métaux rares issus des quatre coins du monde ? Et que 80% des principes actifs nécessaires à la fabrication de nos médicaments sont produits en Chine et en Inde ? La quasi-totalité des biens que nous achetons parviennent jusqu’à nous via des chaînes d’approvisionnement aussi complexes que lointaines, de l’extraction et la transformation de matières premières (minerais, produits agricoles, énergie) à l’acheminement de produits finis vers nos supermarchés. Ce qui, mondialisation capitaliste oblige, augmente les risques de vulnérabilité de ces chaînes par effet domino.

2023

le désastre écologique continue imperturbablement, et est même aggravé par l’extractivisme nécessaire au développement des énergies dites « renouvelables » et des technologies dites « propres » ou « vertes » en général. La civilisation industrielle s’apprête à achever de détruire ce qu’il reste du monde naturel, mais désormais au nom de l’écologie, du sauvetage de la planète ou de la lutte contre le réchauffement climatique. Et comment retrouver un mouvement écologiste digne de ce nom ?
Livre - enfants : Poko, enfant de Gourga, petit village du Burkina Fasso aux confins du Sahara, aime plus que tout écouter son papa Yacouba, raconter ses histoires de sagesses africaines. Celle qu’elle nous raconte est une histoire vraie : celle de Yacouba qui, las de voir, les ruisseaux se tarir, les récoltes s’assécher, les habitants abandonner son village frappé par les vents du désert, décida de prendre les choses en main et de planter des arbres qui résisteront au sable. Il prit conseil auprès des ses aïeux, mais aussi de tous les autres peuples qui lui apprirent tous les secrets de la pluie et, c’est elle, Poko qui aujourd’hui est devenue une véritable gardienne de la forêt. Le savez-vous ? Sawadogo, dans sa langue signifie « ceux qui font les nuages » ! Une ode à la nature somptueusement illustrée par Magali Attiogbé !
We kunnen geen krant openslaan of het nieuws beluisteren of er komt wel iets voorbij dat met klimaat, milieu of duurzaamheid heeft te maken. Met veel bombarie is door Europa een klimaatbesluit genomen dat echter niet verder reikt dan een inspanningsverplichting. Dus tot niets.
Mieux que la compétition et la lutte pour la survie, un modèle a fait la preuve de son efficacité depuis que les sociétés animales et humaines existent : l’entraide. Cette notion est au cœur de la pensée anarchiste de Kropotkine. Pendant près de quarante ans, depuis ses premières expéditions comme anthropologue en Sibérie, il ne cessa de réfléchir à la réciprocité dans les relations sociales, utilisant la théorie de l’évolution tout en rejetant le darwinisme social. Ses idées aboutirent à un ouvrage monumental, L’Entraide, un facteur de l’évolution, dont on lira ici les pages consacrées à la persistance des réseaux de solidarité face à la violence d’État. Ces textes sont suivis d’une adresse aux jeunes les appelant à questionner le sens et l’utilité pratique des études, et à se révolter contre l’injustice sociale.
Les risques écologiques et politiques actuels expliquent le climat d’anxiété dans lequel nous vivons. Tout en soulignant la dynamique destructrice du désespoir, Corine Pelluchon montre que la confrontation à la possibilité d’un effondrement de notre civilisation est l’occasion d’un changement ouvrant un horizon d’espérance. Cela suppose de comprendre que l’espérance n’a rien à voir avec l’optimisme qui masque la gravité de la situation et qu’elle se distingue aussi de l’espoir qui exprime le souhait de voir ses désirs personnels se réaliser. Opposée au déni, l’espérance implique l’épreuve du négatif. Elle est la traversée de l’impossible.
L’humanité a bouleversé le système Terre, assurant son confort mais menaçant son avenir. Comment en est-on arrivés là et surtout... comment en sort-on ?! L’apocalypse est-elle vraiment pour demain ? Plutôt que de céder au désespoir, ce manuel citoyen est là pour vous aider à relever le grand défi de notre avenir (et, au passage, convaincre quelques irréductibles sceptiques !).

2022

Comment remettre en question un système qui vous privilégie ? Alors que le business as usual devient criminel au sens premier du terme, de plus en plus de jeunes diplômés d’écoles prestigieuses sortent des clous en clamant l’urgence à transformer un système socio-économique écocidaire – AgroParisTech, HEC, Polytechnique… : les discours d’une partie de ces jeunes renonçants ont été très médiatisés au début de l’été 2022. En s’appuyant sur les recherches récentes en sciences sociales et sur les témoignages d’anciens élèves de grandes écoles de tout âge (les alumni), Jean-Philippe Decka décortique la prise de conscience, les doutes et les freins rencontrés par cette élite sur le chemin du renoncement consistant à tourner le dos à une carrière prestigieuse ultra rémunératrice et aux nombreux privilèges qui l’accompagnent.
Gedurende het grootste deel van de menselijke geschiedenis werd de natuur als heilig beschouwd en geloofde men dat God of de goden in de natuur alomtegenwoordig waren. Dat gold voor bijna alle culturen en religieuze tradities ter wereld. Toen de westerse mens in de zeventiende eeuw God en de natuur van elkaar scheidde, was dat méér dan een breuk met duizenden jaren van verworven wijsheid en ervaring: we zagen er de legitimatie in om onze omgeving te plunderen en onszelf op een destructieve manier boven de natuur te plaatsen.