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Guerre Israël
Le mouvement islamiste palestinien a affirmé avoir remis toutes les dépouilles auxquelles il avait pu accéder, soit neuf sur un total de 28. Il assure que la « récupération et l’extraction » des autres « nécessitent des efforts considérables et un équipement spécial ».
Les termes de l’accord entre le mouvement islamiste et l’Etat hébreu prévoyaient que tous les otages, vivants ou morts, seraient remis dans les soixante-douze heures suivant la mise en application du cessez-le-feu. Dix-neuf dépouilles manquent encore.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a exigé ce jeudi 16 octobre la restitution des 19 dépouilles restées dans l’enclave palestinienne.
Le ministre israélien des Finances Bezalel Smotrich, a appelé à la construction de colonies juives dans la bande de Gaza. Selon le ministre d'extrême-droite, cela constituerait la prochaine étape, maintenant que tous les otages israéliens encore en vie ont été libérés, rapporte la presse israélienne.
Le président américain a savouré son triomphe après un échange d’otages et de détenus entre Israël et le Hamas. Sans lever toutes les zones d’ombre autour d’un plan de paix imposé au forceps.
La libération des 20 derniers otages israéliens retenus vivants à Gaza a donné lieu lundi à des scènes de liesse et un véritable soulagement. Trump s’est affiché en grand ordonnateur d’un nouveau Moyen-Orient pacifié, mais la suite des négociations en Egypte pourrait révéler les limites des méthodes brutales du président américain.
La première étape du plan de paix impulsé par Donald Trump doit encore être finalisée. Il faudra ensuite rebâtir une nouvelle autorité politique à Gaza et reconstruire, à peu près tout. À Gaza, les bombardements israéliens ont tout broyé. Des immeubles transformés en poussière, des hôpitaux éventrés, des routes effacées. Selon les estimations de l’ONU, plus de 60% des logements ont été détruits ou gravement endommagés.
Une vingtaine de pays se sont rangés derrière le président américain, soucieux de mettre en œuvre les étapes à venir de la reconstruction et de la gouvernance de la bande de Gaza, gage de paix durable.
Après avoir coordonné les échanges de prisonniers israéliens et palestiniens, le mouvement islamiste reprend progressivement le contrôle de l’enclave palestinienne face à des milices rivales.
S’il n’est accompagné par aucun effort diplomatique significatif, le succès incontestable obtenu le 13 octobre par Donald Trump, avec la libération des otages israéliens et l’arrêt des bombardements sur Gaza, ne sera qu’un retour à la situation qui prévalait à la veille du 7 octobre 2023.
La paix signée, les otages libérés… Ce mardi était le jour 1 de l’après-guerre. Gaza n’est pas seulement en ruines : elle est le théâtre d’une recomposition violente du pouvoir local. Dans les zones dévastées, des clans puissants s’affrontent pour contrôler l’accès à l’aide, les trafics, les ruines à reconstruire. Dans certaines ruelles de Khan Younis ou Gaza-ville, des escarmouches éclatent entre milices, des groupes qui, hier périphériques, essaient désormais de s’imposer comme autorité locale. Des conflits qui vont nourrir le plan Trump qui prévoit une supervision de l’autorité par des puissances étrangères et surtout par les États-Unis.
L’armée israélienne a annoncé lundi matin que sept otages libérés par le Hamas avaient « franchi la frontière et regagné le territoire israélien ». Treize autres doivent être libérés en échange de deux mille prisonniers palestiniens, conformément à l’accord de paix conclu entre les parties.
Journée historique au Proche-Orient. Treize nouveaux otages ont été remis par le Hamas à la Croix-Rouge, dans le cadre du plan de paix pour Gaza. Plus tôt à l’aube, sept Israéliens avaient déjà été libérés, marquant la première étape de cet accord qui prévoit également la libération de prisonniers palestiniens par Israël. Le président américain Donald Trump, actuellement en escale en Israël pour s’entretenir avec Benyamin Netanyahou, rejoindra ensuite Charm el-Cheikh, où doit se tenir dans l’après-midi un sommet pour la paix.
Plus de deux ans après l’attaque terroriste du 7 Octobre, le Hamas a libéré ce lundi 13 octobre les 20 derniers otages vivants sur les 251 personnes enlevées. «Libé» dresse leurs profils.
Après deux ans de guerre, l’enclave palestinienne respire à nouveau, et les habitants reviennent dans leurs quartiers détruits. Un retour qui marque le début d’un long combat, celui de la reconstruction sur les ruines de leur passé.
Deux cent cinquante détenus de longue durée, la plupart condamnés à la perpétuité, sont sortis des prisons de l’Etat hébreu après que le mouvement islamiste a relâché les vingt otages israéliens encore vivants. Plus de 1 700 autres Palestiniens ont aussi été élargis.
La première étape du plan de paix présenté par Donald Trump prévoit le retour en Israël des 48 personnes encore détenues par le Hamas, dont 20 sont toujours vivantes, en échange de l’élargissement de près de 2 000 prisonniers palestiniens.
Les présidents égyptien Abdel Fattah al-Sissi et américain Donald Trump présideront lundi après-midi à Charm el-Cheikh un Sommet de la paix, en présence de dirigeants de plus de 20 pays, a annoncé samedi la présidence égyptienne dans un communiqué.
Le ministre de la Défense israélien, Israël Katz, a annoncé dimanche que l'armée israélienne allait détruire, après la libération des otages retenus dans la bande de Gaza, tous les tunnels du Hamas dans le territoire palestinien.
L’acharnement de l’armée israélienne contre l’hôpital Nasser éclaire sur la véritable nature de la guerre menée depuis octobre 2023 contre l’enclave palestinienne, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu, dans sa chronique.
Le politiste palestinien Yezid Sayigh décrypte, dans un entretien au « Monde », les atouts et les failles de la feuille de route américaine, approuvée par l’Etat hébreu et le Hamas, qui a débouché sur l’instauration d’un nouveau cessez-le-feu dans l’enclave côtière.
Le plan de paix de Trump pour Gaza laisse peu de place aux Palestiniens pour déterminer leur avenir, rappelle le politiste dans une tribune au « Monde ». La « déclaration de New York », portée par la France, suit une autre logique et entend redonner un horizon politique à la région sur la base de la solution à deux Etats.
Donald Trump a déclaré dimanche, à bord d'Air Force One, en partance pour Israël et l'Égypte où il est attendu lundi au "Sommet pour la paix", que la guerre à Gaza était "terminée".
Le désarmement du Hamas, prévu dans le cadre du plan du président américain Donald Trump visant à mettre fin à la guerre à Gaza, est "hors de question", a affirmé samedi un responsable du mouvement islamiste palestinien à l'AFP. "La remise des armes proposée est hors de question et n'est pas négociable", a affirmé ce responsable sous couvert d'anonymat.
La Turquie pourrait jouer un rôle majeur dans la force de stabilisation qui permettra de désarmer le mouvement palestinien, tandis que la France a réuni, à Paris, une conférence sur le « jour d’après ».
L’extrême droite rejette l’accord, qui prévoit la libération de 2 000 prisonniers palestiniens, mais ne souhaite pas, à ce stade, quitter la coalition.
Le président américain a affirmé que l’Etat hébreu allait retirer ses troupes le long d’une ligne négociée. La libération des 20 otages détenus dans l’enclave estimés encore vivants devrait intervenir d’ici à lundi 13 octobre.
Donald Trump et les médiateurs des pourparlers indirects entre Israël et le Hamas en Egypte ont annoncé qu’Israël et le Hamas étaient parvenus à un accord sur un échange d’otages et de prisonniers et sur l’arrivée d’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne.
« Le Monde » a recueilli le témoignage de trois civils de Cisjordanie, détenus pendant des mois, sans procès ni jugement, soumis à des privations de nourriture et à des passages à tabac réguliers. Deux ans après le début de la guerre contre Gaza, plus de 11 000 Palestiniens sont incarcérés en Israël.
Tandis que la première phase du plan américain de paix a été enclenchée, le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, a fustigé la réunion qui doit se tenir à Paris, jeudi, entre plusieurs pays européens et arabo-musulmans, afin d’examiner les modalités de la stabilisation de la bande de Gaza après la cessation des hostilités.
Une équipe spéciale menée par les pays médiateurs a été chargée ce jeudi 9 octobre de localiser les corps des otages israéliens à Gaza. Plus tôt ce matin, des membres du Hamas avaient fait état de difficultés pour restituer à temps les dépouilles.
L’accord validé ce jeudi 9 octobre relance les fractures internes du gouvernement israélien. Benyamin Nétanyahou est désormais coincé entre l’aile radicale qui crie à la trahison, et Washington qui impose son tempo.
L'ONU dit être prête à lancer, dès l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu à Gaza, un plan sur 60 jours pour aider la population du territoire ravagé, plan pour lequel elle a déjà prépositionné 170.000 tonnes d'aide humanitaire.
L'accélération de la colonisation en Cisjordanie "constitue une menace existentielle pour un État de Palestine", a affirmé jeudi le président français Emmanuel Macron, alors que le Hamas et Israël ont accepté un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages.
Un haut responsable du mouvement islamiste palestinien Hamas s'est opposé au "comité de la paix" proposé par Donald Trump pour superviser le gouvernement de transition dans la bande de Gaza.
Israël et le Hamas sont parvenus, le 9 octobre, à un accord de cessez-le-feu à Gaza. Reporterre revient sur la stratégie israélienne de la terre brûlée, qui a détruit plus de 3 000 km² au Proche-Orient depuis 1948.
La coalition Global Sumud Flotilla a annoncé que plusieurs de ses navires avaient été arrêtés ce mercredi 8 octobre au large de la bande de Gaza alors qu’ils tentaient d’apporter une aide humanitaire au territoire palestinien.
Le groupe islamiste et Israël ont échangé des listes de prisonniers palestiniens qui pourraient être relâchés en échange d’otages israéliens, alors que des émissaires américains, turcs et qataris sont attendus ce mercredi en Egypte, où se déroulent les pourparlers.
Le quotidien britannique publie ce mercredi 8 octobre une liste (arrêtée au mois de juillet) de 18 457 mineurs tués par l’armée israélienne depuis le début de la guerre dans l’enclave palestinienne. Le bilan a depuis dépassé le stade des 20 000 morts.
Alors que les négociations sont en cours autour du “plan de paix”, des gangs de pilleurs auraient accéléré les recrutements ces dernières semaines pour combler un éventuel vide du pouvoir à Gaza après le départ du Hamas, avec l’assentiment israélien. Ce qui risque de rendre caduc tout espoir d’une transition ordonnée.