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focusclimat climatoscepticisme

2025

Face à la nouvelle négation du changement climatique par Donald Trump, les scientifiques du CNRS réagissent en rappelant les faits et les leviers d’acti
Face à la prolifération des discours climatodénialistes, défendons et investissons les initiatives concrètes resserrant les liens entre chercheurs et citoyens, plaide la membre de l’association The Shifters en Isère.
Alors que les incidents climatiques extrêmes occupent l'actualité, les prises de position publiques minimisant l'impact des activités humaines sur le réchauffement climatique se répandent.
Le climatologue français est co-président du groupe du Giec consacré à la physique du climat. Dans cet entretien à Vert, il nous parle des climatosceptiques, du rôle des médias et des attaques de Donald Trump contre la science.
En matière de politique énergétique, l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche marque le retour d’un climatoscepticisme assumé sous des formes multiples : remise en cause des acquis scientifiques, attaque contre les institutions fédérales chargées de mener les recherches sur le changement climatique et ses conséquences et soutien à l’exploitation des énergies fossiles.
L’administration américaine vient de recruter trois scientifiques célèbres pour leurs positions à rebours du consensus scientifique sur le climat. Leur embauche intervient après le licenciement de centaines de chercheur·ses à l’origine d’un rapport pour élaborer les politiques américaines de réponse au dérèglement climatique.
Contrairement à ce que certains aimeraient croire, la désinformation climatique ne relève pas d’une cacophonie spontanée ou d’une série d’erreurs isolées. Elle fonctionne selon une logique structurée, alimentée par des groupes qui y trouvent intérêt, pointe le dernier rapport du Panel international sur l’environnement informationnel (IPIE). Divers acteurs puissants y sont identifiés : majors pétrolières, groupes industriels, réseaux politiques conservateurs et même certains États.
Les algorithmes façonnent notre perception du monde par des mécanismes dont nous ne maîtrisons ni les codes ni les intentions. Première victime : le climat. Le journaliste Thomas Huchon et l’influenceur Vinz Kanté reviennent sur les nouveaux enjeux de l’information environnementale.
Le rejet par l’administration Trump de toute politique visant à freiner le changement climatique n’est dû ni au climatoscepticisme ni à l’irrationalité. Pour la Maison Blanche, et pour les idéologues qui l’entourent et l’influencent, la cause est entendue : le changement climatique est inéluctable, et il convient de tout faire pour que les États-Unis demeurent la première puissance mondiale sur une planète en proie au dérèglement climatique.
Après avoir passé au crible les programmes d’information des dix-huit principales chaînes de télévision et de radio au premier trimestre, des associations ont recensé 128 cas de désinformation sur le climat.
Pour la première fois, une intelligence artificielle a rédigé une étude qui nie le rôle des activités humaines dans le réchauffement climatique, suscitant l'enthousiasme des climatosceptiques sur les réseaux sociaux. Grok, c’est son nom, explique avoir été influencée par ses co-auteurs… eux-mêmes climatodénialistes.
Intitulé "Réévaluation critique de l'hypothèse du réchauffement planétaire lié aux émissions de CO2", l'article rejette notamment les conclusions et projections des rapports des experts de l'ONU sur le climat (Giec), se fondant notamment sur des études largement contestées depuis des années dans le domaine scientifique.
En effet, alors que ces 3 dernières années ont été particulièrement frappantes en termes de sécheresses, d’incendies et d'inondations, les discours climatosceptiques semblent non seulement resurgir dans l’opinion publique mais aussi prendre une nouvelle forme. Et pour parler de ce sujet, j’ai le plaisir d’accueillir Valérie Masson Delmotte. Elle est climatologue, membre du Haut Conseil pour le Climat, et ex-présidente du premier groupe de travail du GIEC.
Dans sa tentative de détricoter toute lutte contre le dérèglement climatique aux États-Unis, Donald Trump multiplie les attaques contre l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique. Cet organisme gouvernemental joue un rôle primordial dans la recherche scientifique mondiale et dans la surveillance météorologique.
Dans cette nouvelle ère politique où la confusion et l’extrême droite marquent des points, le climat n’est plus seulement une affaire de polémiques : il devient un objet de bataille culturelle. Aux États-Unis, Donald Trump a fait de l’écologie une ennemie, une menace pour l’économie, le bouc émissaire parfait pour justifier sa politique de dérégulation totale. Mais en Europe aussi, l’écologie est de plus en plus décrite comme uniquement « idéologique », et « punitive» ; la droite et l’extrême droite du Parlement européen s’échinent à démanteler les politiques pour le climat ; et les scientifiques spécialistes du climat ou de la biodiversité sont attaqués pour leurs études. Comment et par qui ce grand déni est-il organisé ? Comment se protéger contre cette grande désinformation sur le climat et la biodiversité ?
Le dernier baromètre de l’Ademe montre l’existence de plusieurs formes de climatoscepticisme en France, qui doivent être prises en compte dans l’action publique.
Entre juin et décembre 2024, seuls 3,4 % des contenus télévisuels étaient consacrés à l’environnement. Une loi pourrait-elle y changer quelque chose et empêcher aussi la désinformation climatique ?
L’administration Trump a commencé à supprimer les références à la crise climatique des sites web de plusieurs ministères et agences fédérales américaines, menaçant l’accès à des données scientifiques clés et, par conséquent, entravant la lutte contre le changement climatique.
Venu des États-Unis, un groupe de réflexion d’extrême droite et climatosceptique œuvre à démanteler les lois environnementales de l'Europe. Et ce, avec l'aide de députés européens.
Revealed: US climate denial group working with European far-right parties Representatives of Heartland Institute linking up with MEPs to campaign against environmental policies Helena Horton, Sam Bright and Clare Carlile Wed 22 Jan 2025 13.01 CET Last modified on Wed 22 Jan 2025 14.27 CET Climate science deniers from a US-based thinktank have been working with rightwing politicians in Europe to campaign against environmental policies, the Guardian can reveal. MEPs have been accused of “rolling out the red carpet for climate deniers” to give them a platform in the European parliament, amid warnings of a “revival of grotesque climate denialism”.
Désarroi du pétrole. Climatosceptique, misogyne et raciste, Donald Trump fait son retour à la Maison-Blanche, ce lundi 20 janvier. Pour son nouveau mandat, le 47ème président des États-Unis a promis de développer les énergies fossiles et de se débarrasser des réglementations environnementales.
Voici le Grand Debunk du ‪@LeRaptor‬ : • LE RAPTOR vs LA RÉALITÉ CLIMATIQUE #R... réalisé par Nayosch. Comme quoi Alberto Brandolini avait parfaitement raison, il faut peu de temps pour dire une bêtise et une masse de temps et de ressources pour rétablir la réalité. Nous saluons ‪@lereveilleur‬ avec qui nous sortons cette vidéo en même temps que son décryptage et qui permettra je l'espère au plus grand nombre d'avoir les idées les plus clair possible sur cette thématique complexe.
Claude Allègre, géochimiste de renom et ancien ministre, est mort le 4 janvier à 87 ans. Ses prises de position climatosceptiques ont largement influencé le débat en France, freinant l’action contre le réchauffement climatique.

2024

Avec Donald Trump, c'est un président ouvertement climatosceptique qui va s'installer à la Maison Blanche le 20 janvier prochain. La France n'est pas épargnée, puisqu'un tiers des Français doutent de l'origine humaine du changement climatique.
« le coup de la banquise antarctique »… Parmi les milliers de posts climatosceptiques ou dénialistes qui circulent sur les réseaux sociaux, il y a celui qui reprend des graphiques censés « prouver » que l’antarctique serait, contrairement aux « discours alarmistes des réchauffistes » (!), en expansion constante…
Une guerre culturelle a commencé. Continue, ouverte ou cachée, explicite ou détournée, elle concerne le destin de l’humanité tout entière. Elle concerne les savoirs autour de l’énergie, et plus particulièrement les contre-vérités diffusées par les « pétropouvoirs » internationaux.En témoigne l’insolent succès, en librairie, des ouvrages climatosceptiques qui nourrissent explicitement le doute(1).
Derrière le succès des ouvrages climatosceptiques se joue une guerre culturelle. Les pétrosavoirs, portés par l’industrie fossile, font tout pour minimiser les succès des énergies renouvelables.
Aujourd’hui, l’Atlas Network affirme ne plus travailler sur les questions environnementales. Cependant, quand on examine les activités des think tanks qui sont ou ont été partenaires du réseau, ils restent nombreux à s’opposer aux politiques de réduction des émissions de CO2. Leurs messages et leurs tactiques révèlent une convergence entre une vision du monde ultra-libérale, les intérêts de l’industrie fossile… et les narratifs portés par les groupes politiques les plus réactionnaires, de Trump au RN en France.
Déboucher les faux sceptiques. Le rédacteur en chef de Vert revient sur les dernières «zinzineries» des climatosceptiques et en profite pour évoquer Chaleurs actuelles, un grand projet pour apprendre à décrypter les discours les plus dangereux pour le climat et les humains. Cliquez ici pour (ré)écouter cette chronique diffusée sur France inter le 20 novembre 2024.
Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dresse depuis 1988 un état des lieux de la connaissance scientifique sur le changement climatique. Des faits régulièrement mis en cause par Donald Trump. L’élection de Donald Trump à la tête des États-Unis aura-t-elle un impact sur les rapports du Groupes d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat ? Photo AFP
Déni-oui-oui. L’appellation «climatosceptiques» est un grand fourre-tout qui regroupe des familles bien différentes, dont l’organisation Parlons climat vient de brosser le portrait comme jamais auparavant. Sont-ils forcément d’extrême droite ? Plutôt masculins ? Quelles sont leurs préoccupations et comment leur parler ? Tour d’horizon d’un sujet brûlant.
L’agence de la transition écologique (ADEME) vient de publier son nouveau baromètre sur « les représentations sociales du changement climatique des Français ». Efforts individuels, attentes vis-à-vis des pouvoirs publics, normalisation des désordres climatiques... Voici les grandes tendances à retenir de ce texte.
Les français sont de plus en plus climatosceptiques, révèle le 25e baromètre des représentations sociales du changement climatique, publié par l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) en octobre 2024. Selon cette étude basée sur un échantillon de 1 505 personnes, près de 30 % des personnes interrogées considèrent que les désordres climatiques et leurs conséquences, à l’image des canicules, des tempêtes, des sécheresses, des inondations plus fréquentes et sévères, la (…)
La vingt-neuvième conférence de l'ONU pour le climat s'ouvre lundi à Bakou en Azerbaïdjan. Principal objectif : trouver des centaines de milliards de dollars pour aider les pays les plus vulnérables à s'adapter au changement climatique. Des débats qui s'annoncent difficiles, d'autant plus que de nombreux chefs d'États ne seront pas présents. Un sommet qui débute six jours après l'élection du climato-sceptique Donald Trump à la présidence des États-Unis, deuxième pays le plus émetteur de CO2.
L'occasion de remettre en cause l'image stéréotypée que nous en avons et de réinterroger les stratégies d'info et de communication sur le changement climatique et la transition écologique.
L'élection mercredi à la Maison Blanche de Donald Trump, ouvertement climatosceptique et favorable au pétrole, va marquer un tournant à 180 degrés de la politique environnementale et climatique des Etats-Unis, deuxième plus gros émetteur mondial de gaz à effet de serre.Le républicain a promis durant sa campagne de "forer à tout va" et remis ouvertement en doute la réalité du changement climatique, à rebours de la politique de transition énergétique engagée par son prédécesseur Joe Biden.
L'élection mercredi à la Maison Blanche de Donald Trump, ouvertement climatosceptique et favorable au pétrole, va marquer un tournant à 180 degrés de la politique environnementale et climatique des Etats-Unis et mettre en péril les efforts mondiaux visant à freiner le réchauffement climatique d'origine humaine.Le républicain a promis durant sa campagne de "forer à tout va" et remis ouvertement en doute la réalité du changement climatique, à rebours de la politique de transition énergétique engagée par son prédécesseur Joe Biden.
Nos émissions de gaz à effet de serre ne faiblissent pas, au contraire. Les températures planétaires augmentent inexorablement. On nous annonce que la France doit se préparer à + 4° d'ici la fin du siècle : notre organisation sociale, notre modèle économique et nos modes de vie vont être bouleversés. Nous « adapter » va devenir une nécessité. Mais à quoi, comment, et jusqu'où ?




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