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reconnaissance état palestinien

octobre 2025

L'accélération de la colonisation en Cisjordanie "constitue une menace existentielle pour un État de Palestine", a affirmé jeudi le président français Emmanuel Macron, alors que le Hamas et Israël ont accepté un cessez-le-feu à Gaza et la libération des otages.

septembre 2025

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a nié avoir accepté le principe d'un Etat palestinien, dans une vidéo publiée mardi sur son compte Telegram après la présentation du plan de paix pour Gaza du président Donald Trump.
Donald Trump refuse l’annexion du territoire et les colons la réclament : chacun joue son rôle pour que les Palestiniens soient maintenus dans un statu quo délétère, qui sert la machine politique de Benyamin Nétanyahou.
Douze pays parmi lesquels la Belgique, la France, le Royaume-Uni, le Japon, l'Arabie saoudite et l'Espagne ont annoncé vendredi la création d'une coalition visant à soutenir financièrement l'Autorité palestinienne, à court d'argent, ses recettes fiscales étant retenues par Israël.
Le Premier ministre israélien, qui s’apprêtait à prononcer un discours à la tribune des Nations unies, a suscité une vague de désapprobation menant au départ de plusieurs dizaines de diplomates.
Il y a donc eu ce billet « oui/non » sur Gaza, Israël et la Palestine (1, 2) et, comme je m’y attendais, il y a eu des réactions. Ça a été un moment plus intéressant qu’éprouvant pour lequel j’ai eu envie de prendre un peu de temps afin de l’analyser et peut être de le comprendre. J’ai écrit ces quelques réflexions, c’est long, ce sera donc assez peu lu ou partagé, mais cela n’a pas d’importance, il s’agissait pour moi d’éclaircir mes propres idées en les mettant par écrit.
La plupart des délégués des pays membres de l’ONU ont bruyamment quitté la salle, vendredi 26 septembre, au début du discours du premier ministre israélien. Mais le dirigeant s’adressait avant tout aux Etats-Unis et à son opinion publique.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a délivré jeudi par vidéo devant l'ONU un vibrant plaidoyer pour le peuple palestinien victime des "crimes" israéliens, assurant sans équivoque que le Hamas n'aurait aucun rôle dans la future gouvernance d'un éventuel Etat de Palestine.
La France, la Belgique et plusieurs autres pays ont reconnu hier soir l’Etat de Palestine. Ils tentent de mettre un peu plus la pression sur Israël à l’ouverture de la grand-messe annuelle de l’ONU à New York. En réponse, le gouvernement israélien accélère la colonisation en Cisjordanie occupée et entrave la perspective d’un futur Etat palestinien sur le terrain.
A l’occasion de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies ce mardi à New York, le président américain a multiplié les diatribes contre les pays européens, l’immigration ou encore la reconnaissance de l’Etat de Palestine.
Les dirigeants japonais et sud-coréens vont participer à la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU à New York, mais aucun des deux ne suivra la décision de la France. Washington a insisté pour qu’ils ne franchissent pas le pas.
Intervenue à la veille du discours d’Emmanuel Macron devant l’Assemblée générale de l’ONU, la décision de Londres, allié historique d’Israël, revêt une portée particulière : c’est le ministre des affaires étrangères britanniques, Lord Balfour, qui avait favorisé, en 1917, « l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif ».
Après le Canada, le Royaume-Uni, l’Australie et le Portugal, la France s’apprête à reconnaître officiellement l’Etat de Palestine ce lundi 22 septembre à l’Assemblée générale des Nations unies.
La France et plusieurs autres pays doivent reconnaître lundi l’État de Palestine, tentant de mettre un peu plus la pression sur Israël à l'ouverture de la grand-messe annuelle de l'Organisation des Nations unies (ONU) à New York qui sera dominée par la guerre à Gaza.
Le président français a prononcé ce lundi 22 septembre un discours historique à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York au cours duquel il a annoncé la reconnaissance de la Palestine par la France. Voici les principaux points de son intervention d’une vingtaine de minutes.
Le premier ministre, Benyamin Nétanyahou, a promis de riposter à la décision de la France et de plusieurs autres pays. La question fait l’objet d’un rare consensus parmi la classe politique israélienne. Même à gauche, le soutien à la solution à deux Etats se fait rare.
Suivi par neuf pays, Emmanuel Macron doit ce lundi 22 septembre reconnaître l’Etat palestinien à l’ONU. Une décision nécessaire et longtemps attendue, qui doit maintenant être suivie d’actes.
Avant l’annonce française, prévue pour lundi, 152 des 193 pays membres de l’Organisation des Nations unies reconnaissent officiellement l’Etat de Palestine.
Une dizaine de pays doivent reconnaître officiellement l’Etat palestinien à l’occasion du sommet lundi sur l’avenir de la solution à deux Etats, lors de l’Assemblée générale de l’ONU.
Après un soutien initial sans faille à Israël, le président français a recentré sa position sur la solution à deux Etats. Une inflexion, opérée au fil de la guerre à Gaza, qui se concrétisera par la reconnaissance de la Palestine par la France à l’ONU, le 22 septembre.
Depuis plusieurs semaines, le gouvernement israélien multiplie les annonces d’extension de colonies existantes ou de légalisation de colonies sauvages en Cisjordanie. La reconnaissance annoncée d’un État palestinien par la France et d’autres pays occidentaux accélère l'occupation israélienne de la Cisjordanie. Pour la rendre irréversible ? Reportage.
Le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben Gvir, a affirmé dimanche que son pays devait annexer la Cisjordanie en réaction à la reconnaissance d'un Etat palestinien par l'Australie, le Canada et la Grande-Bretagne.
Emmanuel Macron doit prononcer son discours de reconnaissance de la Palestine, lundi 22 septembre dans l’enceinte des Nations unies à New York. En guise de représailles, Israël envisage de fermer le consulat français de Jérusalem et d’annexer une partie de la Cisjordanie.
Le Royaume-Uni, l'Australie et le Canada ont officiellement reconnu dimanche l'État de Palestine. Une reconnaissance qui intervient avant un sommet coprésidé par la France et l'Arabie saoudite portant sur l'avenir de la solution à deux États, à la veille de l'Assemblée générale de l'ONU.
L’Assemblée générale de l’ONU, qui se tient jusqu’au 23 septembre, se prépare à un vote crucial, sur la reconnaissance officielle de la Palestine. Ce scrutin est perçu comme un levier de la dernière chance pour relancer une solution diplomatique à deux Etats.
Malgré les critiques qu’elle suscite, l’initiative portée lundi à la tribune des Nations unies par le président français, Emmanuel Macron, est un message adressé à deux peuples.
Dans une tribune au « Monde », Michel Duclos s’interroge sur les conséquences possibles de la « déclaration de New York », adoptée le 12 septembre par l’Assemblée générale de l’ONU, qui plaide pour une solution à deux Etats. Pour lui, ce texte n’est pas une fin en soi mais une étape supplémentaire d’un long processus diplomatique.
Emmanuel Macron a défendu jeudi, dans une interview à une télévision israélienne, sa décision de reconnaître un Etat palestinien, "meilleure manière d'isoler le Hamas" à ses yeux, tout en condamnant une fois de plus vivement l'offensive à Gaza qui "détruit totalement" la "crédibilité" d'Israël.
A quatre jours de l’assemblée générale des Nations unies où de nombreux pays reconnaîtront l’Etat palestinien dans le sillage de la France, Emmanuel Macron met en garde l’Etat hébreu dans une interview à la télévision israélienne.
Le premier secrétaire du Parti socialiste a appelé à afficher le drapeau palestinien sur les mairies le 22 septembre le jour où la France doit reconnaître l’Etat palestinien.
L'Assemblée générale de l'ONU se prononce vendredi sur la "déclaration de New York" visant à donner un nouveau souffle à la solution à deux Etats, israélien et palestinien, mais en excluant sans équivoque le Hamas.
Ce vendredi 12 septembre, 142 Etats ont signé la «déclaration de New York», à dix jours d’un sommet qui sera co-présidé par Paris et Ryad où plusieurs pays - dont la France - devraient reconnaître l’existence de la Palestine.
Pendant que plusieurs pays ont décidé de reconnaître l’Etat palestinien, le gouvernement israélien accélère la colonisation en Cisjordanie, occupée depuis 1967.
Une reconnaissance d'un Etat palestinien par des pays occidentaux pourrait pousser Israël à prendre des "mesures unilatérales", a averti dimanche le chef de la diplomatie Gideon Saar, après des informations sur des projets d'annexion de parties de la Cisjordanie occupée.
La Belgique emboîte le pas à la France, au Canada et à l'Australie. Le pays va reconnaître l'État de Palestine à l'Assemblée générale des Nations unies en septembre si "le dernier otage est libéré et que le Hamas n'assume plus quelconque gestion de la Palestine", a annoncé mardi le ministre des Affaires étrangères belge.
Bruxelles rejoint la cohorte de pays occidentaux emmenés par la France qui doivent acter cette reconnaissance à l’Assemblée générale des Nations unies, mi-juin.
Le président français a mis en garde Israël ce mardi 2 septembre, affirmant que rien n’arrêterait le mouvement de reconnaissance d’un Etat palestinien.

août 2025

Le secrétaire d’Etat américain a pris cette décision extraordinaire alors que la France doit plaider dans quelques jours devant les Nations unies pour la reconnaissance d’un Etat palestinien.
Le Danemark n'exclut pas une reconnaissance d'un État palestinien, à condition que celui-ci soit démocratique, a déclaré mardi la Première ministre danoise.
La présidence française dénonce mardi les propos du Premier ministre israélien, considérant cette accusation comme "erronée, abjecte". Benjamin Netanyahu a accusé Emmanuel Macron "d'alimenter le feu antisémite" en France en appelant à la reconnaissance internationale de l'État de Palestine.
Comme la France, plusieurs pays s’apprêtent à reconnaître la Palestine à la fin de l’été. «Libération» fait le point sur les Etats qui ont déjà annoncé leur intention de le faire, et ceux qui l’ont déjà fait par le passé.
Une réunion exceptionnelle de la commission des Relations extérieures se tient ce jeudi à la Chambre pour discuter de Gaza, sous la pression des syndicats et de la société civile. Si la position de la N-VA a tendance à changer, du côté du MR, on reste opposé à la reconnaissance de l’État palestinien sans condition.
Christopher Luxon a rappelé ce mercredi 13 août la situation «effroyable» sur le territoire palestinien. Wellington a annoncé il y a deux jours envisager de reconnaître un Etat palestinien d’ici septembre.
L'Australie va reconnaître l'Etat de Palestine à l'occasion de l'Assemblée générale de l'ONU en septembre, a annoncé le Premier ministre Anthony Albanese lundi, emboîtant le pas à d'autres pays tels que la France et le Canada.
Le chef du gouvernement, Anthony Albanese, explique avoir pris cette décision après avoir reçu des garanties de la part de l’Autorité palestinienne. Une reconnaissance qui survient dans la lignée d’un élan international débuté fin juillet.
Dans le processus de reconnaissance de l'État palestinien, c'est à nouveau la logique du "deux poids, deux mesures" qui prévaut.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a prévenu ce samedi 2 août 2025 qu'il ne déposera pas les armes à moins qu'un État de Palestine indépendant soit officiellement établi. "La résistance et ses armes sont un droit légal tant que l'occupation (israélienne) se poursuit", a-t-il indiqué par voie de communiqué, précisant qu'il demandait en premier lieu "la création d'un État palestinien souverain et indépendant avec Jérusalem comme capitale".
Dans le sillage d’Emmanuel Macron, le Royaume-Uni, le Canada et le Portugal ont pris un engagement similaire, aggravant l’isolement du gouvernement israélien de Benyamin Nétanyahou.
Face au jusqu’au-boutisme israélien, la volonté de la France a le mérite de réintroduire de la politique alors que l’absence de toute perspective sert les extrêmes depuis des années. Mais rien ne garantit que le frémissement constaté porte ses fruits.

juillet 2025

Lisbonne annonce ce jeudi 31 juillet que le Président et le Parlement seront consultés sur la question, emboîtant ainsi le pas de Paris, Londres et Ottawa.
La reconnaissance devrait intervenir en septembre à l’Assemblée générale de l’ONU, aux côtés de la France et du Royaume-Uni. Un changement de politique condamné vigoureusement par Israël.
La France et 14 nations occidentales ont lancé un "appel collectif" aux autres pays du monde à exprimer leur volonté de reconnaître un État de Palestine, a indiqué, mercredi, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Un appel lancé à l'issue d'une conférence ministérielle à l'ONU pour une solution à deux États pour sortir du conflit israélo-palestinien.
Mardi 29 juillet, le premier ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé que le Royaume-Uni reconnaîtrait l’Etat de Palestine lors de la prochaine Assemblée générale de l’ONU, en septembre. D’autres Etats comme le Canada, l’Australie et le Portugal pourraient suivre. Une « dynamique » dont Paris se félicite.
Le Premier ministre britannique Keir Starmer a déclaré que le Royaume-Uni reconnaîtra en septembre l’État de la Palestine… à moins que le gouvernement israélien de Benjamin Netanyahou ne prenne des mesures substantielles pour mettre fin à la "situation épouvantable" dans la bande de Gaza et réponde à d’autres conditions. Israël a directement rejeté l'annonce britannique.
C'est ce qu'a annoncé mardi le Premier ministre britannique.
La conférence convoquée lundi par l'Assemblée générale des Nations unies et coprésidée par la France et l'Arabie saoudite espère enclencher une dynamique pour la reconnaissance de l'État de Palestine. Cette réunion intervient alors que "la perspective de l'existence" d'un tel État "n'a jamais été aussi menacée", selon le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot.
Alors qu’Emmanuel Macron vient d’annoncer que la France allait reconnaître l’Etat de Palestine en septembre - comme 148 pays de l’ONU avant lui - «Libération» retrace la chronologie des évènements.
Emmanuel Macron a annoncé jeudi soir que la France allait reconnaître l'État de Palestine en septembre. Une décision décriée par Israël comme une "récompense de la terreur" et "fermement" rejetée par les États-Unis.
Le chef de l’Etat souligne que Mahmoud Abbas a dénoncé les attentats du 7-Octobre, promis de renouveler la gouvernance de l’Autorité palestinienne et de démilitariser le Hamas. Il espère être suivi par d’autres pays, en septembre, lors de l’annonce officielle à la tribune de l’ONU.
A ce jour, 148 des 193 pays membres de l’Organisation des Nations unies reconnaissent officiellement l’Etat de Palestine.
Le ministre des Affaires étrangères, Maxime Prévot, fera une proposition au gouvernement en septembre sur la reconnaissance de la Palestine, avant l'assemblée générale des Nations Unies, a-t-il annoncé vendredi sur X.
Malgré les pressions israéliennes, Emmanuel Macron a annoncé jeudi que la France allait reconnaître l'État de Palestine lors de l'Assemblée générale des Nations unies en septembre à New York. France 24 retrace l’histoire qui a empêché cet État de voir le jour.

juin 2024

Plus de 230 artistes, dont Léna Situations, Renaud, DJ Snake, Leïla Bekhti et Angèle, interpellent Emmanuel Macron pour que la France reconnaisse officiellement l’Etat de Palestine, comme l’ont déjà fait 146 autres pays.

mai 2024

La Belgique espère réunir un large groupe de pays européens afin d'aboutir à une reconnaissance de l'État palestinien dans le cadre d'un processus qui mettrait fin à la violence en cours depuis le 7 octobre, a expliqué lundi le Premier ministre, Alexander De Croo, à l'issue d'un entretien à Bruxelles avec son homologue palestinien, Mohammad Mustafa, en compagnie de la ministre belge des Affaires étrangères, Hadja Lahbib.
L’annonce par la Norvège, l’Irlande et l’Espagne de la reconnaissance officielle de l’Etat de Palestine, ce mercredi, affaiblit un peu plus Benyamin Nétanyahou, visé depuis lundi par une demande de mandat d’arrêt de la CPI.


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