Réseau Transition be

OA - Liste

Veille documentaire

. .


Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

filtre:
cop

octobre 2025

Les chiffres tombent, et ils racontent une histoire que personne ne peut plus ignorer. Septembre 2025 vient d’entrer dans les annales climatiques avec un statut qui en dit long sur la trajectoire de notre planète. L’observatoire européen Copernicus, référence mondiale en matière de surveillance climatique, a publié jeudi des données qui confirment une tendance désormais installée : la Terre continue de se réchauffer, et les records s’enchaînent avec une régularité troublante.
Par rapport à 2023, la concentration moyenne mondiale de dioxyde de carbone a enregistré l’année dernière sa « plus forte hausse depuis le début des mesures modernes en 1957 », a précisé, mercredi, l’Organisation météorologique mondiale dans son 21ᵉ bulletin annuel.
Le pétrole peut-il aider à en finir avec le pétrole? C'est le credo du président brésilien Lula, qui défend l'exploitation d'hydrocarbures dans son pays, y compris près de l'Amazonie, pour financer la transition énergétique.
À moins d'un mois de la COP30 à Belém, ville portuaire d'Amazonie, Lula affiche un bilan climatique encourageant. Depuis son retour au pouvoir en janvier 2023, le président brésilien a fait de la protection de l'environnement l'une de ses priorités : il a ralenti la destruction de la forêt amazonienne, relancé le Fonds Amazonie ou encore créé un ministère des Peuples indigènes.
Le Brésil, l'Inde, l'Italie et le Japon ont promis mardi de multiplier par quatre leur production et leur consommation de combustibles durables, en espérant être rejoints par d'autres pays durant la COP30 en novembre. Le géant sud-américain est le pays-hôte de la conférence de l'ONU sur le climat, qui aura lieu dans la ville amazonienne de Belem. Les quatre pays se sont engagés à multiplier leur production de combustibles durables par quatre d'ici 2035, par rapport à celle de 2024, a expliqué à des journalistes à Brasilia Joao Marcos Paes Leme, directeur du service énergie au ministère des Affaires étrangères brésilien.
La COP30 s'ouvre dans moins d'un mois au Brésil avec le défi colossal d'unir les pays du monde pour ne pas relâcher l'action contre le changement climatique malgré les vents contraires, à commencer par le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris. Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a insisté pour organiser cette 30e conférence des Nations unies sur le climat (10-21 novembre), événement de l'année dans les négociations climatiques, à Belem, ville portuaire d'Amazonie.
La COP30 s'ouvre dans moins d'un mois au Brésil avec le défi colossal d'unir les pays du monde pour ne pas relâcher l'action contre le changement climatique malgré les vents contraires, à commencer par le retrait des Etats-Unis. Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a insisté pour organiser cette 30e conférence des Nations unies sur le climat (10-21 novembre), événement de l'année dans les négociations climatiques, à Belem, ville portuaire d'Amazonie
Dix ans après l'adoption de l'accord de Paris, la diplomatie climatique se trouve à l'heure des bilans et des questions, dans un monde qui continue de se réchauffer et reste divisé par des fractures géopolitiques et économiques. Pour la présidence brésilienne de la COP30 (10-21 novembre), organisée à Belem, un nouveau chapitre s'ouvre: celui de la mise en œuvre des promesses formalisées depuis 2015 dans le cadre de négociations onusiennes fondées sur le consensus. A Paris, 196 pays s'étaient alors engagés à maintenir le réchauffement climatique "bien en dessous" de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre les efforts pour le limiter à 1,5°C.
À un mois de l'ouverture de la conférence mondiale (COP30) sur le climat au Brésil, l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) met en lumière les conséquences néfastes de la hausse mondiale des températures et de la déforestation sur plusieurs espèces d'animaux.
Des records de chaleur ont été frôlés en septembre, non loin de celui de 2023 et du deuxième septembre le plus chaud, en 2024.
Imaginez une souris âgée de l’équivalent de 90 ans humains qui retrouve la vivacité cognitive d’un jeune adulte. Ce scénario est devenu réalité dans un laboratoire catalan, où des chercheurs ont accompli ce que la médecine jugeait irréalisable : inverser complètement la maladie d’Alzheimer. Leur arme secrète ? Des nanoparticules microscopiques qui réparent le système de défense du cerveau, ouvrant une perspective révolutionnaire pour les millions de personnes touchées par cette pathologie dévastatrice.
Issus à 99 % du pétrole, les plastiques alimentent la crise écologique et climatique tout au long de leur cycle de vie. Derrière l’image trop familière des déchets qui polluent les rivières puis les océans, la production et le recyclage des plastiques sont aussi source d’émissions considérables de gaz à effet de serre, de quoi compromettre les efforts mondiaux de réduction des émissions. Surtout, les plastiques, un débouché du pétrole, entretiennent la dépendance de l’économie aux énergies fossiles. Le risque serait qu’ils deviennent la planche de salut des industriels de la pétrochimie à l’occasion de la COP30 sur le climat, qui se déroulera du 10 au 21 novembre 2025, à Belem, au Brésil.
Un équipage composé de militantes s’apprête à traverser l’Atlantique en voilier, pour rejoindre la COP30. Parmi elles, Maïté Meeûs et Mariam Touré, dont les combats féministes et antiracistes viennent élargir le récit écologique.

septembre 2025

Le neuvième rapport sur l’état de l’océan publié mardi par l’Institut européen Copernicus et l’organisation scientifique Mercator Ocean International alerte sur les impacts du réchauffement sur les écosystèmes marins.
Le Danemark a interdit à partir de lundi les vols de drones civils sur son territoire. Et la France, l’Allemagne et la Suède envoient des moyens de lutte anti-drones au Danemark avant le sommet de l’Union européenne.
À un peu moins de deux mois de l’ouverture de la COP30 à Belém, deux informations importantes : pour la première fois la Chine va s’engager sur un objectif de baisse de ses émissions ; le rapport Production Gap(1) indique que les émissions mondiales de CO2 résultant de la combustion d’énergie fossile devraient continuer d’augmenter si l’on se fie aux prévisions d’extraction des grands producteurs.
A l’issue du sommet climat organisé par l’ONU, plus de 100 pays, dont la Chine, ont publié, ou ont promis de le faire d’ici à la COP30, de nouveaux engagements de réduction de CO₂. Un tour de force dans un monde fracturé par les guerres et les conflits commerciaux.
Le pays, fortement émetteur de carbone, prévoit de réduire ses rejets de gaz à effet de serre de 7 % à 10 % d’ici à 2035. Un objectif incompatible avec l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C.
Pour la cheffe du gouvernement danois, Mette Frederiksen, l’incident, qui est intervenu dans la soirée, lundi 22 septembre, est du même ordre que les incursions récentes d’avions et de drones russes dans l’espace aérien européen.
Le président chinois a annoncé en personne le nouvel engagement climatique de son pays, s’engageant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 7 à 10% d’ici 2035.
Au lendemain de l'observation de plusieurs drones suspects à l'aéroport de Copenhague, Mette Frederiksen, la Première ministre danoise, a dénoncé mardi "la plus grave attaque contre une infrastructure critique". Après une suspension du trafic, les vols ont pu reprendre dans la nuit.
Les services de renseignements danois ont affirmé que le pays faisait face à une « menace de sabotage importante ».
Réseaux sociaux, politique, incivilités… La violence verbale ne cesse de croître dans nos sociétés. Première étape vers une surenchère létale.
La major française devra livrer des documents internes liés à son mégaprojet Eacop, après une décision du tribunal de Paris jeudi. Un pas en avant pour les ONG et les riverain·es, qui dénoncent des expropriations massives et de graves atteintes tant aux droits humains qu’à l’environnement.
Canberra se fixe une cible comprise entre 62 % et 70 % de baisse d’ici à 2035 par rapport aux niveaux de 2005. Le pays est candidat à l’organisation de la COP31 en 2026.
L'Australie s'est engagée jeudi à réduire d'ici 2035 ses émissions de gaz à effet de serre de 62 à 70% par rapport aux niveaux de 2005, après un rapport établissant que le changement climatique menace les conditions de vie de plus d'un million de personnes dans le pays. "Nous écoutons les scientifiques et nous agissons dans l'intérêt de l'Australie", a déclaré le Premier ministre Anthony Albanese lors de la présentation de cet objectif. Les engagements du pays sont supérieurs à ceux du Canada et de la Nouvelle-Zélande, mais inférieurs à ceux du Royaume-Uni, qui comptent parmi les plus ambitieux au monde. L'objectif précédent de l'Australie était de réduire ses émissions de 43% pour 2030, par rapport aux niveaux de 2005.
Les ministres de l’environnement de l’UE ont adopté, jeudi, une fourchette de baisse des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2035, comprise entre − 66,25 % et − 72,5 % par rapport à 1990. Ils ont reporté à octobre la discussion concernant la cible 2040.
Selon l’institut Copernicus, les précédents records étaient de 11,4 mégatonnes de carbone, en 2003 comme en 2017. Une augmentation qui est principalement due aux feux qui ont ravagé la péninsule ibérique à la mi-août.
Les Vingt-Sept, qui doivent rapidement s’entendre à l’unanimité sur une cible de réduction de leurs émissions d’ici à 2035, sont très divisés. Ils ont par ailleurs repoussé l’adoption d’engagements ambitieux pour 2040.
Une étude destinée au gouvernement établit une série de risques sanitaires, économiques et environnementaux inédits alors que le pays doit dévoiler, dans la semaine, ses prochains objectifs de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.
À deux mois de la COP30 à Bélem en Amazonie, la participation des entreprises reste floue. Dix ans après l’Accord de Paris, elles hésitent à s’exposer, entre contraintes logistiques, tensions politiques et peur du greenwashing en plein blacklash écologique.
Cette ville brésilienne qui s’apprête à accueillir la conférence mondiale sur le climat se rêve en carte postale aux portes de l’Amazonie. Mais les travaux destinés au sommet exacerbent la fracture entre les quartiers privilégiés et les favélas. De haute lutte, les plus pauvres ont arraché des promesses d’accès à l’eau. Vert s’est rendu sur place.
La Commission espérait arracher jeudi 18 septembre un accord sur la baisse des émissions de gaz à effet de serre de 90 % d’ici quinze ans. Mais la France et l’Allemagne s’opposent à ce calendrier. Un signal fâcheux à l’aube de la COP30 au Brésil et des dix ans de l’accord de Paris.
La température moyenne à la surface des terres et des océans a été supérieure de 1,29 °C à celle de l’ère préindustrielle. Les deux mois d’août les plus chauds jamais connus restent ceux de 2023 et de 2024.
Élu à 85 % des voix lors de la primaire des Verts en Angleterre, « l’écopopuliste » Zack Polanski est un électron libre au parcours inhabituel, qui mise sur un discours anti-élites et entend « remplacer le Labour ».
La primaire du Green Party d’Angleterre et du Pays de Galles est bousculée par un candidat « écopopuliste » qui veut bâtir à gauche un succès qui puisse rivaliser avec l’extrême droite.
De nombreuses délégations et représentants de la société civile ne parviennent pas à trouver de logement dans la cité amazonienne qui doit accueillir le sommet sur les négociations climatiques en novembre. Certains ont demandé au Brésil de changer de ville hôte.

août 2025

Pour nuancer (voire dépasser) l’idée selon laquelle les spécialistes de droit international seraient divisé.es sur la question de Gaza, les signataires de cette carte blanche font le point sur les différents aspects du conflit : illicéité de l’occupation, caractère criminel des attaques du 7 octobre, absence de « légitime défense » au sens de la Charte des Nations unies pour un Etat occupant, caractère disproportionné et criminel de la riposte israélienne au regard du droit international humanitaire et des droits humains, établissement d’un génocide, devoirs des Etats tiers…
Alors que la majorité des rivières du département souffrent de la sécheresse, la fédération de pêche locale se mobilise depuis mi-juin pour éviter la mort de certaines espèces. Plus de 20 opérations de sauvetage ont déjà été menées.
Déjà ravagé par les inondations en 2022, le Pakistan fait face depuis juin à une mousson dantesque. Tout comme l’Inde, où les inondations ont emporté 60 personnes jeudi 14 août. […] Les pluies torrentielles qui s’abattent sur le nord du Pakistan ont fait au moins 200 morts en 24 heures, selon le dernier bilan annoncé ce vendredi 15 août par les autorités, ce qui porte à plus de 500 le nombre de morts, dont de nombreux enfants, depuis le début de la mousson fin juin.


propulsé par :