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sauvage
2025
La biodiversité est mise à mal en Belgique et en Europe. C’est ce qui ressort du dernier rapport de l’UICN sur les espèces menacées. Les abeilles sauvages sont concernées, en particulier chez nous où étalement urbain et activités agricoles constituent les principales menaces.
Le constat vient de tomber à Abu Dhabi, et il confirme ce que les scientifiques redoutaient depuis des années. L’Union internationale pour la conservation de la nature a dévoilé samedi lors de son Congrès mondial des chiffres qui résonnent comme un signal d’alarme : près de 100 espèces supplémentaires d’abeilles sauvages européennes ont rejoint la liste des espèces menacées de disparition en l’espace d’une décennie. Un effondrement silencieux qui menace directement les fondations de notre sécurité alimentaire.
Dix pour cent des abeilles sauvages en Europe sont désormais menacées, selon la Liste rouge coordonnée par l'Université de Mons. Une mauvaise nouvelle car beaucoup de ces insectes pollinisent les cultures destinées à devenir notre nourriture.
Plusieurs dizaines de nouvelles espèces risquent la disparition, selon l’Union internationale pour la conservation de la nature, qui vient de mettre à jour sa liste rouge.
Le paradoxe est frappant : alors que le pouvoir d’achat culmine en tête des préoccupations de nos contemporains, nous consommons beaucoup trop au regard de nos besoins réels et des limites planétaires. Samuel Sauvage décrypte les rouages de cette addiction généralisée et de son corollaire, la production de masse. Une spirale implacable qu’il analyse à travers les mécanismes du « Bémol » : Besoins artificiels, Extension des marchés, Marchandisation de la société, Obsolescence programmée et Low cost. Pour sortir de cette spirale, la voie de l’action individuelle – la fameuse « consommation responsable » – doit être repensée et surtout intégrée à une démarche collective et systémique pour mettre un terme à la surconsommation. Face au Bémol, l’auteur appelle à un « Dièse » résolument politique : Désarmer la publicité, Impulser un nouvel imaginaire, Encadrer la production, Soutenir les alternatives, Embarquer les acteurs.
Tous les jours, les camions des Nations unies, remplis de nourriture, qui entrent dans l’enclave palestinienne sont interceptés par une foule de désespérés ou par des gangs. Une partie des denrées se retrouvent sur le marché noir.
Dans une tribune au « Monde », deux professionnels du monde animal alertent sur la « vulnérabilité des non-humains face à la brutalité du changement climatique », et dressent un bilan alarmant des effets de la canicule sur la faune sauvage.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a publié, mardi, sur les réseaux sociaux, une vidéo montrant les victimes d'une frappe russe contre le village de Iarova, situé dans la région du Donetsk, à moins de dix kilomètres de la ligne de front avec la Russie. Selon lui, au moins 20 civils ont été tués.
En Norvège, le réchauffement climatique et les fermes aquacoles menacent directement l’existence de saumons sauvages.
Signe d'une capacité de production en forte hausse, Moscou a intensifié ses attaques de drones kamikazes sur le territoire ukrainien depuis le début de l'année. Selon certains experts, la Russie pourrait même être en mesure de lancer une salve de 2 000 engins en une seule nuit dès l'automne prochain. Une méga-attaque susceptible de submerger les défenses antiaériennes de Kiev, qui se voit une nouvelle fois contraint de s'adapter.
Les nuages de fumée et de cendres des incendies sauvages qui ont ravagé l’Australie en 2019 et 2020 ont déclenché des efflorescences algales dans l’océan Austral à des milliers de kilomètres à l’est selon une nouvelle étude dirigée par l’Université de Duke et réalisée par une équipe internationale de scientifiques dont Nicolas Cassar, chercheur associé au Laboratoire des sciences de l’environnement marin (LEMAR) à l’IUEM.
A 69 ans, le plus latino des cardinaux des Etats-Unis est un bergoglien ouvert raisonnablement aux réformes, amateur de tennis et fin cuisinier.En devenant pape sous le nom de Léon XIV, Robert Prevost, âgé de 69 ans, brise un tabou qui a longtemps prévalu dans l’Eglise catholique. Il était impossible pour un Etasunien, jusqu’en 2025, de prendre les rênes de cette institution, forte aujourd’hui d’1,4 milliard de fidèles à travers le monde, par peur, entre autres, de collusion avec la puissance américaine. En outre, l’épiscopat étasunien est l‘un des grands pourvoyeurs de fonds du Vatican. Comment cet homme secret et même presque timide selon ceux qui l’ont fréquenté a-t-il brisé cette loi d’airain ?
Le virus responsable de la Covid-19 (SARS-CoV-2) aurait été acheminé à Wuhan, en Chine, par le biais du commerce d'espèces sauvages et non pas par les chauves-souris fer à cheval, ressort-il d'une étude menée par des scientifiques de l'Université libre de Bruxelles (ULB), de la KU Leuven et de trois autres universités étrangères, publiée mercredi. Les scientifiques estiment que les sarbecovirus, dont les chauves-souris sont les hôtes, "ont fait le saut vers l'homme par le biais d'événements de transmission entre une population animale et la population humaine", a expliqué l'ULB dans un communiqué.
Des chercheurs belges, britanniques et américains estiment que le virus ancêtre du Covid aurait été acheminé à Wuhan, non pas via son animal hôte les chauves-souris, mais avec d'autres animaux via le commerce d'espèces sauvages, comme lors de l'épidémie de Sras en 2002. Ce qui est aussi en adéquation avec une origine naturelle pour le virus de la Covid-19.
Plus de 9 000 Britanniques ont participé à une expérience inédite, qui a conclu mercredi à une baisse du nombre d’insectes de plus de 60% entre 2021 et 2024. Quand les citoyens sont appelés à se joindre au travail des chercheurs : c’est ce qu’on appelle la science participative. Au Royaume-Uni, des milliers de personnes sont appelées depuis quelques années à mesurer la diminution des populations d’insectes. Les derniers résultats de cette étude, baptisée Bugs Matters (« les insectes sont importants »), ont été publiés mercredi et sont alarmants.
Avec 27 % d’emballages en plastique recyclés en 2023, la France se situe loin de la moyenne européenne, estimée à 40 %. Toutefois le tri ne fait pas tout, et éclipse la question de la réduction de notre production de plastique.
La fuite d'environ 27 000 saumons d'élevage d'une ferme au large des côtes norvégiennes, le 9 février, vient rappeler le coût environnemental de cette industrie en pleine expansion et notamment son impact sur son frère, le saumon sauvage, aujourd'hui considéré comme une espèce menacée.
Un quart de la production du leader norvégien Mowi s’est échappée en mer le 9 février, après le passage d’une tempête, provoquant la panique chez les autorités.
A première vue, vous pourrez probablement penser que l’auteur de ces lignes est soit en train de traverser un épisode de déprime passagère nourri par un doomscrolling trop intensif, soit qu’il s’aventure bien loin de ses terrains d’expertise habituels. Les deux seraient inquiétants, cela va sans dire. Pourtant, je souhaite que nous considérions un instant … Continuer la lecture de Et si la troisième guerre mondiale avait déjà commencé ? →
2024
"On est tombé de notre chaise, parce qu’on ne comprend pas vraiment le message." Gaetan Sgualdino, le président de l’Union Wallonne de la Protection Animale ne cache pas sa colère. Le budget régional 2025 prévoit une diminution de 59% des subsides alloués aux Creaves, ce qui représente plusieurs centaines de milliers d’euros.
Bisons futés. Les monts Tarcu, dans le sud-ouest de la Roumanie, accueillent depuis une dizaine d'années un projet de réintroduction de bisons, porté par WWF Roumanie et Rewilding Europe. L’objectif est de retrouver une population viable d’herbivores à l’état sauvage. Une initiative bénéfique pour la communauté locale et pour la biodiversité, mais aussi, plus surprenant, pour le climat.
Le “réensauvagement” – permettre le retour de territoires à l’état sauvage – sera au cœur des débats de la COP16, qui commence à Cali, en Colombie, le 21 octobre. Objectif : enrayer la destruction de la biodiversité. Mais le réensauvagement constitue une solution incomplète, et controversée. Décryptage.
Un rapport alarmant vient de mettre en lumière une situation critique : les populations d’espèces sauvages à travers le monde sont en chute libre, certaines régions enregistrant une baisse de 95 %. Alors que l’humanité continue de dégrader les écosystèmes, des experts insistent sur la nécessité d’agir de toute urgence afin d’inverser cette tendance et de permettre à la nature de se rétablir avant qu’il ne soit trop tard.
Selon la WWF, la situation est catastrophique pour la biodiversité. Le déclin est tel que le point de non-retour est proche pour la planète.
La nature disparaît à une vitesse alarmante avec un déclin de 73% de la taille moyenne des populations d’espèces sauvages surveillées en seulement 50 ans.
Le nouvel « indice planète vivante », publié par le Fonds mondial pour la nature (WWF), reflète le déclin continu de la biodiversité à quelques jours de l’ouverture de la COP16, en Colombie.
Le World Wildlife Fund (WWF) a publié son nouveau rapport Planète vivante. L'ONG alerte notamment sur les populations de vertébrés sauvages qui se sont effondrées de 73% en moyenne en seulement 50 ans.
Contre la famine et la sècheresse, la Namibie projette de tuer 723 animaux. Tantôt jugé cruel, inefficace ou intéressé, ce plan divise
56.875 kg. C’est la quantité de viande récoltée après l’abattage de quelque 160 animaux sauvages, en Namibie. Hippopotames, éléphants, buffles, zèbres… De quoi nourrir quelques milliers de personnes, déjà dans un premier temps. Au total, plus de 700 animaux devraient être sacrifiés.
Près de 160 bêtes sauvages ont déjà été abattues depuis le 3 septembre, dans le cadre d’une mesure gouvernementale destinée à fournir de la viande aux populations affamées par la sécheresse.
Le pays d’Afrique australe est menacé par une crise alimentaire. Les autorités ont autorisé l’abattage de plus de 700 animaux, dont des éléphants et des zèbres, censés nourrir les populations des zones les plus touchées. Les experts dénoncent un raisonnement scabreux, constituant un dangereux précédent pour la faune locale.
Une entreprise néerlandaise souhaite extraire du gaz naturel au large de l’île allemande, située en mer du Nord. Mais l’Allemagne rechigne à accorder son autorisation. Pour la “Deutsche Welle”, ce dossier montre à quel point la République fédérale peine à concilier enjeux énergétiques et protection de l’environnement.
Disparu à l'état sauvage à la fin des années1960, le cheval Przewalski a été introduit en Lozère dans les années 1990. Là où ces chevaux paissent, on constate une plus grande diversité végétale.
Les contacts entre l'homme et la faune sauvage vont se multiplier sur plus de la moitié de la planète. Une nouvelle étude montre où les humaines et les animaux sauvages devront le plus cohabiter.
Venise, Rome, Florence, mais aussi les Dolomites et les Cinq Terres : nombreux sont les sites transalpins dont l’équilibre est menacé par le déferlement de touristes. “L’Espresso” tire la sonnette d’alarme et liste les solutions possibles.
La cause de décès des chevaux sauvages : la déshydratation ou l’intoxication à l’eau de mer. Face à l’hécatombe, les habitants s’unissent.
Le commerce illégal d'animaux et de plantes sauvages perdure dans 162 pays à travers le monde, malgré vingt ans d'actions...
De l’eau dans le gaz. Décharges sauvages, traitements illégaux, perquisitions, commission sénatoriale… Le géant de l’eau en bouteille Nestlé Waters connait des turbulences depuis plusieurs semaines. Vert vous explique.
Face à la perte galopante de biodiversité, les naturalistes testent diverses approches pour préserver la diversité des écosystèmes. Parmi elles, le réensauvagement aussi appelé “rewilding”, une méthode née aux États-Unis qui rencontre un succès croissant en Europe mais n’est pas épargnée pas les ratés et les controverses.
La forêt est un écosystème riche, qui offre de nombreux habitats pour les animaux et les végétaux. Pour la préserver, un mouvement se développe autour du principe de "la forêt en libre évolution". Associations et collectifs...