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2025

À moins d'un mois de la COP30 à Belém, ville portuaire d'Amazonie, Lula affiche un bilan climatique encourageant. Depuis son retour au pouvoir en janvier 2023, le président brésilien a fait de la protection de l'environnement l'une de ses priorités : il a ralenti la destruction de la forêt amazonienne, relancé le Fonds Amazonie ou encore créé un ministère des Peuples indigènes.
Issus à 99 % du pétrole, les plastiques alimentent la crise écologique et climatique tout au long de leur cycle de vie. Derrière l’image trop familière des déchets qui polluent les rivières puis les océans, la production et le recyclage des plastiques sont aussi source d’émissions considérables de gaz à effet de serre, de quoi compromettre les efforts mondiaux de réduction des émissions. Surtout, les plastiques, un débouché du pétrole, entretiennent la dépendance de l’économie aux énergies fossiles. Le risque serait qu’ils deviennent la planche de salut des industriels de la pétrochimie à l’occasion de la COP30 sur le climat, qui se déroulera du 10 au 21 novembre 2025, à Belem, au Brésil.
Le palmarès annuel des ambitions climatiques des grands groupes français établi par l’ONG Les Ateliers du futur montre des progrès chez certains industriels, mais pointe aussi du doigt des lacunes dans le secteur financier.
Alors que le gouvernement expérimente un nouveau dispositif de prévention contre le retrait-gonflement des argiles dans plusieurs départements, dans le Périgord, une des zones pilotes, sinistrés et élus dénoncent des critères d’indemnisation opaques.
Plusieurs études d’opinion ont récemment fait état d’un décrochage des thèmes du climat et de l’environnement dans la liste des préoccupations des Français. Mais des consultations au niveau local, ou des inquiétudes connexes, comme la santé, montrent que ce désintérêt doit être relativisé.
Fenêtres ouvertes, promenades en soirée, apéros sur le balcon… L’été devrait rimer avec insouciance. Pourtant, un ennemi minuscule trouble de plus en plus le quotidien des Français : le moustique tigre. Ces dernières semaines, le chikungunya, maladie autrefois lointaine, bouleverse l’actualité sanitaire en France par une hausse spectaculaire des cas. Face à cette menace rampante, la vigilance devient un mot d’ordre. Que se passe-t-il vraiment derrière les chiffres, et comment s’organise la riposte à grande échelle ? Entre inquiétude et mobilisation, voici un tour d’horizon d’un phénomène qui n’épargne plus aucune région.
Ce phénomène, qualifié de « sursaut de l’été » par Météo-France et qui concerne presque tout le pays, est de plus en plus fréquent en septembre sous l’effet du changement climatique.
Alors que se multiplient les alertes des scientifiques internationaux (GIEC, IPBES), que les impacts du dérèglement climatique et de l’érosion de la biodiversité s’amplifient et qu’en réponse, les politiques publiques mises en œuvre pour répondre à ces enjeux occupent une place croissante, la Cour des comptes publie le premier rapport annuel des juridictions financières consacré à la transition écologique. Ce rapport dresse un état des lieux d’ensemble de l’action publique, tente d’en évaluer la cohérence et l’efficacité et propose des recommandations pour accélérer la mise en œuvre de la transition, dans un contexte de finances publiques dégradées. Cette publication fait suite aux travaux déjà conduits par les juridictions financières, notamment le rapport public annuel de 2024 consacré à l’adaptation au changement climatique.
Les 50 sites industriels français qui émettent le plus de gaz à effet de serre en ont un peu moins rejeté dans l'atmosphère en 2024, mais surtout à cause d'un recul de la production, selon un rapport d'ONG environnementales publié jeudi. Les émissions industrielles, qui avaient connu une "baisse marquée" (-10,2%) entre 2022 et 2023, n'ont "reculé que de 1,4% en 2024", ont constaté le Réseau Action Climat (RAC), principal réseau d'ONG environnementales, et France Nature Environnement dans un rapport.
Des chercheurs de l'Imperial College London et de la London School of Hygiene & Tropical Medicine publient mercredi une étude préalable dans laquelle ils avancent que plus de 15 000 morts en Europe durant l'été seraient dues au réchauffement climatique.
Dans son premier rapport annuel consacré à la question environnementale, publié ce mardi 16 septembre, l’institution estime notamment que «le coût de la transition» écologique est «bien inférieur à celui de l’inaction».
L’effondrement de ce qu’on appelle communément le Gulf Stream – le vaste courant océanique atlantique connu des scientifiques sous le nom de circulation méridionale de retournement atlantique (AMOC) – porterait un coup fatal à la civilisation telle que nous la connaissons. Parfois surnommée « le chauffage central de l’Europe », l’AMOC explique pourquoi la Grande-Bretagne, la France, les Pays-Bas et leurs voisins du nord bénéficient d’hivers relativement doux, malgré leur latitude élevée.
Si cette mesure venait à être confirmée, la majorité des secteurs polluants ne seraient plus tenus de déclarer leurs émissions polluantes.
Cette étude s’inscrit dans la continuité des travaux d’I4CE engagés depuis plusieurs années sur la qualification et la quantification des besoins et des moyens pour l’adaptation en France. Elle propose une vision d’ensemble de ce que l’on peut dire à date sur ces aspects, basée sur le suivi et l’analyse d’une quinzaine de domaines d’action publique concernés par le changement climatique. Des éléments techniques détaillés, disponibles en annexe, offrent un appui pour approfondir ce rapport.
Le parti à la flamme lance sa campagne pour les prochaines élections municipales, ce dimanche à Bordeaux. L’écologie sera-t-elle mentionnée ? Au moins pour fustiger les idées des formations de gauche, jugées «punitives». Vert s’est penché sur l’évolution de la doctrine du Rassemblement national sur les questions liées au changement climatique.
La Commission espérait arracher jeudi 18 septembre un accord sur la baisse des émissions de gaz à effet de serre de 90 % d’ici quinze ans. Mais la France et l’Allemagne s’opposent à ce calendrier. Un signal fâcheux à l’aube de la COP30 au Brésil et des dix ans de l’accord de Paris.
Si plusieurs épisodes sont désormais clos, l’été 2025 est d’une ampleur inédite en métropole pour les cas autochtones de chikungunya, dont le virus se transmet par des piqûres de moustique tigre.
La température moyenne à la surface des terres et des océans a été supérieure de 1,29 °C à celle de l’ère préindustrielle. Les deux mois d’août les plus chauds jamais connus restent ceux de 2023 et de 2024.
L’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) a publié ce mardi 9 septembre la première cartographie de ce risque en France. Le pourtour méditerranéen, le Val de Loire et l’île de la Réunion sont particulièrement exposés.
Incendies, canicules... L’été 2025 a été un bon poste d’observation de la stratégie du Rassemblement national face à la crise climatique. Fini le climatoscepticisme grotesque, place à l’instrumentalisation.




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