Les Soulèvements de la Terre

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Pandémies
L’accord sur les pandémies signé en mai 2025 par les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est présenté comme un succès historique du multilatéralisme. Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.
Le texte a été entériné ce mardi 20 mai par l’assemblée mondiale des pays membres. Il instaure une coordination internationale pour prévenir les futures crises sanitaires.
La coprésidente de l’organe de négociation du traité sur les pandémies, adopté mardi à Genève, estime dans un entretien au « Monde » que cet accord permettra de ne pas reproduire les erreurs de la pandémie de Covid-19.
Après plus de trois ans de négociations, les pays membres de l'Organisation mondiale de la santé ont approuvé mercredi par consensus un texte historique visant à mieux se préparer et lutter contre les futures pandémies. ions
Après d’âpres négociations sur la question des transferts de technologies, un compromis a été trouvé, ouvrant la voie à la signature du consensus par les pays membres de l’OMS, moins les États-Unis, démissionnaires.
Les Etats membres de l’Organisation mondiale de la santé annoncent ce samedi 12 avril s’être accordés sur un texte visant à anticiper et à réagir collectivement face aux futures pandémies. Il devra être adopté définitivement en mai à Genève.
Quel est le rapport ? Biodiversité, climat, alimentation, eau, santé : dans une nouvelle évaluation parue mardi 17 décembre, la Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité (IPBES) met en évidence l’interconnexion entre cinq grandes crises écologiques et appelle à ne plus les traiter séparément. Auteur principal du rapport, Patrick Giraudoux le décortique pour Vert.
Réunis depuis cinq jours à Genève pour tenter de trouver un accord pour prévenir les pandémies, après les erreurs commises pendant l'épidémie de Covid-19, les diplomates des pays membres de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) font du surplace.
Les négociations sur un accord de prévention et de lutte contre les pandémies sont prolongées au maximum pour un an, afin de surmonter les différends et sauvegarder les acquis, ont décidé les pays membres de l'OMS samedi à Genève.
Après plus de deux ans de travail pour tenter d'arracher un traité sur la prévention et la lutte contre les pandémies, les négociations ont pris fin vendredi, sans accord.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a fait part de sa préoccupation face à la propagation croissante de la souche H5N1 de la grippe aviaire à de nouvelles espèces, y compris les humains. Pour l’infectiologue Yves Van Laethem, il est urgent de relancer les systèmes de surveillance et de détection des infections.
Les négociations en vue d’aboutir à un texte contraignant pour éviter de répéter les erreurs de l’épidémie de Covid-19 reprendront en mai.
Les négociations pour mieux préparer le monde à une future pandémie entrent dans leur dernière ligne droite mais les écueils restent nombreux avant de s'assurer que la prochaine grande crise sanitaire sera combattue ensemble.
Le gouvernement a engagé une procédure disciplinaire à l'encontre de trois praticiens de l'équipe de Didier Raoult à...
Le chef de l'OMS est inquiet quant à l'avenir de l'accord de prévention des pandémies.
Des « virus zombies » emprisonnés depuis des millénaires dans le pergélisol arctique pourraient bientôt être libérés et provoquer de nouvelles pandémies.
Une étude révèle que la fatigue et le malaise post-effort observés chez les personnes souffrant de COVID long seraient principalement dus à des dysfonctionnements mitochondriaux.
Après trois années de "crise, souffrance et pertes" liées au Covid-19, le monde doit se préparer correctement à de prochaines pandémies, a déclaré mardi le patron de l'OMS. Il a appelé à conclure un accord "hors norme" pour combler les lacunes.
L'OCDE a émis une liste de recommandations en cas de nouvelles crises sanitaires en Belgique.
Le monde n’est toujours pas préparé aux prochaines pandémies, selon des experts internationaux.
Le monde n'est toujours pas préparé aux prochaines pandémies, selon des experts internationaux. Dans un rapport publié lundi à Genève, ils affirment aussi que la menace "augmente", alors que les tensions internationales se multiplient.
De nouvelles menaces planent dans l’ombre de la pandémie actuelle, et elles proviennent d’une source inattendue : les rongeurs de l’île de Hainan, en Chine. Selon une récente étude publiée dans la revue Virologica Sinica, des scientifiques chinois ont mis en lumière huit nouveaux virus qui pourraient potentiellement infecter les êtres humains. Cette découverte soulève des inquiétudes quant à de futures épidémies et pose des questions cruciales sur la manière dont ces virus pourraient évoluer.
La VirusBank Platform de la KU Leuven a été inaugurée mercredi à Heverlee (Brabant flamand) en présence du Premier ministre Alexander De Croo (Open VLD), du ministre de la Santé Frank Vandenbroucke (Vooruit) et du secrétaire d'État à la Politique scientifique Thomas Dermine (PS).
L’Europe doit continuer à investir dans sa santé après la pandémie de Covid-19, estime ce mercredi le responsable...
De plus en plus de travaux scientifiques documentent le rôle des élevages industriels dans la propagation des maladies. Ils sont un réservoir idéal pour développer des virus pathogènes transmissibles aux humains.
Les conditions restent propices à l’émergence de nouveaux pathogènes capables de causer des pandémies. La dégradation environnementale et l’accélération des mouvements de personnes et de marchandises s’ajoutent à l’extraordinaire capacité d’adaptation des bactéries, virus et champignons.
L’Organisation Mondiale de la Santé est accusée de vouloir imposer des restrictions telles que des confinements,...
Un groupe de chefs d'entreprise et d'experts, dont Sam Altman, le créateur de ChatGPT, ont averti mardi dans une déclaration en ligne des menaces d'"extinction" pour l'humanité posées par l'essor de l'intelligence artificielle (IA).
Les pays réunis à Genève pour négocier un nouvel accord international sur la gestion des pandémies ont décidé jeudi qu'il serait juridiquement contraignant, a déclaré l'Organisation mondiale de la santé.
La hausse globale des températures conduit de nombreux animaux sauvages à se rapprocher des régions densément peuplées d’humains. Une nouvelle modélisation de cette dynamique quantifie les risques associés d’émergence de nouvelles maladies infectieuses.
Un peu éclipsé par la guerre d’Ukraine, le Covid reste gravé dans nos mémoires. Mais tous les protocoles sont-ils efficients pour éviter que de futurs virus s’échappent des laboratoires ?
A l’occasion de la journée mondiale de la biodiversité, un documentaire pédagogique démontre comment la disparition des espèces et la dégradation des écosystèmes favorise l’émergence des maladies infectieuses, potentiellement dangereuses pour l’homme, telles que le Covid-19.
Des scientifiques estiment que de nouvelles pandémies, de l'ampleur du Covid-19, vont probablement survenir dans les prochaines années en raison de l'évolution de notre environnement et de nos modes de vie.
Les changements climatiques devraient accélérer les transmissions virales entre les espèces animales, selon une étude publiée la semaine passée dans la revue Nature. Au moins 15 000 nouvelles transmissions pourraient être comptabilisées d’ici à 2070, ce qui nécessitera à terme la mise en place de protocoles de surveillance.
Un dicton populaire espagnol déclare que l’être humain est la seule espèce capable de buter deux fois sur la même pierre… Dans les faits, les catastrophes survenues au cours des deux dernières décennies – et présentées de manière quasi systématique par les autorités, les médias et nombre d’experts comme « inédites », et donc imprévisibles – ont généralement des précédents que nous serions bien inspirés de ne pas oublier. La catastrophe du Covid, avec ses 124 000 morts en France et 5,5 millions dans le monde illustre magistralement la vulnérabilité croissante de nos sociétés induite par une rupture mémorielle généralisée.
Des canicules au Covid, les métropoles semblent mal préparées pour gérer les crises. Urbanisme ou architecture ne sont pas seuls en cause : d'après le sociologue Eric Klinenberg qui s'est basé sur l'étude de la canicule de 1995 à Chicago, ce sont d'abord les ruptures sociales qui nous fragilisent. Comment redessiner nos territoires, des villes aux campagnes pour faire face aux catastrophes ? Nos villes peuvent-elles devenir résilientes ? C’est tout l’objet du travail mené par le sociologue américain Eric Klinenberg. Son autopsie sociale de la canicule de 1995 à Chicago pose les jalons d’une analyse clinique et froide d’une condition urbaine contemporaine qui exacerbe les inégalités sociales et les injustices environnementales.
Depuis quelques années, aucun discours sur notre société n’échappe au « langage de la crise ». Comme si la crise s’était mue en nouvelle normalité. Migrations, pandémies, démocratie, capitalisme, écologie, police, genres, questions ethno-raciales, laïcité, etc… Les outils de lecture sont devenus obsolètes et il est devenu de plus en plus difficile d’y voir clair. Aucun thème n’est épargné par la confusion.
Comme la plupart des ouvrages dédiées à la réflexion sur les incertitudes quant à l’avenir de l’humanité, le livre de Sébastien Bohler, Où es le sens ?, part d’un diagnostic très classique, c’est à dire très pessimiste quant à cet avenir : changements climatiques, perte de biodiversité, pénuries de matières premières, coût de l’énergie, pollution, migrations climatiques, nouvelles pandémies, etc.
Des centaines d’animaux en cage entassés les uns sur les autres, c’était l’image tristement banale d’un marché d’animaux sauvages comme il en existe beaucoup dans le monde. Mais celui de Wuhan, en 2020, a jeté un tout nouveau regard sur les conditions sanitaires de ces lieux de promiscuité.


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