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Pales

octobre 2025

Le mouvement islamiste palestinien a affirmé avoir remis toutes les dépouilles auxquelles il avait pu accéder, soit neuf sur un total de 28. Il assure que la « récupération et l’extraction » des autres « nécessitent des efforts considérables et un équipement spécial ».
Les termes de l’accord entre le mouvement islamiste et l’Etat hébreu prévoyaient que tous les otages, vivants ou morts, seraient remis dans les soixante-douze heures suivant la mise en application du cessez-le-feu. Dix-neuf dépouilles manquent encore.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a exigé ce jeudi 16 octobre la restitution des 19 dépouilles restées dans l’enclave palestinienne.
Le Hamas a étendu mardi sa présence dans la bande de Gaza en ruines, menant une campagne de répression et exécutant des "collaborateurs" présumés, à l’heure où Donald Trump a affirmé que Washington désarmerait le mouvement palestinien s’il ne le faisait pas lui-même.
Le ministre israélien des Finances Bezalel Smotrich, a appelé à la construction de colonies juives dans la bande de Gaza. Selon le ministre d'extrême-droite, cela constituerait la prochaine étape, maintenant que tous les otages israéliens encore en vie ont été libérés, rapporte la presse israélienne.
Le président américain a savouré son triomphe après un échange d’otages et de détenus entre Israël et le Hamas. Sans lever toutes les zones d’ombre autour d’un plan de paix imposé au forceps.
La libération des 20 derniers otages israéliens retenus vivants à Gaza a donné lieu lundi à des scènes de liesse et un véritable soulagement. Trump s’est affiché en grand ordonnateur d’un nouveau Moyen-Orient pacifié, mais la suite des négociations en Egypte pourrait révéler les limites des méthodes brutales du président américain.
La première étape du plan de paix impulsé par Donald Trump doit encore être finalisée. Il faudra ensuite rebâtir une nouvelle autorité politique à Gaza et reconstruire, à peu près tout. À Gaza, les bombardements israéliens ont tout broyé. Des immeubles transformés en poussière, des hôpitaux éventrés, des routes effacées. Selon les estimations de l’ONU, plus de 60% des logements ont été détruits ou gravement endommagés.
Une vingtaine de pays se sont rangés derrière le président américain, soucieux de mettre en œuvre les étapes à venir de la reconstruction et de la gouvernance de la bande de Gaza, gage de paix durable.
Après avoir coordonné les échanges de prisonniers israéliens et palestiniens, le mouvement islamiste reprend progressivement le contrôle de l’enclave palestinienne face à des milices rivales.
S’il n’est accompagné par aucun effort diplomatique significatif, le succès incontestable obtenu le 13 octobre par Donald Trump, avec la libération des otages israéliens et l’arrêt des bombardements sur Gaza, ne sera qu’un retour à la situation qui prévalait à la veille du 7 octobre 2023.
On voit sur ces images qui n’ont pas encore été authentifiées, huit hommes les mains liées dans le dos et les yeux ou la tête bandés, se faire traîner sur une place, être mis à genoux, et alignés avant de se faire abattre.
La paix signée, les otages libérés… Ce mardi était le jour 1 de l’après-guerre. Gaza n’est pas seulement en ruines : elle est le théâtre d’une recomposition violente du pouvoir local. Dans les zones dévastées, des clans puissants s’affrontent pour contrôler l’accès à l’aide, les trafics, les ruines à reconstruire. Dans certaines ruelles de Khan Younis ou Gaza-ville, des escarmouches éclatent entre milices, des groupes qui, hier périphériques, essaient désormais de s’imposer comme autorité locale. Des conflits qui vont nourrir le plan Trump qui prévoit une supervision de l’autorité par des puissances étrangères et surtout par les États-Unis.
L’armée israélienne a annoncé lundi matin que sept otages libérés par le Hamas avaient « franchi la frontière et regagné le territoire israélien ». Treize autres doivent être libérés en échange de deux mille prisonniers palestiniens, conformément à l’accord de paix conclu entre les parties.
Journée historique au Proche-Orient. Treize nouveaux otages ont été remis par le Hamas à la Croix-Rouge, dans le cadre du plan de paix pour Gaza. Plus tôt à l’aube, sept Israéliens avaient déjà été libérés, marquant la première étape de cet accord qui prévoit également la libération de prisonniers palestiniens par Israël. Le président américain Donald Trump, actuellement en escale en Israël pour s’entretenir avec Benyamin Netanyahou, rejoindra ensuite Charm el-Cheikh, où doit se tenir dans l’après-midi un sommet pour la paix.
Plus de deux ans après l’attaque terroriste du 7 Octobre, le Hamas a libéré ce lundi 13 octobre les 20 derniers otages vivants sur les 251 personnes enlevées. «Libé» dresse leurs profils.
Icône des réseaux palestiniens et cible de campagnes israéliennes, Saleh al-Jafarawi a été tué dimanche à Gaza dans des affrontements entre le Hamas et un clan armé.Le journaliste palestinien Saleh al-Jafarawi, star des réseaux sociaux, a été tué dimanche 12 octobre à Gaza, trois jours après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas.
Après deux ans de guerre, l’enclave palestinienne respire à nouveau, et les habitants reviennent dans leurs quartiers détruits. Un retour qui marque le début d’un long combat, celui de la reconstruction sur les ruines de leur passé.
Deux cent cinquante détenus de longue durée, la plupart condamnés à la perpétuité, sont sortis des prisons de l’Etat hébreu après que le mouvement islamiste a relâché les vingt otages israéliens encore vivants. Plus de 1 700 autres Palestiniens ont aussi été élargis.
La première étape du plan de paix présenté par Donald Trump prévoit le retour en Israël des 48 personnes encore détenues par le Hamas, dont 20 sont toujours vivantes, en échange de l’élargissement de près de 2 000 prisonniers palestiniens.
Les présidents égyptien Abdel Fattah al-Sissi et américain Donald Trump présideront lundi après-midi à Charm el-Cheikh un Sommet de la paix, en présence de dirigeants de plus de 20 pays, a annoncé samedi la présidence égyptienne dans un communiqué.
Le ministre de la Défense israélien, Israël Katz, a annoncé dimanche que l'armée israélienne allait détruire, après la libération des otages retenus dans la bande de Gaza, tous les tunnels du Hamas dans le territoire palestinien.
L’acharnement de l’armée israélienne contre l’hôpital Nasser éclaire sur la véritable nature de la guerre menée depuis octobre 2023 contre l’enclave palestinienne, analyse l’historien Jean-Pierre Filiu, dans sa chronique.
Le politiste palestinien Yezid Sayigh décrypte, dans un entretien au « Monde », les atouts et les failles de la feuille de route américaine, approuvée par l’Etat hébreu et le Hamas, qui a débouché sur l’instauration d’un nouveau cessez-le-feu dans l’enclave côtière.
Le plan de paix de Trump pour Gaza laisse peu de place aux Palestiniens pour déterminer leur avenir, rappelle le politiste dans une tribune au « Monde ». La « déclaration de New York », portée par la France, suit une autre logique et entend redonner un horizon politique à la région sur la base de la solution à deux Etats.
Donald Trump a déclaré dimanche, à bord d'Air Force One, en partance pour Israël et l'Égypte où il est attendu lundi au "Sommet pour la paix", que la guerre à Gaza était "terminée".
Le désarmement du Hamas, prévu dans le cadre du plan du président américain Donald Trump visant à mettre fin à la guerre à Gaza, est "hors de question", a affirmé samedi un responsable du mouvement islamiste palestinien à l'AFP. "La remise des armes proposée est hors de question et n'est pas négociable", a affirmé ce responsable sous couvert d'anonymat.
La Turquie pourrait jouer un rôle majeur dans la force de stabilisation qui permettra de désarmer le mouvement palestinien, tandis que la France a réuni, à Paris, une conférence sur le « jour d’après ».
L’extrême droite rejette l’accord, qui prévoit la libération de 2 000 prisonniers palestiniens, mais ne souhaite pas, à ce stade, quitter la coalition.
Le président américain a affirmé que l’Etat hébreu allait retirer ses troupes le long d’une ligne négociée. La libération des 20 otages détenus dans l’enclave estimés encore vivants devrait intervenir d’ici à lundi 13 octobre.
Donald Trump et les médiateurs des pourparlers indirects entre Israël et le Hamas en Egypte ont annoncé qu’Israël et le Hamas étaient parvenus à un accord sur un échange d’otages et de prisonniers et sur l’arrivée d’aide humanitaire dans l’enclave palestinienne.
« Le Monde » a recueilli le témoignage de trois civils de Cisjordanie, détenus pendant des mois, sans procès ni jugement, soumis à des privations de nourriture et à des passages à tabac réguliers. Deux ans après le début de la guerre contre Gaza, plus de 11 000 Palestiniens sont incarcérés en Israël.
Tandis que la première phase du plan américain de paix a été enclenchée, le chef de la diplomatie israélienne, Gideon Saar, a fustigé la réunion qui doit se tenir à Paris, jeudi, entre plusieurs pays européens et arabo-musulmans, afin d’examiner les modalités de la stabilisation de la bande de Gaza après la cessation des hostilités.
Une équipe spéciale menée par les pays médiateurs a été chargée ce jeudi 9 octobre de localiser les corps des otages israéliens à Gaza. Plus tôt ce matin, des membres du Hamas avaient fait état de difficultés pour restituer à temps les dépouilles.
L’accord validé ce jeudi 9 octobre relance les fractures internes du gouvernement israélien. Benyamin Nétanyahou est désormais coincé entre l’aile radicale qui crie à la trahison, et Washington qui impose son tempo.
L'ONU dit être prête à lancer, dès l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu à Gaza, un plan sur 60 jours pour aider la population du territoire ravagé, plan pour lequel elle a déjà prépositionné 170.000 tonnes d'aide humanitaire.
L'accélération de la colonisation en Cisjordanie "constitue une menace existentielle pour un État de Palestine", a affirmé jeudi le président français Emmanuel Macron, alors que le Hamas et Israël ont accepté un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages.
Un haut responsable du mouvement islamiste palestinien Hamas s'est opposé au "comité de la paix" proposé par Donald Trump pour superviser le gouvernement de transition dans la bande de Gaza.
Israël et le Hamas sont parvenus, le 9 octobre, à un accord de cessez-le-feu à Gaza. Reporterre revient sur la stratégie israélienne de la terre brûlée, qui a détruit plus de 3 000 km² au Proche-Orient depuis 1948.
La coalition Global Sumud Flotilla a annoncé que plusieurs de ses navires avaient été arrêtés ce mercredi 8 octobre au large de la bande de Gaza alors qu’ils tentaient d’apporter une aide humanitaire au territoire palestinien.
Le groupe islamiste et Israël ont échangé des listes de prisonniers palestiniens qui pourraient être relâchés en échange d’otages israéliens, alors que des émissaires américains, turcs et qataris sont attendus ce mercredi en Egypte, où se déroulent les pourparlers.
Le quotidien britannique publie ce mercredi 8 octobre une liste (arrêtée au mois de juillet) de 18 457 mineurs tués par l’armée israélienne depuis le début de la guerre dans l’enclave palestinienne. Le bilan a depuis dépassé le stade des 20 000 morts.
Alors que les négociations sont en cours autour du “plan de paix”, des gangs de pilleurs auraient accéléré les recrutements ces dernières semaines pour combler un éventuel vide du pouvoir à Gaza après le départ du Hamas, avec l’assentiment israélien. Ce qui risque de rendre caduc tout espoir d’une transition ordonnée.
La réunion de jeudi doit porter sur les principales modalités d’un processus de paix au Proche-Orient, en parallèle des négociations pour un cessez-le-feu qui se tiennent en Egypte.
L’histoire est trop souvent convoquée pour attiser la haine, justifier les guerres, minimiser les avancées. Contre la progression de l’obscurantisme, la garantie des savoirs n’est plus une option. Elle est obligatoire.
Le 7 octobre 2023, des commandos du Hamas ont attaqué Israël, 1200 personnes ont été tuées et 251 ont été prises en otage. Deux ans après, de nombreux Israéliens se sont réunis, en hommage aux victimes.
Le négociateur en chef du Hamas, Khalil al-Hayya, a déclaré mardi que le mouvement palestinien voulait des "garanties" du président américain Donald Trump et des médiateurs que la guerre à Gaza "finira une fois pour toutes".
La présidente du Conseil des ministres italien a affirmé ce mardi soir être la cible de cette procédure. En cause : les activités de Leonardo, un groupe d’aéronautique et de défense transalpin.
Tandis qu’Israël commémore les deux ans de l’attaque terroriste du 7 octobre, les négociations pour la mise en œuvre du plan Trump pour Gaza se poursuivent. Quel sera le rôle du Hamas, que l’on sait affaibli ? Que reste-t-il aujourd’hui de l’organisation palestinienne ? Réponses de Didier Leroy, chercheur à l’Institut Royal Supérieur de Défense IRSD, dans "Le Monde en direct" sur La Première.
Les discussions, qui doivent d’abord concerner les conditions du cessez-le-feu et de libération des otages, pourraient s’étendre au calendrier du retrait israélien et à l’administration de l’enclave.
Des centaines de milliers de personnes ont défilé, ce dimanche 5 octobre, dans les rues de la capitale, pour dénoncer les «massacres» perpétrés par l’armée israélienne à Gaza.
Plusieurs militants de la flottille Global Sumud expulsés d’Israël ont décrit des scènes de torture et d’humiliation infligées à l’activiste suédoise. Plus largement, ils dénoncent le manque d’eau, de nourriture et de médicaments.
Plusieurs sources révèlent les conditions de détention de la militante écologiste après son arrestation par Israël.
L'Union européenne veut jouer un rôle dans le plan de paix de Donald Trump et faire partie du nouvel organe international de transition prévu pour Gaza, a affirmé lundi la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, en visite au Koweït.
Symbole d’un tournant politique au Congrès américain, plusieurs élus démocrates, dont leur chef de file à la Chambre des représentants Hakeem Jeffries, s'éloignent du lobby pro-Israël Aipac. Sa fidélité inconditionnelle à Benjamin Netanyahu se heurte désormais à un électorat de plus en plus critique envers la gestion de la guerre à Gaza par Israël.
Des émissaires d’Israël et du Hamas sont en Egypte ce dimanche 5 octobre afin de finaliser la première phase de l’accord de paix proposé par Donald Trump, presque deux ans jour pour jour après l’attaque terroriste du 7 octobre 2023. «Libé» fait le point sur cette nouvelle étape des pourparlers.
Un haut responsable du Hamas a affirmé dimanche que le mouvement islamiste palestinien est désireux de parvenir à un accord pour mettre fin à la guerre et procéder "immédiatement" à un échange de prisonniers avec Israël.
Une troisième Belge, Saddie Choua, a entamé une grève de la faim, annonce Flotilla Belgium. Comme Alexis Deswaef et Latifa Gharbaoui, elle proteste contre ses conditions de détention en Israël.
Marco Rubio appelle Israël à "cesser" les bombardements à Gaza, jugeant "impossible de procéder à un échange s'il y a des combats en cours", afin de permettre la libération des otages détenus par le Hamas.
Une armée de négociateurs s’active depuis ce dimanche 5 octobre au Caire pour poser les bases d’un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Parmi eux, des figures de premier plan.
A partir de ce lundi, Israéliens et représentants du Hamas négocieront sur la première phase du plan de paix de Trump, portant sur un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages contre des prisonniers palestiniens.
Après leur interception par Israël, les Français de la flottille ont reçu la visite de diplomates à la prison de Ktziot. Vingt et un Espagnols rentrés dimanche à Madrid ont affirmé avoir été maltraités et humiliés pendant leur détention.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré samedi espérer la libération de tous les otages retenus à Gaza "dans les prochains jours", alors que des délégations israélienne et du Hamas doivent se rendre au Caire lundi pour des négociations sous médiation égyptienne. Malgré l’appel de Donald Trump à cesser les bombardements, l’armée israélienne poursuit ses opérations dans l’enclave palestinienne.
Le Hamas a annoncé vendredi avoir accepté de libérer tous les otages israéliens, vivants ou morts, selon les termes de la proposition du président américain Donald Trump pour Gaza, et s'est dit prêt à entamer immédiatement des négociations par le biais de la médiation pour discuter des détails de l'accord.
Dans un communiqué publié vendredi, le mouvement islamiste palestinien s’est dit prêt à négocier en vue de la libération des otages et de la fin de la guerre, mais n’a pas mentionné son désarmement et réclame le retrait complet d’Israël. Le président américain a jugé que le Hamas « était prêt pour une paix durable », ajoutant que l’Etat hébreu « doit arrêter immédiatement le bombardement de Gaza ».
Le mouvement islamiste s’est dit prêt vendredi 3 octobre à libérer tous les otages israéliens à Gaza et à entamer des négociations «immédiates en vue de la fin de la guerre». Donald Trump a estimé que le Hamas est «prêt à une paix durable» et demandé à Israël de «cesser immédiatement les bombardements sur Gaza».
La Défense civile locale a fait état de dizaines de frappes et des tirs d'artillerie israéliens dans la ville de Gaza samedi, malgré un appel de Donald Trump à Israël à cesser "immédiatement" ses bombardements dans le territoire palestinien. "La nuit a été très violente, avec l'armée israélienne menant des dizaines de frappes et de tirs d'artillerie sur la ville de Gaza et d'autres zones de la bande de Gaza, malgré l'appel du président Trump à mettre fin aux bombardements", a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal.
Les réactions internationales se sont enchaînées après la réponse positive apportée vendredi par le Hamas au plan Trump visant à une libération des otages israéliens et à une fin du conflit à Gaza après près de deux ans d'hostilités.
Le plan Trump est entré dans des préparatifs concrets. A 4 h 22, dans la nuit de vendredi 3 à samedi 4 octobre, à l’issue d’une réunion spéciale des plus hauts gradés de l’armée israélienne, le porte-parole du chef d’état-major, Eyal Zamir, a annoncé sur Telegram que des ordres avaient été donnés, en application des consignes du gouvernement, pour « accélérer les préparatifs en vue de la mise en œuvre de la première phase du plan Trump pour la libération des otages ». « La sécurité des troupes de l’armée israélienne est une priorité absolue », a ajouté l’armée, en soulignant que « toutes les capacités de l’armée seraient affectées au commandement sud [région autour de Gaza] afin d’assurer la protection des troupes ».
Du Qatar à l’ONU en passant par la France et l’Union européenne, les réactions enthousiastes se sont multipliées après que l’organisation islamiste a ouvert la porte à un accord sur la proposition de Donald Trump pour cesser la guerre.
Alexis Deswaef, vice-président de la Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), et l'activiste bruxelloise Latifa Gharbaoui ont entamé une grève de la faim après leur arrestation par Israël, a annoncé l'organisation Flotilla Belgium.
Deux ans après les attaques terroristes du 7-Octobre, suivies de l’offensive israélienne dans la bande de Gaza, Luc Bronner, correspondant du « Monde » à Jérusalem, décrypte l’opinion de la société israélienne sur cette guerre.
Bien que critiqué par la population pour son impuissance face à la colonisation israélienne et sa dérive autoritaire et clientéliste, le régime dirigé par Mahmoud Abbas maintient un semblant de stabilité dans les grandes villes cisjordaniennes.
L'émissaire du président Donald Trump pour le Moyen-Orient et son gendre se rendent en Egypte afin de finaliser les discussions sur les conditions de libération des otages à Gaza après que le Hamas a accepté le plan américain, a annoncé samedi la Maison Blanche. L'émissaire Steve Witkoff et le gendre de Donald Trump Jared Kushner, se rendent en Egypte pour finaliser les modalités de ces libérations, a déclaré à l'AFP un responsable de la Maison Blanche sous le couvert de l'anonymat.
Activist tells Swedish officials she has been subjected to harsh treatment, including insufficient food and water
Trente bateaux de la flottille humanitaire Global Sumud continuent de naviguer vers la bande de Gaza. C'est ce qu'a annoncé l'organisation dans la nuit de mercredi à jeudi sur les réseaux sociaux. Auparavant, la marine israélienne avait déjà intercepté plusieurs navires de la flottille.
Au moins un Belge est présent à bord des bateaux de la flottille humanitaire pour Gaza interceptés par la marine israélienne dans la nuit de mercredi à jeudi.
Le quai d’Orsay souligne les « faiblesses » et les « risques » de la feuille de route concoctée par les Etats-Unis et Israël, notant que la création d’un Etat palestinien n’y apparaît que comme un horizon lointain et flou.
Mercredi soir, la marine israélienne a commencé à intercepter les bateaux de la flottille pour Gaza. Le gouvernement de Benjamin Netanyahu a annoncé jeudi que les passagers seraient expulsés vers l'Europe et qu'aucun des navires n'était parvenu à briser le blocus maritime imposé au territoire palestinien.
Plus de 400 militants propalestiniens à bord de 41 navires d'une flottille d'aide pour la bande de Gaza ont été arrêtés par les forces navales israéliennes, a déclaré jeudi un responsable israélien.


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